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First Quantum reprend ses activités à la mine de cuivre de Panama

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First Quantum Minerals, l’exploitant de la mine Cobre Panama, a repris ses activités à des niveaux normaux dans la mine, a annoncé mercredi la société de redevances et de streaming axée sur l’or Franco-Nevada Corp.

Franco-Nevada a contribué pour un total de 1,36 milliard de dollars à la construction de Cobre Panama et la mine a représenté 18 % des revenus de l’entreprise en 2021. Le mineur de cuivre First Quantum détient une participation de 90 % dans la mine par l’intermédiaire de son unité Minera Panama SA (MPSA ).
First Quantum avait suspendu les opérations de traitement du minerai à la mine le 23 février après qu’une ordonnance du gouvernement panaméen ait interrompu ses autorisations de chargement au port, limitant sa capacité à stocker du cuivre.

La semaine dernière, le gouvernement et le mineur se sont mis d’accord sur le texte final d’un contrat d’exploitation de la principale mine de cuivre.

Le nouveau contrat garantit un revenu annuel minimum de 375 millions de dollars au gouvernement d’Amérique centrale et sera en vigueur pendant 20 ans avec la possibilité de le renouveler pour 20 autres.

Mardi, l’Autorité maritime du Panama a levé la suspension des opérations de First Quantum Minerals au port de Punta Rincon, que la société canadienne utilise pour exporter du concentré de cuivre de la mine Cobre Panama.

(Par Ankit Kumar; Montage par Maju Samuel et Devika Syamnath)

Source : mining.com

Afrique du Sud : lancement d’un programme de 16 millions $ pour soutenir la transition énergétique équitable à Mpumalanga

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En novembre 2022, l’Afrique du Sud a réussi à obtenir l’approbation du plan d’investissement de 8,5 milliards $ pour son programme de transition énergétique équitable.

Une nouvelle initiative dotée d’un budget de 15,94 millions $ a été lancée le 14 mars afin d’apporter un soutien technique et de recherche à des projets catalytiques de transition équitable dans la province sud-africaine de Mpumalanga.

Baptisé « Just SA », le programme « Just Transition to a Decarbonised Economy for South Africa » est financé par l’Initiative internationale pour le climat du gouvernement allemand et sera mis en œuvre sur une période de cinq ans.

La province de Mpumalanga qui est actuellement le centre de l’industrie du charbon en Afrique du Sud, sera particulièrement concernée par la transition énergétique, car celle-ci implique l’abandon progressif du combustible et par conséquent la perte des emplois qui y sont liés dans le secteur. Près de 22 GW de capacité de production d’électricité à partir du charbon devraient en effet être mis hors service avant 2035.

« La province de Mpumalanga se trouve en première ligne dans la lutte pour transformer fondamentalement notre économie qui dépend actuellement du charbon, en des modes de production et de consommation plus durables et plus respectueux de l’environnement. », a déclaré Barbara Creecy (photo), ministre de l’Environnement, à l’occasion de la cérémonie de lancement du programme.

Abdoullah Diop 

Source : Agence Ecofin

Angola : ExxonMobil envisage d’investir 15 milliards $ dans la recherche d’hydrocarbures, jusqu’en 2030

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Malgré une certaine baisse du niveau de production de ses gisements pétroliers, l’Angola représente encore un terrain de prospection à fort potentiel pour les compagnies pétrolières.

Selon des déclarations faites mardi 14 mars par Paulino Jeronimo, le patron de l’agence nationale en charge du pétrole, du gaz et des biocarburants (ANPG), le géant énergétique américain ExxonMobil pourrait d’injecter jusqu’à 15 milliards de dollars d’ici 2030 à la recherche et éventuellement l’exploitation des ressources en hydrocarbures du pays.

