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Algérie : rencontre du ministre de l’Énergie avec des dirigeants de compagnies énergétiques américaines

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Alors que son rôle sur le marché énergétique s’est renforcé depuis quelques mois, l’Algérie travaille activement à soutenir l’attractivité de son industrie pétrogazière.

En marge de la conférence annuelle CERAWeek clôturée vendredi 10 mars dernier, le ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a discuté avec plusieurs patrons d’entreprises énergétiques américaines. Des échanges essentiellement axés sur l’investissement dans le secteur hydrocarbures en lien avec la stratégie énergétique du pays.

Le responsable a ainsi échangé avec Steve Hummel et Joe Belling, les deux responsables de Chart Energy, une compagnie spécialisée dans le traitement du gaz naturel liquéfié (GNL) et la mise en œuvre d’infrastructures gazières.

Le ministre a abordé avec eux les différentes possibilités d’investissement dans le secteur gazier de l’Algérie. À cet effet, les parties prenantes envisagent d’officialiser un partenariat qui devrait être précédé de réunions de travail « des experts de Sonatrach et de Chart Energy, portant sur les solutions technologiques modernes dans le domaine de la pétrochimie et la réhabilitation des raffineries de gaz naturel et de gaz naturel liquéfié ».

Par ailleurs, Mohamed Arkab s’est également entretenu avec Craig Damon, le directeur exécutif de Turbomachinery Laboratory, une compagnie dont les activités portent essentiellement sur la recherche, la formation et le développement d’expertises dans le secteur de l’énergie.

Les deux responsables ont évoqué « des perspectives de coopération et d’échange d’expériences » qui devraient bénéficier aux dirigeants des compagnies publiques Sonatrach et Sonelgaz, avec pour objectif le renforcement de leurs compétences techniques et opérationnelles en matière d’hydrocarbures et de « transformation de l’énergie ».

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Burkina Faso : le gouvernement autorise Sana Gold à exploiter l’or au projet Zongo

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La dégradation de la situation sécuritaire au Burkina Faso a un impact sur les performances du secteur minier local, très dépendant de l’exploitation de l’or. Cependant, plusieurs régions du pays sont encore épargnées.

Au Burkina Faso, la société Sana Gold SARL a obtenu un permis d’exploitation semi-mécanisée valable pour le gisement d’or du projet Zongo. C’est l’annonce faite par le gouvernement, à l’issue du Conseil des ministres du vendredi 10 mars dernier.

Le projet Zongo est situé dans la région du Centre-Est, précisément au sein de la commune de Soudougui. Il héberge une ressource minérale exploitable de 117 122,6 tonnes titrant 2 g/t d’or, soit 234,30 kg d’or. La production annuelle est estimée à seulement 21,12 kg pour une durée de vie totale de huit ans.

La contribution de ce projet à l’économie n’a pas été détaillée par le gouvernement, mais on peut s’attendre à ce qu’il crée des emplois et génère des revenus au profit de l’État, sous forme de taxes notamment.

Pour rappel, l’exploitation de l’or est essentielle pour l’économie du Burkina Faso, car il s’agit du principal produit exporté dans un secteur minier qui représente plus de 80 % des exportations 16 % du PIB, selon les plus récentes données de l’ITIE.

Source : Agence Ecofin

RDC : la mine de cuivre Kamoa-Kakula a rapporté un bénéfice de 405 millions $ à Ivanhoe en 2022

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2022 fut la première année d’exploitation complète de Kamoa-Kakula, après son entrée en production mi-2021. La mine détenue à 20 % par l’État congolais a livré 333 497 tonnes de cuivre, et la vente d’une partie de la production (environ 324 000 t) a permis de générer 2,15 milliards $ de revenus.

Ivanhoe Mines a enregistré un bénéfice record de 434 millions $ en 2022, ce qui constitue une hausse de 864 % en glissement annuel. C’est l’annonce faite le lundi 13 mars par la compagnie minière canadienne à l’occasion de la publication de ses résultats financiers annuels, précisant que son complexe de cuivre Kamoa-Kakula situé en RDC a représenté 405 millions $ sur ce total.

