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SOMISEN

Or, argent, platine : la Banque mondiale voit une hausse de 6 % des prix en 2023 (rapport)

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La Banque mondiale vient de publier le premier de ses deux rapports annuels sur les perspectives pour les matières premières. Plusieurs pays africains, dont l’or est le premier produit d’exportation, sont concernés par ces prévisions, sans oublier l’Afrique du Sud, leader sur le marché du platine.

La Banque mondiale a publié fin avril son premier rapport de l’année sur les perspectives des marchés des matières premières. Le document indique que les prix des métaux précieux, or, platine et argent, devraient connaitre une hausse moyenne de 6 % en 2023, grâce notamment à la demande de valeurs refuges.

Les valeurs refuges permettent aux investisseurs de se prémunir contre la dépréciation de la valeur des autres actifs dans les périodes de crise ou d’incertitude, comme celle que traverse le monde depuis quelques mois. La situation actuelle est notamment caractérisée, selon la Banque mondiale, par les incertitudes quant aux perspectives de croissance de l’économie mondiale, les inquiétudes entourant l’évolution de l’inflation ou encore les tensions financières au premier trimestre, liées à la faillite de plusieurs banques américaines et aux difficultés de Credit Suisse.

Si ces facteurs ont joué un rôle dans la progression de 9 % constatée au premier trimestre pour l’indice des métaux précieux de l’institution de Bretton Woods, la Banque note que la forte demande industrielle pour l’argent et le platine a également soutenu les prix.

Prix de l’or en 2023 et 2024

Selon la Banque mondiale, le prix de l’or a augmenté de 9 % au premier trimestre 2023, sous la poussée d’un dollar plus faible et de l’incertitude persistante causée par la guerre en Ukraine et l’inflation élevée. Si ces conditions se maintiennent pour le reste de l’année, l’institution s’attend à un prix moyen de 1 900 dollars l’once troy, soit une hausse de 6 % en glissement annuel.

En revanche, 2024 devrait connaitre une baisse de 8 % du prix de l’or à 1 750 dollars l’once troy, avec l’atténuation des pressions inflationnistes attendue l’année prochaine, la relance de l’économie mondiale ou encore la décision des banques centrales sur la quantité d’or à détenir. En 2022, les achats de ces dernières ont atteint leur plus haut niveau depuis 55 ans (1 135 tonnes selon le World Gold Council) et pourraient retomber à un niveau proche de celui de 2021 (450 tonnes) d’ici quelques mois. Cette demande plus faible devrait exercer une pression à la baisse sur les prix de l’or.

En Afrique, plusieurs pays tirent une part importante, voire majoritaire de leurs revenus d’exportation de l’exploitation de l’or. C’est le cas du Ghana, du Mali, du Burkina Faso ou encore de la Côte d’Ivoire.

Prix de l’argent en 2023 et 2024

Si l’argent est moins demandé que l’or, il constitue aussi une valeur refuge et, à ce titre, a donc bénéficié des mêmes facteurs qui ont soutenu la hausse de l’or au cours des six derniers mois. La Banque mondiale indique que les prix de l’argent ont augmenté de 10 % et 6 % en glissement trimestriel, respectivement au dernier trimestre 2022 et au premier trimestre 2023.

Par ailleurs, la demande industrielle d’argent a augmenté de 6 % en 2022 pour atteindre son pic au cours de la dernière décennie, grâce à son utilisation accrue dans l’énergie photovoltaïque (12 % de hausse) et l’électronique grand public (+7 %). Si l’institution estime que la hausse à long terme de la demande dans ces deux secteurs, ainsi que dans l’automobile, pourraient stimuler les prix, elle s’attend néanmoins à une baisse de 4 % l’année prochaine (22 dollars l’once troy), après une augmentation de 6 % en 2023 (23 dollars l’once troy).

En Afrique, le Maroc est le pays qui devrait le plus profiter de perspectives positives sur ce marché, en tant que premier producteur d’argent sur le continent.

Prix du platine en 2023 et 2024

Le platine est le produit qui a le moins contribué à la hausse de l’indice des prix des métaux précieux au premier trimestre 2023, avec une progression de seulement 2 %. Les conditions d’offre et de demande sont en effet restées relativement stables selon la Banque mondiale, avec une forte demande industrielle, quoiqu’encore inférieure de 14 % au record de 2021, et une offre réduite en raison des problèmes d’électricité en Afrique du Sud, leader du marché.

