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SOMISEN

Mauritanie : Aura Energy lève 10 millions de dollars pour faire avancer les travaux au projet d’uranium Tiris

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En février 2023, les autorités mauritaniennes ont signé des conventions minières avec Aura Energy sur le projet d’uranium Tiris. Selon le calendrier prévu par la compagnie, le projet doit entrer en production d’ici 2 ans, à temps pour pouvoir profiter des bonnes perspectives du marché.

La compagnie minière Aura Energy, active en Mauritanie sur le projet d’uranium Tiris, a annoncé mercredi 3 mai une levée de fonds de 10 millions de dollars australiens par le biais d’un placement d’actions. Les fonds lui fournissent, apprend-on, le financement nécessaire pour poursuivre ses travaux de planification du développement du projet Tiris et continuer les efforts visant à identifier des ressources supplémentaires à haute teneur et à faible coût dans la région.

Selon Philip Mitchell, patron de la compagnie, l’objectif desdits travaux est de s’assurer que le projet sera prêt à être développé au bon moment pour profiter de conditions de marché favorables. S’il n’a pas donné plus de détails, il faut rappeler que la société a récemment annoncé vouloir prendre une décision finale d’investissement d’ici le dernier trimestre 2023 et table sur début 2025 pour l’entrée en phase de production commerciale.

Selon l’étude de faisabilité définitive optimisée publiée fin mars dernier, le développement du projet nécessitera un capital initial de 87,9 millions de dollars plus un capital additionnel de 90,3 millions $ pour produire annuellement 2 millions de livres d’oxyde d’uranium. La durée de vie du projet est actuellement estimée à 16 ans.

Louis-Nino Kansoun 

Source : Agence Ecofin

Côte d’Ivoire : le propriétaire des mines d’or Bonikro et Agbaou entrera en bourse d’ici août 2023

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Allied Gold exploite de l’or en Côte d’Ivoire depuis 2019, d’abord à Bonikro puis à Agbaou acquise en 2021 auprès d’Endeavour. L’introduction en bourse de cette compagnie lui donnera davantage de moyens pour mieux développer ses actifs et participer à la croissance de la production ivoirienne d’or.

La compagnie minière Allied Gold, active sur les mines d’or Bonikro et Agbaou en Côte d’Ivoire, veut s’introduire sur une bourse en Amérique du Nord au plus tard le 31 août 2023.

C’est ce qu’elle a annoncé fin avril, précisant qu’elle prévoit de lever au moins 300 millions de dollars dans le cadre de cette cotation, pour une valorisation estimée à 1,2 milliard de dollars. L’entrée en bourse, sur laquelle l’entreprise travaille depuis deux ans au moins, devrait favoriser un développement plus rapide du portefeuille ivoirien d’Allied Gold. Dans le pays, la compagnie travaille en effet sur la création d’un complexe aurifère avec ses mines d’or adjacentes d’Agbaou et de Bonikro qui peuvent soutenir chacune une durée de vie d’au moins 10 ans.

Les fonds obtenus grâce à la cotation lui donneront donc les moyens de réaliser cette ambition, et permettront aussi de financer des travaux d’exploration capables d’augmenter la capacité de production des mines tout en prolongeant leur durée de vie. En 2022, Allied Gold a produit plus de 370 000 onces d’or sur ses trois mines, dont Sadiola au Mali, un record depuis qu’elle a fait son entrée dans le secteur aurifère ouest-africain en 2019.

Selon les détails du communiqué du 27 avril dernier, notons que la compagnie a obtenu le soutien de cinq anciens dirigeants de Yamana Gold, important producteur canadien d’or (près de 900 000 onces en 2022), pour son introduction en bourse. Peter Marrone, Daniel Racine, Gerardo Fernandez, Sofia Tsakos et Jason LeBlanc achèteront en effet des actions et deviendront actionnaires d’Allied à hauteur de 12,5 %, contre 40 % d’intérêts pour la direction actuelle.