Il faut souligner que cette performance est portée par la première année d’exploitation complète de la mine, après son entrée en production commerciale en juillet 2021. L’actif a dépassé les objectifs de production d’Ivanhoe, permettant à la compagnie de vendre 323 733 tonnes de cuivre pour un chiffre d’affaires de 2,15 milliards $ en 2022.

Pour rappel, Ivanhoe Mines n’est pas le seul propriétaire de Kamoa-Kakula. Il s’agit d’une coentreprise dans laquelle l’État congolais détient 20 % d’intérêts, contre 39,6 % respectivement pour Ivanhoe Mines et le chinois Zijin Mining. La société Crystal River Global Limited détient les 0,8 % d’intérêts restants.

Après une production de plus de 333 000 tonnes de cuivre en 2022, Ivanhoe veut produire 390 à 430 000 tonnes à Kamoa-Kakula cette année.

Source : Agence Ecofin

Le stock de Wesdome Gold augmente suite à la mise à jour des estimations des réserves et des ressources dans les mines canadiennes

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Wesdome Gold Mines (TSX : WDO) a fourni des estimations actualisées des ressources minérales et des réserves pour ses deux actifs souterrains : le complexe minier Kiena détenu à 100 % à Val d’Or, au Québec, et la mine Eagle River près de Wawa, en Ontario.

Au 31 décembre 2022, les réserves minérales prouvées et probables combinées de la société minière d’or basée à Toronto totalisaient 2,4 millions de tonnes titrant 12,9 grammes d’or par tonne, pour 1 million d’onces d’or contenu. Cela représente une diminution de 17 % du nombre d’onces par rapport à il y a un an (2,9 millions de tonnes à 12,6 g/t d’or).

Selon Wesdome, les estimations des réserves et des ressources sur les deux sites reflètent des teneurs de coupure plus élevées, un budget d’exploration réduit au second semestre 2022, une allocation plus élevée pour le forage de définition et de remplissage (y compris 25 000 mètres dans la zone Falcon à Eagle River). Ils reflètent également une approche plus rigoureuse et plus robuste de la réconciliation, de la modélisation 3D et de la classification des ressources sur les deux propriétés.

En 2023, la société a prévu 137 000 mètres de forage, avec un accent principal sur l’expansion des réserves minérales et des ressources minérales, ainsi que sur la délimitation des nouvelles découvertes faites en 2022.

À Kiena, qui abrite une ancienne mine entièrement autorisée qui a été redémarrée par Wesdome en 2021, le plan est de faire le suivi de plusieurs découvertes initiales faites l’année dernière, y compris la branche sud de la zone A et plusieurs zones de mur suspendu adjacentes qui restent à l’extérieur de la mine. réserves. Une rampe d’exploration est spécifiquement budgétée pour assurer le suivi et l’expansion de la zone presqu’île près de la surface.

Depuis la fin de l’année, le développement de la rampe à Kiena a continué d’être légèrement en avance sur le budget, l’achèvement de la rampe jusqu’au niveau 129 m étant prévu d’ici la fin de cette année. L’achèvement de ce segment de rampe donnera accès à la zone Kiena Deep A à haute teneur, qui, selon Wesdome, est associée aux zones avec les onces les plus élevées par mètre vertical situées dans la zone.

À l’ouest d’Eagle River, où la société produit actuellement de l’or à un taux de 92 000 à 105 000 onces par an, Wesdome pense qu’il existe un potentiel pour la délimitation d’une structure Falcon parallèle et plus loin vers l’extension vers l’est du pendage à haute altitude. zone de grade 300 qui pourrait améliorer de manière significative la flexibilité opérationnelle future de l’actif.

«Avec une importante base de ressources existante, les efforts en 2023 se concentreront sur la conversion d’une partie de ces ressources en réserves. De plus, nous avons un certain nombre de zones et de cibles d’exploration récemment découvertes dans les deux projets », a déclaré Wesdome dans un communiqué de presse.

Les actions de Wesdome Gold Mines ont bondi de 8,2 % pour atteindre 6,85 $ CA lundi midi HE. La société a une capitalisation boursière d’environ 987 millions de dollars canadiens (722 millions de dollars).

