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SOMISEN

Comment le zircon aide à identifier les gisements de cuivre inexploités

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De nouvelles recherches montrent qu’il est possible d’exploiter des textures de zircon pour identifier des gisements minéraux précieux.

Dans un article publié dans le Journal of Geophysical Research: Solid Earth , Chetan Nathwani et ses collègues de l’Imperial College de Londres expliquent que les zircons sont des minéraux communs et résistants que l’on peut trouver dans des roches datant jusqu’à 4 milliards d’années. Leur structure et leur texture peuvent refléter les conditions dans lesquelles ils se sont formés, ce qui leur vaut la réputation de capsules temporelles de la nature.
Sachant cela, Nathwani et son équipe ont développé une méthode pour distinguer les différences infimes entre les grains de zircon formés dans les roches associées au cuivre et les roches granitiques. Leur méthode pourrait aider les scientifiques à rechercher des gisements minéraux et à sonder les origines de différents sédiments.

Les chercheurs ont utilisé un outil d’apprentissage automatique appelé réseau neuronal convolutif (CNN), spécialisé dans l’analyse d’images.

À l’aide d’échantillons prélevés dans le sud du Pérou , une région qui produit une grande partie du cuivre mondial, ils ont découvert que le CNN pouvait identifier des formes et des textures uniques aux zircons trouvés à proximité des gisements de cuivre. Le modèle a également pu distinguer ces zircons associés au cuivre des zircons trouvés dans d’autres types de roches de la région avec un taux de réussite de 85 %.

Le cuivre a de vastes applications industrielles, de l’électronique à la construction, et l’étude suggère que l’association de l’apprentissage automatique à des techniques plus traditionnelles pourrait faciliter l’exploration et l’identification des gisements de cuivre.

Rédacteur personnel

Source : mining.com

Le joaillier Pandora cible l’or recyclé

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Le monde de la dette éthique a atteint le marché des bijoux de rue. Le danois Pandora A/S a proposé une obligation liée à la durabilité qui comprend un objectif d’utiliser 100 % d’argent et d’or recyclés d’ici 2025.

Le joaillier a vendu vendredi une première obligation liée au développement durable de 500 millions d’euros (531 millions de dollars) d’une durée de cinq ans, selon une personne proche du dossier, qui a demandé à ne pas être identifiée car elle n’est pas autorisée à en parler. il.
L’accord comprend trois objectifs de performance en matière de durabilité, les deux premiers étant axés sur la réduction des émissions tandis que le troisième spécifie l’utilisation totale d’or et d’argent recyclés dans les deux ans. La forte croissance de ces ventes de SLB a ralenti au cours de la dernière année alors que les entreprises font face à un examen minutieux de l’écoblanchiment et si les objectifs sont trop faciles.

L’offre de Pandora faisait partie des efforts visant à réduire sa dépendance au marché des prêts bancaires et à diversifier les sources de financement. La société a atteint “la taille et la force” où il est “naturel” d’obtenir une notation et d’avoir plus de sources de financement que de simples prêts, a déclaré le directeur financier de la société, Anders Boyer, dans une interview cette semaine.

Le produit de la vente sera utilisé aux fins générales de l’entreprise, y compris le refinancement de la dette existante, impliquant une facilité relais par certains des teneurs de livre, selon la personne. L’écart sur les mid-swaps sur les notes s’est resserré d’environ 30 points de base entre la discussion initiale sur les prix et les conditions définitives et les commandes des investisseurs ont atteint environ 2,1 milliards d’euros. L’opération a été gérée par Danske Bank A/S, Nordea Bank Abp, BNP Paribas SA et Morgan Stanley.

Pandora se développe, s’étant engagé à ouvrir au moins 100 nouveaux magasins en 2023. Son stock est en hausse de près de 36 % depuis le début de l’année grâce à de solides bénéfices et prévoit de racheter des actions.

(Par Colin Keatinge et Leo Laikola, avec l’aide de Lisa Pham)

Actualités Bloomberg

Source : mining.com

Maroc : Genel Energy s’engage pour 8 années d’exploration supplémentaires dans le bloc en mer de Lagzira

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En 2020, Genel Energy et les autorités marocaines se sont entendus pour prolonger d’au moins un an, le permis d’exploration du bloc Lagzira, avec en option, une extension additionnelle de six mois.

La société pétrolière Genel Energy a annoncé, mercredi 1er mars, qu’elle a paraphé avec l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM) un accord d’exploration portant sur le bloc Lagzira, situé dans les eaux territoriales du Maroc, à des profondeurs comprises entre 200 et 1200 mètres.

Selon les termes du deal conclu, Genel Energy présente sur ce périmètre depuis 2012 y continuera ses travaux de prospection pour 8 années, divisées en trois périodes d’exploration. Il s’agit pour la société de disposer du temps et de conditions fiscales intéressantes, pour poursuivre le plan d’exploration du site mis en œuvre jusqu’ici.