« Allied Gold réunira le meilleur des deux mondes, en augmentant les solides relations locales et les capacités techniques d’Allied Gold avec l’expertise éprouvée des anciens dirigeants de Yamana en matière de création de valeur, d’excellence opérationnelle, d’approches et de résultats ESG », a commenté Peter Marrone, fondateur et ancien président exécutif de Yamana Gold.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

SOMISEN SA / Réunion dans le cadre du Salon International des Mines (SIM 2023)

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Ce mercredi 03 mai, s’est tenue une réunion à la SOMISEN SA dans le cadre de la préparation de la 7ème édition du Salon International des Mines (SIM 2023) qui se tiendra du 03 au 05 octobre à Dakar.
Le thème retenu cette année est “Les géosciences et l’exploitation responsable des ressources minérales: défis et opportunités pour le développement économique et social”.

ActuMines/ActuLex

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ActuMines

Afrique du Sud – Les prix du platine ont grimpé en flèche alors que les spéculateurs parient que les pannes de courant dans les mines sud-africaines et la demande croissante des constructeurs automobiles et de l’industrie de l’hydrogène créeront des pénuries d’approvisionnement. Le platine est utilisé pour neutraliser les émissions nocives des moteurs, ainsi que dans d’autres industries et dans la joaillerie. (Mining.com)

Gabon – Selon les états financiers de la Société équatoriale des mines (SEM), contenus dans le dernier rapport ITIE, la valeur des stocks d’or de celle-ci était de l’ordre de 7 milliards FCFA en 2021 contre 1,7 milliard FCFA en 2020, soit une variation de 311 %. Une hausse qui pourrait se justifier par la décision prise par la SEM de ne pas commercialiser son stock d’or produit en 2021 conformément à la volonté de l’État gabonais de créer une réserve stratégique d’or pour plus de crédibilité sur les marchés extérieurs. (Agenceecofin.com)

Guinée – Hummingbird Resources plc (AIM : HUM) a annoncé que l’usine de traitement de la mine d’or de Kouroussa est entrée dans la phase de mise en service en vue d’une première coulée d’or au cours de ce trimestre (Q2 2023). La mine de Kouroussa est une exploitation à ciel ouvert à haute teneur (>4 g/t), et constitue le deuxième actif aurifère en exploitation de la société en Afrique de l’Ouest. (Hummingbirdresources)

Ouganda – La compagnie minière Ionic Rare Earths a annoncé mardi 2 mai que la phase 5 du programme de forage du projet de terres rares Makuutu est approuvée. Les travaux de forage devront commencer ce mois. Le programme vise à évaluer les zones de minéralisation connue en terres rares et les zones cibles d’anomalies géophysiques non testées. (IonicREE) gabonais de créer une réserve stratégique d’or pour plus de crédibilité sur les marchés extérieurs. (Agenceecofin.com)

France – Le fonds Commodities Discretionary Enhanced Fund du gérant de hedge funds Pierre Andurand a terminé le mois de mars en baisse de 15% et de 34% depuis le début de l’année, éliminant ainsi plus de la moitié des gains réalisés par le fonds en 2022, selon une note de la Société Générale consultée par Reuters. Le mois de mars a vu les prix des matières premières s’emballer, les contrats à terme sur le pétrole brut chutant de 18 % sur des marchés ébranlés par la crise bancaire. (Zonebourse.com)

Canada – Gold Fields Limited (JSE, NYSE : GFI) a annoncé un partenariat avec Osisko Mining Inc. (TSX : OSK) pour développer et exploiter le projet souterrain de classe mondiale Windfall au Québec, désormais connu sous le nom de Groupe minier Windfall. (Goldfields)

Génération Mining (TSX : GENM) a conclu une facilité de financement de premier rang pouvant atteindre 540 millions de dollars canadiens (400 millions de dollars) pour son projet de palladium-cuivre Marathon, détenu à 100 %, sur la rive nord du lac Supérieur en Ontario. Un syndicat comprenant Exportation et développement Canada, ING Capital et Société Générale sont les arrangeurs mandatés. (Mining.com)

 