Source : mining.com

Le prix de l’or flambe alors que le fiasco SVB propulse les investisseurs vers des valeurs refuges

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Les prix de l’or ont bondi lundi alors que l’attrait du métal comme valeur refuge a attiré les investisseurs effrayés par l’effondrement de la Silicon Valley Bank, la crise suscitant également l’espoir que la Réserve fédérale américaine devrait freiner sa politique monétaire agressive.

L’or au comptant a augmenté de 1,5 % pour atteindre 1 905,82 $ l’once à 12 h 15, heure de New York, son plus haut niveau en un mois. Les contrats à terme sur l’or américain ont également bondi de 2,3 % à 1 911,70 $ l’once.

Le deuxième plus grand effondrement d’un prêteur américain de l’histoire a suscité de la nervosité quant aux effets potentiels d’entraînement sur le système financier et a incité les responsables américains à prendre des mesures pour protéger les fonds des déposants dimanche. Les marchés boursiers mondiaux ont ensuite chuté, tandis que le dollar a prolongé sa baisse.

La faillite bancaire a également entraîné un changement massif des attentes pour de nouvelles hausses de la part de la Fed, les marchés des swaps ne voyant plus aucune augmentation cette année comme résultat le plus probable. Les rendements de référence des bons du Trésor à 10 ans ont plongé au plus bas depuis plus d’un mois, soutenant le lingot non productif.

“Avec des rendements à deux ans en baisse de près de 1% en moins d’une semaine et le marché écartant de plus en plus la perspective d’une hausse des taux, l’or doit augmenter”, a déclaré Ole Hansen, responsable de la stratégie des matières premières chez Saxo Bank A/S. “L’or est la matière première la plus sensible aux taux et au dollar.”

Cela représente un revirement rapide pour l’or, qui a maintenant dépassé sa moyenne mobile de 50 jours, signalant un changement d’élan. Le métal avait déjà bondi de 2% vendredi après que les données sur l’emploi aux États-Unis aient indiqué un relâchement des pressions inflationnistes sur le marché du travail.

“Toute détresse croissante du secteur financier entraînerait presque certainement une première vente d’or pour augmenter la liquidité, suivie de nouveaux achats de valeur refuge”, a écrit Rhona O’Connell, analyste chez StoneX, dans une note de Bloomberg . “Son rôle perçu sur le marché devrait maintenant revenir à la couverture des risques en tant qu’élément principal.”

L’indice des prix à la consommation américain attendu mardi pourrait également influencer la prochaine décision de la Fed. Les commerçants surveilleront les signes que la peur se propage à d’autres banques commerciales.

“L’or semble tout à fait remplir son mandat de valeur refuge, avec le soutien d’une couverture courte des expositions longues”, a déclaré à Reuters Bart Melek, responsable de la stratégie des marchés des matières premières chez Valeurs Mobilières TD .

D’autres métaux précieux, dont l’argent, ont également profité des retombées du SVB, qui ont gagné 5,2 % pour s’échanger à 21,84 $ l’once. Le palladium et le platine ont respectivement augmenté de 5,1 % et 3,2 %, à 1 460,48 $ et 998,71 $ l’once.

“Beaucoup d’investisseurs se tournent vers l’espace des métaux précieux comme un refuge contre cette volatilité et ce risque… dans un environnement de taux d’intérêt beaucoup plus bas, et le dollar américain qui baisse, ce qui fait monter leurs prix”, a ajouté Melek.

(Avec des fichiers de Bloomberg et Reuters)

Source : mining.com

Loïse Tamalgo, directeur général Afrique du minier Eramet

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Manganèse, nickel, sables minéralisés, Eramet a atteint des records de production en 2022, et réalise un chiffre d’affaires en progrès de 37%. Sur le continent africain, les intérêts du groupe minier sont défendus depuis un an par Loïse Tamalgo. Portrait d’un burkinabé, passionné de stratégie, signé Marie-pierre Olphand.