Ce développement fait suite à l’ajout récent d’un addendum au contrat d’exploration des blocs 30, 44 et 45 situés dans le bassin de Namibe, au large des côtes sud de l’Angola. Des périmètres qui, en plus de poser d’importants défis techniques, restent jusqu’ici globalement peu explorés.

L’addendum intervient pour stimuler la prospection pétrolière dans la zone tout en rehaussant l’attractivité et la compétitivité des activités pétrolières dans la région. Ces dernières devraient potentiellement impliquer, pour ExxonMobil, le forage d’un puits d’exploration en 2024.

L’objectif de la compagnie étant « de tirer parti de notre technologie de pointe, de nos capacités d’exécution de projets et de notre engagement en matière de sécurité et d’environnement pour identifier de nouvelles découvertes commerciales dans le bassin Namibe ».

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Maroc : 247Solar et l’UM6P étudient la technologie de l’hydrogène vert afin de soutenir la production d’engrais verts

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Au Maroc, les capacités de recherche et développement de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) et les opportunités offertes par les nouvelles technologies industrielles soutiennent la production d’engrais verts.

Le développeur des technologies d’énergie renouvelable, 247Solar, a annoncé le 14 mars la signature d’un protocole d’accord avec l’Université polytechnique Mohammed VI du Maroc. En vertu de ce protocole d’accord, les deux parties étudieront ensemble la production d’hydrogène vert et d’ammoniac à l’aide des technologies de nouvelle génération de 247Solar en matière d’énergie solaire concentrée (CSP) et de stockage de l’énergie thermique.

Les études chercheront en partie à démontrer la faisabilité et la compétitivité de la technologie innovante CSP de 247Solar pour produire de l’électricité destinée à alimenter des usines d’hydrogène et ammoniac vert afin de décarboniser la production d’engrais.

Le groupe marocain OCP, premier producteur mondial de phosphates, participe à cet effort à travers un investissement dans une usine d’ammoniac vert d’une capacité de 1 million de tonnes par an en 2027 et de 3 millions de tonnes par an en 2032.

« La production d’engrais est un autre secteur important à décarboniser alors que le monde cherche à réduire les émissions de gaz à effet de serre pour atténuer le changement climatique. L’OCP a déjà annoncé un investissement historique de 13 milliards de dollars pour atteindre la neutralité carbone en 2030 pour ses propres activités et la neutralité carbone pour les émissions indirectes d’ici 2040. Nous sommes ravis d’avoir l’opportunité de contribuer à cet effort. », a déclaré Bruce Anderson, PDG de 247Solar.

L’OCP porte un intérêt grandissant pour l’hydrogène vert et l’ammoniaque vert, une filière qui lui permettra d’entrer en force dans le marché des engrais verts et des solutions de fertilisation adaptées aux besoins spécifiques des différents sols et cultures.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

Ghana : Gold Fields et AngloGold Ashanti vont gérer la plus grande mine d’or d’Afrique

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Kibali, l’actuelle plus grande mine d’or d’Afrique, livre annuellement jusqu’à 800 000 onces en RDC. En fusionnant deux de leurs mines d’or au Ghana, les sud-africains Gold Fields et AngloGold Ashanti veulent produire jusqu’à 900 000 onces par an sur ce nouveau complexe aurifère.

Au Ghana, les compagnies sud-africaines Gold Fields et AngloGold Ashanti vont former une coentreprise pour exploiter la plus grande mine d’or du continent. D’après un communiqué conjoint publié le 16 mars, elles vont former un complexe aurifère avec leurs mines d’or voisines Tarkwa et Iduapriem.

Ce complexe devrait afficher une capacité de production annuelle de 900 000 onces sur les cinq premières années de production, et une production annuelle moyenne de plus de 600 000 onces sur une durée de vie d’au moins 18 ans.

Si les discussions doivent encore être finalisées, notamment avec le gouvernement ghanéen, les grandes lignes de ce projet sont déjà connues. En excluant la participation du gouvernement, la nouvelle coentreprise sera détenue à 66,7 % par Gold Fields et 33,3 % par AngloGold Ashanti.