Perspectives du marché du Graphite – Le graphite est utilisé dans les batteries lithium-ion des véhicules électriques. L’Afrique devrait en devenir le leader mondial d’ici quelques années, grâce au développement rapide de mines en Tanzanie et à Madagascar. La consommation de graphite dans les batteries lithium-ion pourrait atteindre 3 millions de tonnes par an d’ici 2030, contre 400 000 tonnes en 2021, selon Benchmark Minerals, alors que la banque UBS estime que le déficit sur le marché du graphite naturel pourrait atteindre 3,7 millions de tonnes d’ici 2030. La Tanzanie devrait produire 11 % du graphite mondial d’ici 2030. (Agenceecofin.com)

ActuLex

Exploitation de substances minérales au Sénégal :

Périmètres de Kayamakho et Soudouta

Parties Objet Droit applicable Instrument conférant les droits Périmètre
Etat du Sénégal et Gie Solidarité pour le développement Exploitation d’artisanale d’or alluvionnaire et éluvionnaire  

Code minier 2014

 

Arrêté n°09928 du 18 Juin 2014

 

Kayamakho (région de Kédougou)

Etat du Sénégal et Société CEPHOS international  

Recherche minière pour phosphates

 

Code minier 2014

 

Arrêté n°11345 du 04 Juillet 2014

 

Soudouta (région de Tambacounda)

 Contrats – Les contrats à terme du principal indice boursier du Canada ont chuté mardi en raison de la baisse des prix du brut, alors que les investisseurs sont restés prudents avant la décision de la Réserve fédérale américaine sur les taux d’intérêt cette semaine. Les contrats à terme de juin sur l’indice S&P/TSX étaient en baisse de 0,4 % à 6 h 51 HE. (Zonebourse.com)

Maroc : Chariot et Vivo Energy signent un accord pour la distribution du gaz d’Anchois aux clients industriels

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Le gisement gazier d’Anchois au Maroc est au cœur de la stratégie du royaume, visant à réduire sa dépendance aux importations du combustible.

Au Maroc, la société pétrogazière Chariot Ltd a annoncé la signature avec Vivo Energy, d’un partenariat qui aboutira à la création d’une coentreprise chargée de la distribution de gaz naturel aux clients industriels du pays. Le gaz proviendra du projet Anchois, actuellement en cours de développement en offshore, par Chariot.

Vivo Energy possède un réseau de distribution de plus de 400 stations-service dans le royaume chérifien et livre également des clients commerciaux et industriels. Le partenariat prévoit de se concentrer sur le marketing et la commercialisation du gaz naturel auprès des clients industriels.

Il est prévu la mise en place par les deux parties d’un véhicule spécial pour acheter, transporter et distribuer le gaz naturel aux utilisateurs finaux. Il faut savoir que le partenariat établira aussi un accord de vente de gaz à long terme pour une partie de la future production de gaz du projet de développement d’Anchois.

« La collaboration avec Vivo Energy permettra la fourniture d’un approvisionnement à long terme en gaz naturel dans le secteur industriel en croissance rapide au Maroc. En outre, l’importante demande de gaz industriel au Maroc, que le partenariat vise à satisfaire, soutiendra la viabilité commerciale du projet Anchois », a expliqué Adonis Pouroulis, PDG de Chariot.

Ce partenariat devrait avoir un impact positif sur la croissance économique du Maroc en encourageant l’utilisation du gaz naturel comme alternative aux autres combustibles fossiles.

Olivier de Souza

Source : Agence Ecofin

Tunisie : lancement des opérations de reconditionnement du champ pétrolier Sabria de Serinus Energy

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En décembre 2022, la compagnie Serinus Energy avait révélé son intention d’exécuter des travaux de reconditionnement sur le champ pétrolier tunisien Sabria.

La société Serinus Energy a annoncé, ce mardi 2 mai, le démarrage des activités de reconditionnement sur le périmètre pétrolier Sabria en Tunisie. Ces travaux s’inscrivent dans le cadre du plan visant à optimiser la production du site et devraient durer entre 30 et 40 jours selon les prévisions.