Loïse Tamalgo est entré dans le monde des affaires grâce à sa première passion, l’informatique. « J’ai créé ma première entreprise dans ma chambre d’étudiant en 1999. On était trois et on travaillait quasiment 24h/24. Quand on était fatigué on se mettait dans un coin pour dormir ». C’était passionnant et je me suis dit « c’est ce que je sais faire et ce que je vais continuer à faire ». Sur sa page professionnelle LinkedIn le jeune étudiant qui a longtemps réparé des ordinateurs et se vante, avec le sourire, de taper 25 mots à la minute sans regarder son clavier se décrit aujourd’hui comme  « un manager chevronné, un homme qui aime relever les challenges avec ténacité ». Son parcours n’a pourtant pas été linéaire. « J’ai fait de brillantes études, je n’ai pas du tout souffert à l’école mais quand j’ai fini l’école j’ai beaucoup échoué. J’ai échoué au concours de la diplomatie cinq fois, cinq années d’affilée, j’ai échoué à plusieurs demandes d’emploi au point que je me demandais : qui suis-je est-ce que j’ai de la valeur, est-ce que, est-ce que… ? »

En plein questionnement Loïse Tamalgo trouve finalement une issue grâce à une offre de travail du groupe de téléphonie Huawei.  Très vite il gagne l’estime de la direction chinoise, qui lui décerne plusieurs médailles. “Sans être ingénieur télécom il arrivait en un rien de temps à maitriser la spécificité de ses équipements et à les vendre, se souvient  Brice Levry un de ses anciens collègues. Il faisait signer des contrats, des projets clés en main, obtenait des contrats avec le gouvernement avec des clauses d’exonération et ça plaisait beaucoup au groupe.” Année après année, Loïse Tamalgo  gravit les échelons jusqu’à s’occuper des relations publiques du groupe pour 22 pays africains. 14 ans chez Huawei, une longévité record à laquelle Loïse Tamalgo ne s’attendait pas : « Il y a eu une première période de battement où je me cherchais et à un moment, je me suis dit :  il faut étudier, comprendre la culture, s’adapter et faire usage de stratégie, un domaine qui me passionne pour trouver les solutions et les méthodes pour survivre. Je me suis dit, j’ai un potentiel forcément à l’intérieur de moi-même et je vais trouver en moi ce que j’ai d’original que d’autres peut-être n’ont pas. Y compris des faiblesses que je peux  transformer en forcer et forcément, ils vont me garder. » Pendant 14 ans, Loïse Tamalgo a évolué dans une culture d’entreprise chinoise et a appris aussi un peu la langue « mais pas trop » confie-t-il. «  Pour des questions de stratégie j’ai évité de trop comprendre le chinois ».

« Un passionné de la réussite »

Arrivé à la plus haute fonction jamais occupée par un étranger dans le groupe, Loïse Tamalgo quitte Huaweï pour s’envoler vers d’autres horizons et découvrir d’autres cultures. Il reçoit alors « une avalanche de propositions » selon un de ses proches, et choisit d’intégrer le groupe minier français Eramet. Ce n’est pas un homme du sérail et rien ne le prédestinait à entrer dans ce secteur, mais cela ne surprend pas un de ses anciens professeurs Xavier Willemart, fondateur du cabinet belge CrossMind. « C’est quelqu’un d’une grande humilité, vif d’esprit, très attentif,  très appliqué et qui a une grande capacité d’analyse. C’est un passionné de la réussite.  Il aurait pu être brillant ailleurs ». « Il me demandait tous les soirs à la fin des cours l’autorisation pour se lever, il se mettait debout derrière sa chaise, il s’accrochait au dossier,  fermait les yeux et écoutait la fin du cours les yeux fermés parce qu’il était épuisé. Je n’ai jamais vu un bosseur pareil, même quand il se repose, ce type est alerte ! » se souvient l’enseignant.

Aujourd’hui délégué général d’Eramet en Afrique, Loïse Tamalgo s’est fait une réputation d’homme discret mais efficace, à Libreville, là où il est basé. On parle de lui comme l’artisan de la rétrocession d’une mine de terres rares à l’État gabonais, dans le cadre du recentrage du groupe sur ses activités principales, il préfère personnellement mettre en avant son action au profit des femmes et de l’entrepreneuriat local. « Lorsque  je suis arrivée chez Eramet, j’ai été à la base de l’impulsion pour mettre en place un accélérateur d’entreprises de femmes gabonaises en collaboration avec Women in Africa, dénommé Femmes d’avenir qui sur trois ans, et depuis l’année dernière, va contribuer à accélérer 130 entreprises de femmes gabonaises. Nous allons répliquer l’expérience au Sénégal et ailleurs. »

Défenseur d’une industrie minière responsable, Loïse Tamalgo rêverait de participer au développement minier du Burkina Faso. Le sous-sol de son pays d’origine regorge de trésors de manganèse. Des gisements pour l’instant inexploités, pour des raisons d’insécurité, mais aussi de stratégie économique.