Pour rappel, Tarkwa est actuellement détenue à 90 % par Gold Fields, contre une participation de 10 % du gouvernement ghanéen. Iduapriem est en revanche une propriété exclusive d’AngloGold Ashanti. Les deux actifs ont respectivement livré 531 600 onces et 248 000 onces en 2022, soit 779 600 onces au total.

La création de cette coentreprise ne peut qu’augmenter la production d’or du Ghana, grâce aux synergies opérationnelles prévues, renforçant ainsi le statut du pays ouest-africain comme premier producteur d’or sur le continent. Le Ghana a exporté 3 798 millions d’onces troy en 2022.

Pour rappel, l’actuelle plus grande mine d’or d’Afrique est Kibali en RDC, une coentreprise entre AngloGold Ashanti et le canadien Barrick Gold. Elle a livré 750 000 onces d’or en 2022, soit une baisse de 8 % en glissement annuel. La mine devrait produire jusqu’à 800 000 onces en 2023.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Les leaders africains de l’industrie minière se réunissent à Paris pour le MOTA 2023

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( MINING ON TOP AFRICA) – La 6e conférence Mining On Top Africa (MOTA) se tiendra à Paris les 12 et 13 juillet 2023, après une brève période d’interruption. L’événement sert de forum stratégique pour les principales parties prenantes européennes qui peuvent ainsi se mettre en contact avec des sociétés d’exploration minière et métallurgique d’Afrique. L’objectif de cette conférence est de stimuler la collaboration et les partenariats pour une exploitation minière durable à travers le continent. De nombreux pays africains seront représentés à l’événement, afin de mettre en valeur leurs abondantes ressources minérales et de présenter les derniers développements en matière de pratiques minières durables.

La MOTA est un événement qui réunit un large éventail de participants, notamment des sociétés d’exploitation et d’exploration minières, des représentants des gouvernements et des investisseurs, résolus à relever les principaux défis auxquels sont confrontés les partenaires stratégiques et financiers dans le cadre de leurs investissements dans l’industrie minière en Afrique. Cet événement est le point de rencontre idéal pour les représentants gouvernementaux qui entendent encourager les investissements dans le pays, pour les grandes sociétés minières à la recherche de nouveaux projets et pour les explorateurs qui cherchent à lever des fonds.

La conférence traitera de questions essentielles telles que les pratiques minières responsables, le nécessaire souci de transparence dans le secteur minier et le rôle des gouvernements et des autres parties prenantes dans la promotion de l’exploitation minière durable en Afrique. L’accent sera mis sur les minéraux critiques tels que les terres rares et le lithium, qui sont indispensables à la fabrication de produits de haute technologie tels que les smartphones, les véhicules électriques et les batteries, et qui devraient enregistrer une croissance significative dans les années à venir. Des pays africains tels que la Namibie, le Ghana, l’Afrique du Sud, le Zimbabwe et le Congo ont signalé disposer des gisements considérables de ces minéraux et comptent développer leur industrie minière. La conférence comprendra également des intervenants de premier plan, des tables rondes et des possibilités de networking entre les participants.

Le comité consultatif de la MOTA est constitué d’une équipe diversifiée d’experts, dont :

– Jean-Claude GUILLANEAU, Relations internationales institutionnelles /International Institutional Affairs, Direction Générale/ General Direction, BRGM

– Alkhaly Yamoussa BANGOURA, Directeur Général, B.A.Y Mining

– Godwin BEENE, Président de la Chambre des Mines de Zambie

– Sally BEVINGTON, Directeur Séctoriel, Mines – Afrique, Ministère du Commerce international (DIT), Royaume-Uni

– Stéphane BRABANT, Associé Principal, Trinity International AARPI, France

Les participants peuvent compter sur l’avis de divers experts et dirigeants de l’industrie et participer à des discussions sur la recherche de nouvelles opportunités et solutions pour développer l’industrie minière et la rendre plus durable.