Dans le cadre de ce dernier, l’entreprise table sur la conclusion d’un contrat d’amodiation sur le périmètre. Ce dernier est couvert depuis 2018 par des données sismiques 3D à large bande qui ont permis de mettre en évidence 18 pistes d’exploration.

L’ensemble des prospects disposerait d’un potentiel moyen estimé à plus de 2,5 milliards de barils de ressources prospectives récupérables. L’un des objectifs de la compagnie est de forer, puis de tester l’un des prospects à fort potentiel dont certains hébergeraient entre 100 et 700 millions de barils d’hydrocarbures.

Notons que Genel Energy détient 75 % d’intérêts opérationnels sur le bloc offshore Lagzira (anciennement Sidi Moussa). Les 25 % restants appartiennent à l’ONHYM.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

L’offre pétrolière de l’OPEP a légèrement augmenté au terme du mois de février 2023

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Il y a quelques semaines, l’OPEP avait annoncé la révision de ses projections de croissance de la demande pétrolière en 2023.

La production de brut des pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a sensiblement augmenté au terme du mois de février 2023. C’est ce que révèle une analyse des flux de transport maritime, basée entre autres sur des chiffres publiés par les fournisseurs de données Kpler, Rystad Energy et Rapidan Energy Group.

Sur cette période, le groupe de pays pétroliers a produit entre 28,97 millions et 29,24 millions b/j. Un plateau de 120 000 à 150 000 b/j supérieur au niveau de production atteint à l’issue du mois de janvier.

Selon les données, le Nigeria a fortement contribué à cette embellie. La hausse est en lien avec la constance retrouvée ces derniers mois dans l’extraction de brut après presque une année de production instable. Par rapport à janvier, ce sont ainsi près de 100 000 b/j supplémentaires que le pays a réussi à extraire au terme du mois février. Le restant est venu de l’Irak qui a augmenté ses exportations sur la période.

Malgré ce développement, la conjoncture de l’industrie pétrolière globale reste délicate, notamment à cause de la récente décision de la Russie de réduire son offre de brut dès ce mois, en réponse aux sanctions des pays occidentaux dans le cadre du conflit qui l’oppose à l’Ukraine.

Dans le même temps, l’éventualité d’une récession de l’économie américaine, conjuguée à une possible hausse de la demande de brut suite à la réouverture de l’économie chinoise, risque d’impacter négativement les cours du pétrole qui pourraient connaître de nouveaux sommets au cours de l’année.

En dépit de ces perspectives, l’OPEP et ses alliés entendent maintenir leur politique de limitation de leur offre pétrolière tout en suivant de près l’évolution de la situation. Une modification de la ligne directrice du cartel n’est donc pas envisagée à court terme.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

RDC : les exportations d’or ont baissé en 2022

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Premier producteur mondial de cobalt et leader de la production africaine de cuivre, la RDC dispose également dans son sous-sol de grandes ressources aurifères. Cette richesse est exploitée grâce à des mines industrielles, mais un meilleur encadrement du secteur artisanal peut augmenter les revenus.

En 2022, la RDC a exporté un total de 28 306 kg d’or, ce qui représente une baisse de 11 % par rapport aux 31 839 kg exportés en 2021. Selon les données publiées par le ministère congolais des Mines sur son site web, la valeur des exportations a également diminué de 13 %, passant de 1,27 milliard de dollars en 2021 à 1,1 milliard de dollars en 2022.

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Source : ministère congolais des Mines

Les données montrent que sur les 28 306 kg d’or exportés par la RDC en 2022, 99,85 % (28 264 kg) proviennent des exploitations industrielles, et seulement 0,15 % (42,25 kg) des exploitations artisanales. Les exportations d’or industriel sont dominées par la société Kibali Gold (28 216 kg), alors que MCCR, l’autre société active dans le secteur n’a exporté qu’une quantité marginale (47,69 kg).

Comme plusieurs pays africains producteurs d’or (Ghana, Mali, Côte d’Ivoire), la RDC doit résoudre un certain nombre de problèmes liés à l’exploitation artisanale. Entre exploitation illicite et contrebande, le manque à gagner se chiffre à des milliards de dollars pour les États. En RDC, au-delà des pertes financières, on peut aussi citer d’autres questions comme les conditions de vie et de travail et l’impact sur l’environnement.

Pour mieux encadrer le secteur et résoudre les différents problèmes cités, le gouvernement congolais consent des efforts dont le dernier en date est la création en décembre dernier d’une coentreprise en partenariat avec les Émirats arabes unis, dénommée Primera Gold DRC. Cette dernière a été chargée de mettre en place une chaine permettant de suivre le chemin de l’or extrait de façon artisanale en RDC jusqu’à son exportation et sa vente sur le marché international. En janvier 2023, l’entreprise a procédé à la première expédition d’or acheté auprès des mineurs artisanaux du Sud-Kivu.