Source : Rfi

Actu Mines

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ActuMines

Sénégal – D’après les résultats du rapport ITIE portant sur l’année 2021 et le premier semestre de 2022, le total des revenus générés par le secteur extractif au Sénégal en 2021 a évolué de 38,99 milliards de FCFA par rapport à l’exercice 2020, enregistrant ainsi, une hausse de 21,8%. Les revenus du secteur minier sont également en hausse de 40,16 milliards de FCFA, passant de 162,85 milliards de FCFA en 2020 à 203,01 milliards de FCFA en 2021. Pour la région de Saint-Louis, en attendant l’exploitation du gisement gazier de GTA, la contribution des sociétés gazières et minières s’élève à 7,1 milliards de FCFA en 2021. (Rapport ITIE 2021 / premier semestre 2022).

 

Afrique – l’Afrique exclue du boom des investissements dans le gaz ? Le boycott des hydrocarbures russes par l’Union européenne a redistribué les cartes en bousculant la demande. Une nouvelle tendance qui a un impact considérable sur les investissements gaziers. (Jeuneafrique.com)

Botswana – Le président botswanais Mokgweetsi Masisi a réaffirmé jeudi dernier, la volonté de son gouvernement de capter des revenus plus importants de son partenariat avec le géant du diamant De Beers. Non seulement le pays veut une plus grande part des diamants produits par la coentreprise Debswana, mais il souhaite aussi les transformer avant de les céder. (Agenceecofin.com)

Azerbaïdjan – Anglo Asian Mining plc a annoncé la découverte d’une importante minéralisation de cuivre à Xarxar. Le producteur d’or, de cuivre et d’argent coté à l’AIM, qui se concentre principalement en Azerbaïdjan, a noté qu’un modèle de bloc géologique et une étude d’exploitation à ciel ouvert sont en cours d’élaboration et seront publiés dans les prochaines semaines. (Proactiveinvestors)

 

Mongolie – Rio Tinto a débuté l’extraction souterraine dans une gigantesque mine de cuivre à Oyu Tolgoi (“Colline turquoise”), située en plein désert de Gobi et à moins de 150 kilomètres de la Chine. Oyu Tolgoi devrait devenir la quatrième plus grande mine de cuivre au monde d’ici à 2030. Pour rappel, L’exploitation de la mine souterraine représente un investissement de plus de 7 milliards de dollars, et devrait produire en moyenne environ 500 000 tonnes de cuivre par an entre 2028 et 2036 à partir de la mine à ciel ouvert et de la mine souterraine, soit suffisamment pour produire environ 6 millions de véhicules électriques par an, et une moyenne d’environ 290 000 tonnes sur la durée de vie des réserves, qui est d’environ 30 ans. (Riotinto)

 

Marché du lithium – Les efforts de la Chine pour accélérer l’extraction du lithium pourraient la voir représenter près d’un tiers de l’approvisionnement mondial d’ici le milieu de la décennie.  Avec les mines sous contrôle chinois, y compris les projets en Afrique, la production devrait augmenter à 705 000 tonnes d’ici à 2025, contre 194 000 tonnes en 2022. Cela porterait la part de la Chine dans le minerai essentiel aux batteries de véhicules électriques à 32 % de l’approvisionnement mondial, de 24% l’an dernier. (Mining.com)

 

Arabie Saoudite – La compagnie nationale du royaume saoudien Saudi Aramco a publié dimanche ces résultats. La compagnie annonce un bénéfice record de 161 milliards de dollars (110,0 milliards de dollars en 2021). Saudi Aramco a réalisé cette performance financière inédite, alors que les prix du pétrole se sont raffermis en raison d’une demande accrue dans le monde entier et les sanctions contre les russes. Les bénéfices réalisés permettent au groupe de réduire son endettement, de verser d’énormes dividendes (75 milliards) et, pour le royaume, d’enregistrer d’énormes rentrées fiscales. (Aramco.com)

 

ActuLex

 

Quelques contrats miniers et pétroliers

Parties Type de contrat Substances Année de signature Périmètre Pays
République du Cameroun /

Sinosteel Cam S.A.