Alors qu’aucune solution efficace aux difficultés énergétiques de l’Afrique du Sud n’a encore été trouvée, l’institution voit une hausse de 4 % en glissement annuel des prix du platine, à 1 000 dollars l’once troy en 2023, puis une augmentation de 5 % en 2024.

Notons qu’en dehors de la nation arc-en-ciel, un autre pays africain, en l’occurrence le Zimbabwe, a de bonnes raisons de se réjouir de ces perspectives positives. Le pays d’Afrique australe détient en effet les troisièmes plus grandes réserves mondiales de platine derrière l’Afrique du Sud et la Russie.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Tanzanie : Peak Rare Earths mobilise 27,5 millions de dollars pour lancer les travaux préliminaires à la mine Ngualla

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Pour entrer dans le cercle des producteurs mondiaux de terres rares, la Tanzanie fonde de grands espoirs sur son partenariat avec Peak sur le projet Ngualla. La société s’active pour respecter son calendrier de développement, avec une entrée en production prévue pour 2025.

Les premiers travaux prévus par la compagnie Peak Rare Earths pour pouvoir prendre une décision finale d’investissement à sa mine tanzanienne Ngualla devraient commencer bientôt. Après l’annonce lundi d’une levée de fonds de 27,5 millions de dollars australiens (18,4 millions USD) par le biais d’un placement en deux tranches, la société indique disposer de suffisamment de fonds pour lancer lesdits travaux.

Alors qu’elle a récemment signé avec le gouvernement tanzanien un accord-cadre et obtenu un permis d’exploitation minière spéciale pour le projet Ngualla, Peak veut concentrer ses efforts sur les travaux d’ingénierie de base et de conception.

La compagnie basée en Australie prévoit aussi de finaliser les négociations pour des accords contraignants de prélèvement portant sur la production future, mais également d’avancer dans les discussions sur le financement du projet.

« Le soutien manifesté par les institutions pour ce placement témoigne du travail important entrepris par la société pour réduire les risques de développement et confirme la nature de classe mondiale du projet Ngualla qui est l’un des projets de terres rares non développés les plus avancés au monde », a commenté Russell Scrimshaw, président exécutif de la société.

Selon une étude de faisabilité bancable actualisée publiée en octobre 2022, la mine Ngualla devrait produire annuellement 16 200 tonnes de concentré de terres rares sur une durée de vie de 24 ans. Le capital initial nécessaire au développement du projet est estimé à 321 millions $. Une fois opérationnelle, Ngualla devrait générer un chiffre d’affaires annuel de 538 millions $ et un EBITDA annuel de 448 millions $.

Louis-Nino Kansoun 

Source : Agence Ecofin

ActuMines/ActuLex  

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ActuMines

Burkina Faso – Les groupes d’épargne communautaire, comme les associations villageoises d’épargne et de crédit (AVEC), représentent des solutions simples, mais intéressantes pour favoriser l’inclusion financière des exploitants artisanaux de l’or et servir de point de départ pour la formalisation du secteur dans les pays africains, selon un rapport publié en mars dernier par IMPACT. En RDC, 50 AVEC ont été créées en 2018 et 54 autres au Burkina Faso en 2022. Dans les deux pays, plus de 2 700 femmes et hommes ont épargné conjointement plus de 176 000 dollars. (Impacttransform.org)

Ghana Le géant américain Newmont prévoit de produire un minimum de 990 000 onces sur ses deux projets Ahafo et Akyem en 2023. En attendant de voir si cet objectif sera atteint, Newmont vient de renouveler son partenariat avec la société australienne de fourniture de services miniers Perenti, qui continuera de gérer pour cinq années supplémentaires l’exploitation de la mine souterraine Subika. (Agenceecofin.com)

Namibie – L’initiative de Madison Metals consistant à transformer l’uranium en jetons non fongibles (NFT) pour financer ses projets dans le pays est momentanément interrompue. C’est ce qu’il faut retenir d’un communiqué publié le 28 avril par la compagnie minière canadienne, qui a indiqué la rupture du contrat le liant à son partenaire technique sur ce projet, la société Lux Partners. (Agenceecofin.com)

Tanzanie – La Tanzanie devrait produire 11 % du graphite mondial d’ici 2030. La compagnie minière australienne EcoGraf Limited a publié le 28 avril une mise à jour des résultats et hypothèses publiés dans l’étude de faisabilité bancable (BFS) de 2017 pour son projet Epanko. La production annuelle de sa future mine de graphite passe désormais à 73 000 tonnes de graphite, sur les 11 premières années de la durée de vie de 18 ans, contre 60 000 tonnes sur 18 ans auparavant. (EcoGraf)