Initialement, la réalisation de ce programme devait essentiellement concerner le puits W-1, endommagé. Au début du mois d’avril, les parties prenantes ont décidé d’abandonner ce projet au profit du puits N-2.

Comme le puits W-1, le puits N-2, foré depuis 1980, n’a pas été en mesure de fournir des volumes substantiels d’hydrocarbures malgré sa localisation à proximité du WIN-12bis, actuellement en production.

Serinus Energy et sa partenaire, l’Entreprise tunisienne d’Activités pétrolières (ETAP), tablent sur ces activités de reconditionnement pour favoriser une meilleure monétisation du champ pétrolier Sabria dont on estime qu’il héberge quelque 445 millions de barils équivalents pétrole d’hydrocarbures.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

L’allemand Olaf Scholz prochainement en Afrique de l’Est pour nouer des partenariats dans le domaine de l’énergie

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En décembre 2022, le ministère allemand du Développement (BMZ) avait annoncé qu’il soutiendra activement le Kenya dans la mise en œuvre de ses objectifs ambitieux pour une transition énergétique équitable.

Le chancelier allemand Olaf Scholz (photo) se rendra cette semaine en Afrique de l’Est, à la recherche, entre autres, de partenariats dans le domaine de l’énergie propre, notamment avec le Kenya, pays leader dans la transition vers les énergies renouvelables sur le continent.

En effet, selon des sources gouvernementales, l’Allemagne voit un grand potentiel dans la mise en place de partenariats énergétiques et climatiques avec le Kenya qui est déjà son principal partenaire en Afrique de l’Est.

Il faut dire que le pays, tout comme ses voisins de l’Afrique de l’Est possède des ressources renouvelables très variées. En plus du solaire, de l’éolien et de l’hydroélectricité, c’est pratiquement la seule région d’Afrique où l’énergie géothermique est exploitée.

Cette abondance offre la possibilité de produire de grandes quantités d’électricité verte et, en conséquence, de l’hydrogène vert, un produit recherché par l’Allemagne qui veut sécuriser son approvisionnement énergétique via des sources propres.

Cela fait déjà quelque temps que la première puissance économique européenne jette les bases d’une future collaboration axée sur l’énergie propre avec plusieurs pays africains. Elle a ainsi noué des partenariats avec la Namibie et l’Égypte dans le domaine de l’hydrogène vert.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

Zambie : Anglo American finance un projet d’éducation dans une communauté proche de ses actifs miniers

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La Zambie est le deuxième producteur africain de cuivre. Depuis quelques mois, le géant minier Anglo American est de retour dans le pays pour trouver de nouveaux gisements à exploiter, afin de répondre à la demande mondiale de cuivre en hausse.

En Zambie, Anglo American a annoncé le 2 mai le lancement d’une initiative destinée à améliorer l’accès à l’éducation de 160 filles en âge d’aller au lycée dans le district rural de Lyovu. Située dans la province du North-Western, la zone est à proximité des licences d’exploration minière sur lesquelles est actif le géant minier britannique, grâce à un partenariat conclu il y a quelques mois avec Arc Minerals.

« Depuis la découverte de minéraux jusqu’à la commercialisation de nos produits d’avenir auprès des clients, Anglo American s’engage à créer une valeur durable pour la société. Bien que nous n’en soyons qu’aux premiers stades de l’exploration en Zambie, nous croyons qu’il faut avoir un impact positif sans délai », a commenté Adriana Blesa, responsable des découvertes d’Anglo American pour la Zambie.

Financée par Anglo American, l’initiative sera mise en œuvre avec le soutien de l’organisation humanitaire World Vision et permettra la modernisation des installations de l’internat du lycée public du district. Elle réduira notamment les longues distances que doivent parcourir actuellement les jeunes filles pour se rendre à l’école. Ce facteur, combiné aux grossesses précoces, aux mariages d’enfants et à la pauvreté, a conduit près de 200 jeunes filles à abandonner l’école au cours de l’année écoulée, selon John Hasse, directeur national de World Vision.