Concession Minière  Minerai de fer  21 Avril 2022   LOBE KRIBI     Cameroun
Cote d’Ivoire / Eni Cote d’Ivoire Limited et Petroci-Holding  

Contrat de partage de production

Pétrole 03 mars 2022  

Bloc CI-801

 

  Cote d’Ivoire
Guyane/ Esso Exploration and Production Guyana Limited, CNOOC Petroleum Guyana Limited, Hess Guyana Exploration Limited, PSA. Contrat de partage de production Pétrole 01 avril 2022 Bloc Stabroek Guyane

 

Le stock de Wesdome augmente sur les estimations mises à jour des réserves et des ressources dans les mines canadiennes

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Wesdome Gold Mines (TSX : WDO) a fourni une mise à jour des estimations des ressources minérales et des réserves pour ses deux actifs souterrains à haute teneur : le complexe minier Kiena détenu à 100 % à Val d’Or, au Québec, et la mine Eagle River près de Wawa, en Ontario. .

Au 31 décembre 2022, les réserves minérales prouvées et probables combinées de la société minière d’or basée à Toronto totalisaient 2,4 millions de tonnes titrant 12,9 grammes d’or par tonne, pour 1 million d’onces d’or contenu. Cela représente une diminution de 17 % du nombre d’onces par rapport à il y a un an (2,9 millions de tonnes à 12,6 g/t d’or).

Selon Wesdome, les estimations des réserves et des ressources sur les deux sites reflètent des teneurs de coupure plus élevées, un budget d’exploration réduit au second semestre 2022, une allocation plus élevée pour le forage de définition et de remplissage (y compris 25 000 mètres dans la zone Falcon à Eagle River). Ils reflètent également une approche plus rigoureuse et plus robuste de la réconciliation, de la modélisation 3D et de la classification des ressources sur les deux propriétés.

En 2023, la société a prévu 137 000 mètres de forage, avec un accent principal sur l’expansion des réserves minérales et des ressources minérales, ainsi que sur la délimitation des nouvelles découvertes faites en 2022.

À Kiena, qui abrite une ancienne mine entièrement autorisée qui a été redémarrée par Wesdome en 2021, le plan est de faire le suivi de plusieurs découvertes initiales faites l’année dernière, y compris la branche sud de la zone A et plusieurs zones de mur suspendu adjacentes qui restent à l’extérieur de la mine. réserves. Une rampe d’exploration est spécifiquement budgétée pour assurer le suivi et l’expansion de la zone presqu’île près de la surface.

Depuis la fin de l’année, le développement de la rampe à Kiena a continué d’être légèrement en avance sur le budget, l’achèvement de la rampe jusqu’au niveau 129 m étant prévu d’ici la fin de cette année. L’achèvement de ce segment de rampe donnera accès à la zone Kiena Deep A à haute teneur, qui, selon Wesdome, est associée aux zones avec les onces les plus élevées par mètre vertical situées dans la zone.

À l’ouest d’Eagle River, où la société produit actuellement de l’or à un taux de 92 000 à 105 000 onces par an, Wesdome pense qu’il existe un potentiel pour la délimitation d’une structure Falcon parallèle et plus loin vers l’extension vers l’est du pendage à haute altitude. zone de grade 300 qui pourrait améliorer de manière significative la flexibilité opérationnelle future de l’actif.

«Avec une importante base de ressources existante, les efforts en 2023 se concentreront sur la conversion d’une partie de ces ressources en réserves. De plus, nous avons un certain nombre de zones et de cibles d’exploration récemment découvertes dans les deux projets », a déclaré Wesdome dans un communiqué de presse.

Les actions de Wesdome Gold Mines ont bondi de 8,2 % pour atteindre 6,85 $ CA lundi midi HE. La société a une capitalisation boursière d’environ 987 millions de dollars canadiens (722 millions de dollars).

