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SOMISEN

Lukoil veut participer à de nouveaux projets pétroliers et gaziers au Congo

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Récemment, Lukoil a activé un plan visant à étendre sa présence dans l’industrie pétrolière africaine.

Ivan Romanovsky, le vice-président de Lukoil pour l’Amérique, l’Afrique et le Moyen-Orient, a annoncé que la société souhaite participer à de nouveaux projets pétrogaziers en République du Congo, en tant qu’opérateur. Cette déclaration fait suite à une réunion avec le ministre congolais des Hydrocarbures, Bruno Jean-Richard Itoua.

Pendant les échanges, les deux parties ont largement abordé la participation actuelle de Lukoil au projet Marine XII, opéré par Eni. « Nous avons discuté aujourd’hui d’un certain nombre d’opportunités concernant la prise du statut d’opérateur sur certains projets », a déclaré Romanovsky, qui espère le soutien du ministère des Hydrocarbures et du gouvernement à cette fin.

En 2019, Lukoil a racheté à New Age M12 Holdings Limited une participation de 25 % dans Marine XII pour 800 millions de dollars. Le projet est opéré par Eni, via une participation de 65 %, tandis que la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) y détient une part de 10 %. Le projet vise à exporter le GNL produit sur place. Pour ce faire, Eni a déjà signé un contrat avec la société d’ingénierie chinoise Wison Heavy Industry, pour la construction d’une installation flottante de gaz naturel liquéfié d’une capacité annuelle de 2,4 millions de tonnes.

Le projet Marine XII couvre une superficie de 571 kilomètres carrés, avec cinq champs découverts dans le bloc. Les champs de Nene et de Litchendjili sont en production depuis 2015 et produisent principalement du pétrole léger à faible teneur en soufre et des condensats de gaz, ainsi que du gaz brut.

Olivier de Souza

Source : Agence Ecofin

Botswana : nouvelles avancées de Tlou sur le projet de gazier de Lesedi

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Mi-décembre 2022, Tlou avait annoncé son intention de lever un financement de 3 millions de dollars pour financer son projet de production d’électricité à partir du champ de méthane de houille de Lesedi. Le forage d’un puits avait été annoncé.

La compagnie australienne Tlou Energy a annoncé, mercredi 15 mars, qu’elle exécute une nouvelle étape de ses activités liées au projet gazier de Lesedi au Botswana. Ces dernières comprennent la réalisation d’opérations de carottage sur le site du projet. Elles prennent également en compte une campagne de forage de puits sur le périmètre comme prévu par la société.

Les travaux de carottage sont d’ores et déjà en cours. Ils interviennent essentiellement en prélude au forage prochain du puits ayant pour cible le prospect Lesedi 6. L’objectif étant de fournir des informations supplémentaires permettant une meilleure maîtrise de la structure géologique de ce dernier.

Pour ce qui est du forage proprement dit du puits Lesedi 6, il devrait être lancé d’ici la fin du mois de mars d’après les projections de la compagnie. Comme avec les prospects Lesedi 3 et Lesedi 4, Lesedi 6 devrait impliquer un puits de production vertical et deux puits latéraux.

« Lesedi 6 est le premier puits d’un programme de forage planifié pour augmenter la production de gaz du projet Lesedi. Les flux de gaz provenant de Lesedi 6 devraient être convertis en électricité pour le contrat d’achat d’électricité de 10 MW conclu avec la Botswana Power Corporation (BPC), une fois que la ligne de transmission, les sous-stations et l’infrastructure électrique associée seront en place », indique Tlou dans un communiqué.

Concernant la ligne de transmission et ses annexes, elle affiche un taux d’exécution d’environ 60 % en dépit du retard que les travaux ont connu au cours des semaines écoulées. Selon les projections des parties prenantes, leur finalisation est prévue d’ici juin 2023, au plus tard.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Gabon : le chinois CNOOC promet des résultats satisfaisants après le forage de puits pétroliers au large de Port-Gentil

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La société pétrolière China National Offshore Oil Corporation a finalisé le forage de 2 puits pétroliers (BC9 et BCD10) au large de Port-Gentil au Gabon. Les données de prospection obtenues après le forage ne sont pas encore disponibles, a annoncé Xia Quinglong, PDG de l’entreprise, au sortir d’une audience avec le ministre du Pétrole Vincent de Paul Massassa.