Pour plus d’information et vous inscrire à l’événement, veuillez consuler le site www.miningontop-africa.com.

Contactez l’équipe du MOTA à l’adresse suivante :  mota@ametrade.org

Source : Agence Ecofin

Guinée : Robex va forer au moins 50 000 mètres à la mine d’or Kiniero en 2023

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En maintenance depuis neuf ans, après avoir livré plus de 400 000 onces entre 2002 et 2014, la mine d’or Kiniero devrait être remise en production en 2024. Elle devrait livrer 712 000 onces sur 6,5 ans après ce redémarrage mais l’exploration peut permettre d’améliorer ces chiffres.

En Guinée, la compagnie minière canadienne Robex Resources a lancé le 2 mars dernier une campagne de forage à circulation inverse (RC) d’au moins 50 000 m à son projet aurifère Kiniero. C’est ce qu’elle a indiqué dans un communiqué daté du 14 mars, précisant que les travaux permettront de délimiter de nouvelles cibles d’exploration tout en contribuant à la hausse des ressources sur les gisements déjà connus.

Confiée à la société Forage FTE Guinée, cette campagne sera menée en parallèle avec les forages DD déjà en cours sur le site. Les travaux vont se concentrer au sud du projet où de précédents travaux ont donné des résultats encourageants.

« Les récents résultats de forage et les observations de tranchées cartographiées soutiennent le forage d’extension latérale des gisements connus dans le sud, ciblant les ressources proches de l’usine [de traitement, Ndlr]», explique Andrew de Klerk, directeur de l’exploration de Robex.

Pour rappel, Kiniero est une mine d’or entrée dans le giron de Robex l’année dernière. Auparavant, l’actif est resté en production entre 2002 et 2014, livrant 418 000 onces avant d’être placé en régime de maintenance et entretien. La reprise de la production est attendue pour 2024.

Source : Agence Ecofin

Sovereign Metals va développer au Malawi la mine de graphite la moins polluante au monde

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Selon une étude exploratoire publiée en juin 2022, Kasiya peut livrer annuellement 155 000 tonnes de graphite sur au moins 25 ans. Outre la qualité du produit, Sovereign Metals dispose désormais d’un argument supplémentaire pour convaincre investisseurs et futurs acheteurs.

Au Malawi, la production de graphite à Kasiya affiche le potentiel de réchauffement global le plus bas par rapport aux projets de graphite naturel actuellement connus dans le monde. C’est ce que révèle son propriétaire Sovereign Metals dans un communiqué en date du 15 mars 2023, citant une étude comparative indépendante menée par le cabinet de conseil britannique Minviro, à partir d’une analyse interne de la compagnie minière et des données de mines chinoises et d’autres projets africains de graphite.

Le potentiel de réchauffement global est un indicateur permettant d’évaluer la contribution d’un produit, ou en l’occurrence d’un projet minier, au réchauffement de la planète à travers la quantité de gaz à effet de serre émise au cours de son cycle de vie. L’étude comparative révèle ainsi que pour une tonne de concentré de graphite naturel produite à Kasiya, 0,2 tonne d’équivalent CO2 est rejeté dans l’atmosphère, contre 1,2 tonne en Chine ou 0,4 tonne à Syrah au Mozambique, pour la même quantité de graphite produite.

Il faut dire que Kasiya bénéficiera d’une alimentation électrique provenant quasiment à 100 % de sources renouvelables (raccordement au réseau hydroélectrique et énergie solaire sur le site), en plus de la nature même du gisement. Le graphite de Kasiya est en effet hébergé dans un matériau tendre et friable dont l’exploitation se fera par des méthodes hydrauliques, contrairement à la roche dure qui nécessite davantage d’énergie pour son extraction et son traitement.