Pour rappel, Anglo American a la possibilité d’acquérir 70 % d’intérêts, dans un certain nombre de licences prometteuses pour le cuivre et le cobalt.

Source : Agence Ecofin

Ouganda : Ionic veut améliorer l’estimation de ressources minérales au projet de terres rares Makuutu

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Makuutu porte les ambitions de l’Ouganda sur les marchés de métaux liés à la transition énergétique. Grâce à ce projet, le pays peut en effet rejoindre le cercle des producteurs mondiaux de terres rares, groupe de métaux utilisés dans les véhicules électriques et les éoliennes.

En Ouganda, la compagnie minière Ionic Rare Earths a annoncé mardi 2 mai le lancement prochain d’un nouveau programme de forage sur certaines licences de son projet de terres rares Makuutu. Ces travaux d’exploration commenceront ce mois et permettront de faire passer dans la catégorie indiquée les ressources inférées d’une licence de rétention, ainsi que de mener des forages de reconnaissance sur deux autres licences.

Dans le plan de développement de Makuutu, Ionic a décidé de soumettre une demande de permis minier pour une seule des six zones d’intérêt du projet et elle s’attend à obtenir l’autorisation au cours de ce trimestre. Les travaux qui seront menés au cours des prochaines semaines soutiendront donc une future demande de permis minier pour une autre zone d’intérêt, au plus tard en 2024 précise Tim Harrison, PDG de la compagnie.

Selon l’étude de faisabilité définitive publiée en mars 2023 pour la phase 1 du développement de Makuutu, la zone d’intérêt choisie pour le permis minier peut soutenir une durée de vie initiale de la mine de 35 ans, avec un bénéfice avant impôts (EBITDA) de 2,29 milliards $ et la production totale de 40 090 tonnes d’oxyde de terres rares. L’investissement initial nécessaire est estimé à 121 millions $ environ.

Source : Agence Ecofin

Gabon : les stocks d’or de la Société équatoriale des mines ont augmenté de plus de 300 % en 2021

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La hausse pourrait se justifier par la volonté du gouvernement du Gabon de ne pas commercialiser l’or produit par la SEM en 2021, dans l’optique de créer une réserve stratégique du métal.

Selon les états financiers de la Société équatoriale des Mines (SEM), contenus dans le dernier rapport ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives), la valeur des stocks d’or de celle-ci était de l’ordre de 7 milliards FCFA (11,7 millions $) en 2021 contre 1,7 milliard FCFA en 2020, soit une variation de 311 %.

Une hausse qui pourrait se justifier par la décision prise par la SEM de ne pas commercialiser son stock d’or produit en 2021 conformément à la volonté de l’État gabonais de créer une réserve stratégique d’or pour plus de crédibilité sur les marchés extérieurs. « La SEM n’avait pas [effectué, Ndlr] de vente d’or en 2021, tout a été stocké, et ce dans un objectif de l’État gabonais de créer une réserve stratégique d’or », précise le rapport ITIE 2021.

La Société équatoriale des Mines (SEM), a été créée en 2011 avec pour missions de détenir et de gérer la participation de l’État dans les sociétés minières, ainsi que d’entreprendre au Gabon ou à l’étranger, toute activité liée au secteur minier. L’activité principale de la SEM est le développement des projets miniers, la transformation locale, la commercialisation des substances précieuses et des minéraux.

Pour le compte de 2021, La SEM possède trois permis d’exploitation et deux permis de recherche. Les principaux projets gérés par la SEM sont notamment le permis d’exploitation de Miamizez situé dans le district de Mvadhy, le permis d’exploitation de Mebaga situé dans le département de l’Okano, province du Woleu Ntem, le Permis d’exploitation des mines à petite échelle (Pempe) Minkie G9-981 qui se situe dans le nord du Gabon à 97 km de Mitzic dans la province du Woleu Ntem, et la carrière de marbre de Dousseoussou, située à environ 17 km de la ville de Tchibanga, province de la Nyanga.

SG

Source : Agence Ecofin