78imo

« On vient à peine de finir les forages de 2 puits. Il y a une série de travaux à faire ensuite. Après cette étape, on va faire des études approfondies, et puis on verra quelle stratégie adopter », a-t-il expliqué, tout en promettant des résultats satisfaisants pour la suite.

Ces résultats « satisfaisants » motivent la société chinoise qui s’affirme prête à acquérir de nouveaux blocs pétroliers au Gabon, et à renforcer sa présence dans le secteur des hydrocarbures du pays, informe Le Nouveau Gabon.

CNOOC avait déjà montré en octobre 2022 son intérêt à investir dans 6 nouveaux blocs pétroliers parmi les 35 mis aux enchères depuis 2018 par l’État gabonais. L’opération avait entre autres pour but, selon le ministère du Pétrole, de lutter contre le déclin de la production à long terme et de renouveler les réserves du pays par l’intensification de l’exploration.

Source : Agence Ecofin 

Pétrole : après l’Afrique du Nord, les produits pétroliers russes atteignent le marché ouest-africain

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Fin février, le fournisseur Kpler avait établi, à partir d’une analyse des données du transport maritime russe, que des quantités significatives d’hydrocarbures russes avaient été livrées à plusieurs pays du Maghreb comme le Maroc.

La Russie semble déterminée à trouver de nouveaux marchés, notamment en Afrique, pour y écouler ses produits pétroliers, contournant ainsi l’embargo sur les produits pétroliers imposé par l’Union européenne. Plusieurs sources anonymes ont ainsi révélé, mercredi 15 mars, des informations selon lesquelles des quantités significatives de produits pétroliers auraient été expédiées vers des pays d’Afrique de l’Ouest comme le Sénégal et le Ghana.

Ce dernier aurait notamment réceptionné environ 600 000 barils de brut léger en provenance du port russe de Novorossiysk. Une cargaison immobilisée au port ghanéen de Tema pendant trois semaines et qui aurait été finalement rachetée par Platon Oil and Gas, une compagnie privée ukrainienne disposant d’une raffinerie au Ghana.

Cette expédition de brut, si elle est confirmée, serait la première effectuée à destination du marché pétrolier d’Afrique de l’Ouest, en plus de cinq ans. Elle viendrait se greffer à une entente d’importation de gazole en cours d’exécution et liant le gouvernement ghanéen à la société Litasco, une filiale du producteur russe de pétrole Lukoil. Un marché convenu en échange de paiements en or plutôt qu’en liquide.

D’après les sources anonymes, Litasco active sur le marché africain depuis une vingtaine d’années, aurait également livré environ 41 000 tonnes de produits pétroliers au Sénégal, au cours du mois de février 2023. Dakar devrait d’ailleurs recevoir une cargaison similaire d’ici la fin du mois de mars.

Au vu des circonstances, l’Afrique semble devenir désormais l’une des cibles privilégiées des exportations pétrolières russes. L’analyse des données portuaires révèle qu’outre le Maroc et la Tunisie qui auraient, au moins en partie, déjà réceptionné des produits pétroliers russes, l’Égypte et la Libye seraient également de nouvelles destinations pour les combustibles.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Kenya : Fortescue Future Industries s’engage à développer des projets d’ammoniac et d’engrais verts

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Dans le développement de projets d’hydrogène vert, l’australienne Fortescue Future Industries est l’une des entreprises les plus dynamiques en Afrique. Elle est notamment présente en Égypte et à Djibouti.

Le gouvernement du Kenya et le développeur de projets d’énergies propres Fortescue Future Industries ont renforcé le 15 mars leur engagement à progresser vers le développement d’un projet majeur d’énergie verte et d’engrais.