Pour Julian Stephens, DG de Sovereign Metals, il s’agit d’un argument important pour attirer les acheteurs, notamment ceux du secteur des batteries lithium-ion, plus grand marché pour le graphite naturel en paillettes. « Les producteurs et les utilisateurs de batteries lithium-ion prennent déjà note de l’empreinte carbone associée aux matières premières qui alimentent la technologie des batteries », explique-t-il.

Rappelons que le graphite est le second produit de Kasiya. Selon une étude exploratoire actualisée publiée en juin 2022, le projet peut livrer annuellement 242 000 tonnes de rutile et 155 000 tonnes de graphite sur une durée de vie de 25 ans au moins, grâce à un investissement initial de 372 millions de dollars.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

La Côte d’Ivoire enregistre une hausse de 14 % de la production d’or en 2022

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La Côte d’Ivoire a produit environ 42 tonnes d’or en 2021. La production d’or du pays est sur une pente ascendante depuis une décennie et l’entrée en production de nouvelles mines dans les années à venir devrait lui permettre de se rapprocher d’autres pays de la sous-région comme le Burkina Faso.

La production d’or en Côte d’Ivoire a atteint environ 48 tonnes en 2022. Il s’agit d’un nouveau record pour le pays d’Afrique de l’Ouest qui enregistre ainsi une hausse de plus de 14 % en glissement annuel, selon un document du ministère ivoirien des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, relayé le 15 mars par Reuters.

La production ivoirienne d’or est dominée par l’exploitation industrielle et portée par trois compagnies basées au Canada et en Australie ayant représenté, d’après les calculs de l’Agence Ecofin, environ 25 tonnes d’or en 2022, soit plus de la moitié de la production totale. L’australien Perseus Mining a produit 347 986 onces (environ 10 tonnes) sur ses deux mines Yaouré et Sissingué, contre 313 000 onces (environ 9 tonnes) pour le canadien Endeavour à Ity, alors que Barrick, également basée au Canada, a produit 201 000 onces (5,7 tonnes) à Tongon.

Cette année, la production d’or devrait atteindre 50 tonnes grâce à l’entrée en service de deux nouvelles mines, en l’occurrence Abujar (Tietto Minerals a commencé la production en janvier 2023) et Séguéla (Fortuna Silver vise l’entrée en production plus tard cette année).

Source : Agence Ecofin

Villedieu-les-Poêles-Rouffigny. Le Directeur de la Société des Mines du Sénégal (SOMISEN SA) visite Villedieu

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Photo : Le Dr Ousmane Cissé avec son ami Émile Constant, qui lui a servi de guide pour la visite de Villedieu. | OUEST-FRANCE

Le Dr Ousmane Cissé, Directeur Général de la Société des Mines du Sénégal – la SOMISEN SA gère la participation de l’État dans les opérations minières de son pays – a consacré sa journée de lundi à la visite de Villedieu, la cité du cuivre.  Je m’intéresse beaucoup à ce métal. Des indices de cuivre ont été identifiés dans la région nord du Sénégal à la frontière avec la Mauritanie. Ils vont faire l’objet d’un programme de recherche sur cinq ans avec le lithium et le manganèse, autres métaux concernés par la transition écologique. 

Dans le cadre de ses fonctions, Ousmane Cissé, ingénieur géologue et docteur en droit minier, parcourt le monde.  Quand j’y vois des objets en cuivre, je pense toujours à Villedieu.  ​

Lundi matin, au retour d’une conférence à Toronto, au Canada, il a pris le Paris-Granville. Accueilli à sa descente du train par son ami Émile Constant, ancien maire de Rouffigny, qu’il a connu au début des années 2000 au Sénégal, il a passé une partie de sa journée à parcourir les rues de la ville et ses vieilles cours.  Le passé de Villedieu est vraiment singulier avec cet artisanat du cuivre qui perdure depuis le Moyen Âge. La visite était passionnante. 

Source : Ouest-France