Louis-Nino Kansoun 

Source : Agence Ecofin

Bauxite : les compagnies ont deux semaines supplémentaires pour soumettre les projets d’usines de transformation en Guinée

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La transformation locale de la bauxite, pour laquelle la Guinée est deuxième producteur mondial, est un objectif prioritaire du gouvernement. Pour l’atteindre, il faut convaincre les compagnies minières d’investir les sommes colossales nécessaires et résoudre la question de l’accès à l’énergie.

En Guinée, le président Mamadi Doumbouya a accordé un délai supplémentaire de deux semaines aux compagnies minières actives dans l’exploitation de la bauxite, afin qu’elles soumettent des plans pour la transformation locale du minerai. Ce nouveau rappel vient constater l’échec de la deadline précédente, fixée à mai 2022 et qui n’a pas permis des avancées concrètes sur la question.

Selon un mail transmis le samedi 4 mars par les autorités locales et cité par Bloomberg, le ministre des Mines devrait consacrer ces 14 jours à des rencontres avec les mineurs de bauxite pour discuter des plans communs ou individuels concernant la construction de raffineries d’alumine au niveau local. Les compagnies doivent également soumettre les études de faisabilité relatives à ces projets.

Il faut souligner que la transformation locale des ressources minérales extraites en Guinée est l’un des dossiers prioritaires du gouvernement de la Transition. Le régime dirigé par Mamadi Doumbouya, un officier de l’armée arrivé au pouvoir grâce à un coup d’État, cherche de cette façon à accroitre les investissements dans le pays et, in fine, les revenus générés par le secteur minier.

Cette volonté se heurte cependant à certains défis, comme la mobilisation des investissements nécessaires à ces projets d’envergure, ou encore la question de l’énergie. Dans un pays où moins de la moitié de la population a accès à l’électricité (Banque mondiale, 2020), le fonctionnement d’usines de transformation énergivores entrainera de fréquents délestages ou nécessitera l’ajout de nouvelles capacités (importantes) de production d’électricité.

Pour rappel, la Guinée est le deuxième producteur mondial de bauxite et dispose du tiers des réserves mondiales. Les investisseurs chinois dominent l’exploitation du minerai au niveau local, même si on note également la présence d’acteurs russes et émiratis.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

La répression du Canada contre le financement chinois nuit aux mineurs, selon Friedland

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La répression du Canada contre les investissements chinois dans les minéraux critiques rendra plus difficile pour les mineurs de produire les métaux nécessaires à la transition énergétique mondiale, selon le fondateur d’Ivanhoe Mines Ltd., Robert Friedland.

“Nous allons être privés de tout ce capital chinois dans toutes ces petites sociétés minières”, a déclaré dimanche le magnat des mines milliardaire devant un auditorium bondé à Toronto. “C’est vraiment de plus en plus difficile là-bas d’être mineur.”
Le gouvernement canadien a resserré ses lois sur l’investissement étranger en novembre pour réprimer les entreprises d’État étrangères souhaitant prendre le contrôle ou investir dans l’industrie minière. Le même mois, le gouvernement a ordonné à trois entreprises chinoises de se départir d’un trio d’explorateurs juniors du lithium.

Les nouvelles règles créent un dilemme financier pour les mineurs canadiens qui comptent sur la Chine comme source de financement fiable. La Chine a accumulé des participations dans plus de deux douzaines de sociétés minières canadiennes, dont certains des plus grands noms de l’industrie, selon une analyse de Bloomberg .

Citic Metal Africa et Zijin Mining Group, deux sociétés étroitement liées au gouvernement chinois, détiennent une participation combinée de 39,5% dans Ivanhoe Mines de Friedland. Jiangxi Copper Co. détient 18,3 % du producteur de cuivre de Vancouver First Quantum Minerals Ltd.

Friedland, s’exprimant lors d’une conférence de l’industrie organisée par la Prospectors & Developers Association of Canada, a déclaré que les règles rendent «encore plus difficile» la production de métaux comme le lithium, le cuivre et le nickel lorsque la demande pour les métaux devrait monter en flèche.

« Nous allons avoir besoin de beaucoup plus d’argent pour les petites entreprises minières. Je veux dire, des ordres de grandeur de plus », a-t-il déclaré.

Les nouvelles règles du Canada n’identifient pas les pays, mais les mises à jour font partie d’une nouvelle approche politique à l’égard de la Chine, que le gouvernement du premier ministre Justin Trudeau a décrite comme une “puissance mondiale de plus en plus perturbatrice” qui ne respecte pas les règles et normes internationales.