Les deux parties ont en effet signé un accord de soutien à l’investissement et de mise en œuvre pour le développement potentiel d’une installation de production d’ammoniac vert et d’engrais d’une capacité de 300 MW, dans les environs de Naivasha près du champ géothermique d’Olkaria. Cet accord fait suite à un autre signé entre les deux parties en novembre 2022, à l’occasion de la COP 27.

« Aujourd’hui, nous marquons une étape importante dans nos engagements visant non seulement à réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais surtout à affirmer avec force que le Kenya s’est engagé dans un ambitieux programme de croissance verte. », a commenté le Président du Kenya, William Ruto, à l’occasion de la signature de l’accord.

Pour le Kenya, ce partenariat permettra de produire des engrais exempts de combustibles fossiles, de développer une industrie locale forte et de réduire son exposition aux importations.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

Ghana : le PDG du Fonds minier nommé au Conseil d’administration du canadien Asante Gold

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En 2022, le Fonds minier du Ghana a presque doublé la valeur de son portefeuille d’actifs, investissant notamment 20 millions USD dans la société Asante Gold qui exploite deux mines d’or dans le pays.

Edward Nana Yaw Koranteng (photo), PDG du Minerals Income Investment Fund (MIIF), le Fonds minier du Ghana siège désormais au Conseil d’administration d’Asante Gold. L’annonce a été faite le 17 mars par la compagnie minière canadienne, qui fait partie des principaux producteurs d’or dans le pays ouest-africain.

La nomination de M. Koranteng fait suite à l’entrée du Fonds minier au capital de l’entreprise l’année dernière, avec un investissement de 20 millions $. Banquier d’affaires arrivé à la tête du MIIF en 2021, il a notamment fait passer la valeur des actifs sous gestion du Fonds de 1,7 milliard de cedis à 3,2 milliards de cedis en 2022 (plus de 250 millions USD au cours actuel). Notons que l’actuel PDG d’Asante Gold, David Anthony, nommé à ce poste en 2022, vient également de rejoindre le Conseil d’administration.

« Le conseil d’administration bénéficiera grandement de ces deux nouvelles nominations.  La nomination de Dave découle naturellement de son rôle de directeur général d’Asante au cours de l’année écoulée et, auparavant, de son rôle de directeur de l’exploitation », a rappelé Douglas MacQuarrie, président du Conseil.

Pour rappel, Asante exploite les mines d’or Bibiani et Chirano au Ghana. La compagnie veut produire environ 400 000 onces d’or cette année.

Emiliano Tossou

Source : mining.com

Burkina Faso : le gouvernement retire à Centamin le permis d’exploitation d’or à Batié

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En 2015, le britannique Centamin a obtenu via sa filiale locale Konkera SA un permis d’exploitation de grande mine d’or pour 20 ans, au Burkina Faso. La compagnie n’a cependant jamais lancé les travaux de construction de la mine, en partie à cause de la situation sécuritaire.

La compagnie minière Centamin, basée dans l’Île de Jersey, une dépendance de la Couronne britannique, a officiellement renoncé à exploiter le gisement d’or de Batié au Burkina Faso. Réuni en Conseil des ministres le 16 mars, le gouvernement a adopté un décret confirmant cette décision.

Centamin disposait depuis 2015, à travers sa filiale locale Konkera SA, d’un permis d’exploitation de grande mine d’or valable vingt ans dans la commune de Batié, région du Sud-Ouest. Seulement, la société n’a jamais pu lancer les travaux de construction de la mine « à cause de la conjoncture économique du marché de l’or et de la situation sécuritaire », précise le compte rendu du Conseil.

Si les prix de l’or ont néanmoins atteint des sommets historiques ces trois dernières années, la situation sécuritaire au Burkina Faso s’est en revanche beaucoup dégradée, ce qui peut expliquer l’abandon de Centamin. L’année dernière par exemple, la production d’or burkinabé a baissé de 14 % après la fermeture de certaines mines d’or et l’abandon des activités d’orpaillage par plusieurs mineurs artisanaux, inquiétés par la menace terroriste. Environ 40 % du territoire national échappe en effet au contrôle de l’État.