Source : mining.com

Les batteries EV deviennent bling

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NDB, Inc., basé à San Francisco, a récemment annoncé le lancement de sa technologie Nano Diamond Battery.

La solution, qui est une cellule voltaïque atomique pour les applications de puissance moyenne et élevée, utilise des diamants – les matériaux de transducteur connus les plus durs – pour récolter l’énergie.

Il combine un émetteur, le transducteur NDB T1, et un collecteur qui forme un contact ohmique et Schottky.

Les rayonnements énergétiques libérés par la désintégration radioactive se dispersent et déposent de l’énergie dans les éléments transducteurs. L’isotope, avec l’hôte, génère de l’électricité par lui-même.

Plusieurs unités simples sont attachées pour créer un arrangement de pile. Ceux-ci forment une surface de contact positive et négative similaire à un système de batterie standard.

“Le principe clé de DiD est de créer plusieurs couches de défense indépendantes et protectrices pour compenser toute défaillance humaine et mécanique potentielle du NDB”, indique le site Web de la société. « Les empilements et la source sont recouverts d’une couche de diamant polycristallin (PCD), connu pour être le matériau le plus conducteur thermiquement. Il peut également contenir des radiations à l’intérieur de l’appareil et est le matériau le plus dur, douze fois plus résistant que l’acier inoxydable. Cela rend notre produit extrêmement robuste et inviolable.

Selon NDB, la technologie a le potentiel de révolutionner l’industrie des batteries avec un certain nombre d’avantages par rapport aux batteries lithium-ion traditionnelles. Certaines des caractéristiques notables incluent une durée de vie plus longue, une durabilité et une densité d’énergie plus élevée.

“Nous sommes ravis de lancer notre financement participatif et de proposer NDB au grand public”, a déclaré Nima Golsharifi, PDG de NDB. « Notre technologie, qui est protégée par trois demandes de brevet en instance, a le potentiel de changer la durabilité et l’efficacité de l’industrie de l’énergie. Il change la donne du secteur et nous sommes ravis de le commercialiser avec le soutien de nos investisseurs. »

Selon Golsharifi, la solution a déjà suscité un intérêt considérable de la part de diverses industries, notamment les véhicules électriques, les systèmes d’énergie renouvelable et les entreprises de technologie de défense.

Source : mining.com

Libye : le patron de la NOC réitère son appel pour le retour des compagnies pétrolières américaines

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Ces derniers mois, les autorités libyennes ont multiplié les appels à l’endroit des multinationales pétrolières, les invitant à relancer leurs opérations dans le pays.

La conférence annuelle CERAWeek, tenue du 6 au 10 mars à Houston aux États-Unis, a été une occasion pour Farhat Bengdara (photo), le président de la compagnie publique chargée du pétrole en Libye (NOC), de rencontrer certains responsables américains pour discuter des défis auxquels le secteur pétrolier libyen est confronté.

Le patron a notamment échangé avec David Turk, le vice-secrétaire américain à l’Énergie. Avec lui, ils ont abordé la question de la nécessité d’un retour, en Libye, des compagnies pétrolières américaines.

Le responsable américain n’a pas manqué de saluer l’efficacité, selon lui, des mesures mises en œuvre ces derniers mois par Tripoli pour soutenir l’exploitation pétrogazière malgré un contexte politique et économique particulièrement difficile.

Victoria Taylor, une autre responsable avec qui Bengdara a discuté, a également félicité la NOC pour ses efforts visant à augmenter le plateau de la production de pétrole et de gaz en améliorant l’environnement des affaires en Libye.

Taylor, qui est la directrice du département Afrique du Nord, au département d’État américain, a exprimé l’engagement de son pays à soutenir cette dynamique en vue d’accroître les capacités opérationnelles de la Libye dans le secteur pétrolier.

Début janvier 2023, le ministre libyen du Pétrole Mohamed Aoun avait, lors d’un séjour à Washington, discuté avec Josh Corless, le vice-président pour les affaires gouvernementales internationales et du risque politique chez ConocoPhillips, des moyens pour la compagnie, d’augmenter ses investissements dans la production d’hydrocarbures en Libye.

Abdel-Latif Boureima 

Source : Agence Ecofin