(Par Jacob Lorinc)

Actualités Bloomberg

Source : mining.com

China Nonferrous Metals Group en pourparlers pour investir dans une fonderie de cuivre kazakhe

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Les dirigeants de China Nonferrous Metals Mining Group Co Ltd (CNMC) ont rencontré des représentants du gouvernement kazakh pour discuter d’un investissement dans une usine de cathodes de cuivre de 300 000 tonnes, a rapporté jeudi l’agence de presse officielle kazakhe Kazinform .

Liu Yu, directeur général adjoint de l’entreprise publique CNMC, a rencontré Marat Karabayev, ministre de l’Industrie et du Développement des infrastructures, dans la capitale kazakhe Astana, ont indiqué les médias officiels.

CNMC n’a pas répondu à une demande de commentaire de Reuters .

Une grande entreprise qui a pris les devants dans le développement des ressources minérales non ferreuses de la Chine à l’étranger avec de nombreux investissements, CNMC a également un projet d’aluminium électrolytique au Kazakhstan.

Le Kazakhstan détient des réserves de 20 millions de tonnes de cuivre, selon l’US Geological Survey. Le pays a produit 453 003 tonnes de cuivre affiné en 2022, en hausse de 12,7 % par rapport à l’année précédente, selon les données du Bureau kazakh des statistiques.

Les actions de l’unité CNMC, l’ingénierie et la construction étrangères de l’industrie chinoise des métaux non ferreux 000758.SZ, ont augmenté de 2% dans les échanges de vendredi matin.

(1 $ = 6,9018 yuan chinois)

(Par Andrew Hayley, Siyi Liu et Mai Nguyen; Montage par Barbara Lewis et Edwina Gibbs)

Reuters

Source : mining.com

Namibie : PGS va acquérir des données sismiques 3D supplémentaires sur des zones situées en mer

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Fin octobre 2022, PGS avait déjà obtenu un marché pour effectuer des levés sismiques 3D sur des périmètres localisés dans les eaux territoriales de la Namibie.

Le fournisseur norvégien de données sismiques PGS a annoncé ce vendredi 3 mars, qu’un nouveau marché lui a été octroyé pour des travaux de levés sismiques 3D couvrant des zones situées en mer, en Namibie.

Ce contrat, dont les coûts sont de l’ordre d’au moins 10 millions de dollars, complète un précédent marché de levés sismiques 3D, attribué à la société en octobre dernier, sur les mêmes zones.

« Nous sommes heureux de l’attribution de ce contrat, qui fait suite au projet précédent et assure la visibilité du navire pendant la saison estivale 2023 », a déclaré Rune Olav Pedersen, président et directeur général de PGS.

Les activités en lien avec l’entente convenue avec les parties prenantes devraient se dérouler sur deux mois et s’achever d’ici la dernière semaine du mois de mai 2023 au plus tard.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

En 2022, la quantité de diamants exportée par la RDC a baissé, mais les revenus générés augmentent

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La RDC fait partie des plus grands producteurs de diamants du continent africain, au même titre que des pays comme le Botswana, l’Angola ou encore l’Afrique du Sud. En 2022, le pays a pu profiter des prix en hausse sur le marché.

Les exportations de diamants de la RDC ont totalisé 11 683 439 carats en 2022, en baisse de près de 6 % en glissement annuel, selon les calculs réalisés par l’Agence Ecofin sur la base des statistiques minières nationales publiées pour l’exercice. Il s’agit de la plus faible quantité de diamants exportée sur une année par le pays d’Afrique centrale depuis 2018 (voir graphique 1).

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Source : Ministère des Mines RDC

Il faut noter que sur le total de diamants exporté en 2022 par la RDC, plus de 62 % proviennent des mines artisanales, le reste provenant des exploitations industrielles.

Malgré la baisse en quantité constatée, les revenus générés par les exportations ont augmenté de plus de 16 % en glissement annuel pour atteindre en 2022 un total de 145 992 908 dollars, ce qui traduit des prix de vente plus élevés.

Soulignons néanmoins que le prix moyen par carat pour les diamants congolais reste assez faible (12,50 dollars/carat en 2022). Cela s’explique par le fait que les diamants produits dans le pays sont en grande partie destinés à une utilisation industrielle (plus de 90 %) et seulement une toute petite proportion à la joaillerie (où les diamants de qualité gemme font partie des pierres les plus précieuses au monde et donc les plus chères).

À titre de comparaison, les revenus d’exportation de diamants de l’Angola (dont les pierres sont majoritairement utilisées en joaillerie) étaient de près de 2 milliards de dollars en 2022, pour 8,75 millions de carats vendus.

Louis-Nino Kansoun 

Source : Agence Ecofin