Notons que Centamin n’a pas renoncé à toute activité minière au Burkina Faso. En 2022, la compagnie a dépensé près de 3 millions de dollars en travaux d’exploration et s’est aussi acquittée auprès du gouvernement des frais liés à des permis d’exploration détenus dans le pays.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Tanzanie : une société de Hong Kong achètera au moins 50 000 tonnes de graphite au projet Bunyu

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En juin 2022, la société de Hong Kong Graphex Group a signé en juin 2022 une lettre d’intention en vue de conclure un accord définitif sur l’achat d’une partie de la production de graphite du projet Bunyu. Son propriétaire, l’australien Volt Resources, vient d’annoncer la fin des négociations.

En Tanzanie, le propriétaire du projet de graphite Bunyu a un nouvel acheteur. L’australien Volt Resources a en effet annoncé le 17 mars la conclusion d’un accord avec Graphex Group, une société basée à Hong Kong qui s’engage à acheter annuellement 10 000 tonnes de fines paillettes de graphite naturel, sur une durée de cinq ans renouvelable d’un commun accord.

La signature de cet accord est le fruit de négociations entamées en juin dernier, après la signature d’une lettre d’intention non contraignante. Graphex Group, société doublement cotée sur les bourses de Hong Kong et de New York, fait partie des grands producteurs de graphite sphérique utilisé pour les anodes des batteries lithium-ion. Son intérêt pour le graphite tanzanien illustre la diversification en cours de l’offre mondiale de ce produit, dominée historiquement par la Chine.

Selon un rapport de Benchmark Minerals Intelligence, les pays africains devraient ainsi représenter 40 % de l’offre mondiale d’ici 2026, contre 15 % en 2021, alors que la part de la Chine passerait de 68 % en 2021 à 35 % dans trois ans. Outre le Mozambique, actuel premier producteur africain, la Tanzanie et Madagascar sont les pays qui devraient soutenir cette croissance de l’offre continentale.

Il faut rappeler que l’accélération des projets de graphite sur le continent ces dernières années s’explique par l’augmentation prévue de la demande, du fait de l’utilisation du matériau dans les véhicules électriques. Les ventes de ces derniers qui ont explosé ces dernières années, représentaient en 2022 et pour la première dans l’histoire, 10 % de l’ensemble des ventes de voitures.

« Compte tenu de la forte demande prévue sur le marché du graphite, nous continuons à faire avancer les discussions avec d’autres parties en ce qui concerne d’autres opportunités d’achat de graphite », a d’ailleurs indiqué Prashant Chintawar, PDG de Volt Resources.

Bunyu est considéré comme le plus grand gisement de Tanzanie et peut livrer annuellement jusqu’à 23 700 tonnes de graphite au cours de sa première phase de développement. Volt Resources est actuellement en discussions pour obtenir le financement nécessaire (environ 32 millions $ d’après une étude de faisabilité définitive de 2018) à la construction de la mine.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

La hausse du prix de l’or s’accélère alors que le choc de la crise bancaire persiste

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Les prix de l’or ont bondi de plus de 2% vendredi alors qu’une vague de crises bancaires a secoué les marchés dans ce qui serait la plus forte hausse hebdomadaire du lingot depuis novembre. Les paris se sont également solidifiés pour une hausse des taux moins agressive de la part de la Réserve fédérale américaine, renforçant l’attrait du métal non productif.

L’or au comptant a augmenté de 2,1 % pour atteindre 1 959,92 $ l’once à 12 h 15 HE, son plus haut niveau en près d’un an. Les contrats à terme sur l’or américain ont également gagné 2,0 % à 1 961,90 $ l’once.

L’effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB), le deuxième plus grand krach bancaire de l’histoire des États-Unis, a mis en évidence la vulnérabilité des banques à des taux nettement plus élevés, tandis qu’une déroute des actions du Credit Suisse a ajouté à la tourmente du marché mondial.

“L’or est susceptible de briller à travers le chaos alors que les investisseurs adoptent une position prudente”, a déclaré Lukman Otunuga, analyste de recherche senior chez FXTM. Le dollar et les marchés boursiers ont continué de chuter vendredi, faisant du métal refuge un investissement plus attrayant.

Pourtant, la Fed devrait relever ses taux d’intérêt de 25 points de base la semaine prochaine malgré les récentes turbulences du secteur bancaire, selon une forte majorité d’économistes interrogés par Reuters qui étaient divisés sur les risques pesant sur leur vision des taux terminaux.

(Avec des fichiers de Reuters)

Source : mining.com

Le bénéfice de Kazatomprom en 2022 double alors qu’il abaisse les prévisions de production pour 2023

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Kazatomprom (LSE : KAP) a annoncé vendredi une augmentation de 115 % de ses bénéfices pour l’année 2022, grâce à une augmentation de 31 % du prix moyen réalisé de l’uranium.

Malgré les solides performances financières, la société kazakhe – le plus grand producteur d’uranium au monde – a tempéré ses prévisions de production pour 2023, affirmant que des retards persistants et/ou un accès limité à certains matériaux vitaux, notamment l’acide sulfurique et l’équipement, avaient eu un impact sur le calendrier de mise en service du champ de captage l’année dernière. .

La société a attribué le profil de production en baisse à la pandémie de covid-19, qui a eu un impact sur le développement du champ de captage en 2021. Par rapport à 2021, en 2022, le coût décaissé net direct (C1) attribuable était de 16 % à 10,25 $ par livre, principalement en raison de une augmentation de la masse salariale du personnel de production et une augmentation du coût des matériaux sous l’effet de la pression inflationniste.

Les charges décaissées de maintien tout compris ont augmenté de 28 % pour atteindre 16,19 $ la livre en 2022 en raison de l’augmentation des dépenses en immobilisations des sociétés minières. Les résultats ont toutefois été jugés conformes aux prévisions.
Le prix moyen réalisé en 2022 était de 43,33 $ la livre, ce qui lui donne une marge saine.

Les revenus de l’année ont bondi de 45 % pour atteindre 2,2 milliards de dollars, ce qui s’est traduit par un bénéfice net de 1 milliard de dollars.
L’analyste minier britannique de Canaccord Genuity, Alexander Bedwany, souligne dans une note aux clients qu’un élément clé à retenir est que le marché au comptant continuera probablement d’être serré, les coûts continuant d’augmenter pour les producteurs.

La production attribuable à Kazatomprom représentait environ 24 % de la production mondiale d’uranium primaire en 2021. La société bénéficie de la base de réserves la plus étendue de l’industrie et exploite – via ses filiales, JV et associés – 26 gisements au Kazakhstan, regroupés en 14 actifs miniers.

Toutes les opérations minières de la société sont situées dans ce pays d’Asie centrale et elle extrait l’uranium à l’aide d’une technologie de récupération in situ.

Bedwany de Canaccord attire l’attention sur le langage de Kazatomprom dans son communiqué de presse sur ses liens avec la Russie, par lesquels certaines exportations sont acheminées et traitées, la société reconnaissant que les sanctions contre la Russie pourraient avoir un impact important sur ses activités. Cependant, il a souligné qu’il n’y avait aucun impact à ce jour. La société a déclaré qu’une analyse de risque hautement prioritaire était menée en permanence concernant le respect des sanctions.

Kazatomprom a déclaré qu’il était bien placé pour bénéficier de l’amélioration de la dynamique du marché et de la maximisation de la valeur pour les parties prenantes grâce à une production et une discipline de vente continues. Les certificats de dépôt mondiaux de Kazatomprom se sont négociés pour la dernière fois à 27,00 $, après s’être négociés entre 23,22 $ et 36,62 $ au cours des 12 derniers mois.

Source : mining.com