Mexique – Le Sénat mexicain a approuvé samedi une nouvelle loi minière. Cette loi sur l’exploitation minière réduit la durée des concessions de 50 à 30 ans, renforce les permis d’extraction d’eau et exige que certains bénéfices miniers soient reversés aux communautés locales, entre autres modifications. Le président Andres Manuel Lopez Obrador a promu l’initiative, mais avait initialement proposé de réduire les concessions à 15 ans. (Mining.com)

Chine – La contraction surprise de l’indice manufacturier chinois en avril, après que la croissance du premier trimestre ait dépassé les attentes, souligne la nature inégale de la reprise de la deuxième économie mondiale. Cette histoire économique variable se reflétera probablement dans les importations chinoises des principaux produits de base, la vigueur dans certains domaines étant compensée par une demande plus modeste dans d’autres. (Mining.com)

Nickel – Production et Top 05 des plus grands projets au monde

Les données du groupe d’étude international du nickel indiquent une augmentation massive de 22 % en janvier de la production mondiale de nickel par rapport à l’année précédente. Au rythme actuel, la production de nickel extrait devrait dépasser les 3,2 millions de tonnes par an.

 

 

Projet

 

Pays

Propriétaire majoritaire  

Etat du projet

Ressources (millions de tonnes)
NORI Clarion-Clipperton Nauru TMC the metals company Inc Exploration avancée 11,5
TOML- Clarion-Clipperton Zone Tonga TMC the metals company Inc Exploration avancée 10
Sangaji Indonésie ANTAM Exploration avancée 6,7
Turnagain Canada GIGA Metals Préfaisabilité 5,7
 

Dumont

 

Canada

Waterton Global Resources Management  

Faisabilité

 

5,7

Tableau 1 : Top 05 des plus grands gisements de nickel susceptibles de faire partie de l’offre mondiale future, selon Mining Intelligence. (Miningintelligence.com) 

ActuLex

Exploitation de substances minérales au Sénégal :

Périmètres de THILONE et Paki-Toglou

Parties Objet Droit applicable Instrument conférant les droits miniers Périmètre
Etat du Sénégal et Société Recherche et exploitation du phosphates de chaux Code minier 2003 Convention minière signée le 12 décembre 2003 THILONE (région de Matam)
Etat du Sénégal et M. Abdoulaye Ndoye Ouverture et exploitation d’une carrière privée de Grès. Code minier 2003 Arrêté n°00541 du 16 Janvier 2014. Paki-Toglou (région de Thiès)

Power Minerals attire un investissement stratégique de 2,6 millions de dollars de Fuyang Mingjin

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Power Minerals (ASX : PNN) a attiré l’attention de l’investisseur industriel Fuyang Mingjin New Energy Development, qui va récupérer 2,6 millions de dollars d’actions pour s’assurer une participation stratégique.

Dans le cadre d’un placement convenu, Fuyang souscrira à 6,5 millions d’actions Power à 0,40 $ chacune, ce qui lui donnera une participation de 8,9 %.

L’investissement stratégique de 2,6 millions de dollars de Fuyang fournira à Power des fonds pour accélérer le développement de son projet de saumure de lithium Salta dans le nord-ouest de l’Argentine, qui fait partie du «triangle du lithium» de renommée mondiale.

Le directeur général de Power, Mena Habib, a déclaré que la société était « ravie » d’attirer Fuyang en tant qu’investisseur stratégique de premier plan.

« [Fuyang] partage un objectif commun avec Power pour conduire le développement du projet de lithium de Salta afin de produire un produit de qualité pour le marché mondial massif des batteries de véhicules électriques et d’offrir une valeur significative aux actionnaires. »

« Nous envisageons l’investissement de Fuyang comme étant le point de départ d’une relation longue et mutuellement bénéfique entre [les sociétés] », a ajouté M. Habib.

Fuyang détient déjà des participations fondamentales dans d’autres sociétés cotées à l’ASX, Octava Minerals (ASX : OCT) et Patagonia Lithium (ASX : PL3) .

Projet lithium de Salta

Le forage de définition des ressources a débuté la semaine dernière au salar Rincon du projet Salta.

Le programme est conçu pour étayer une mise à niveau de l’estimation des ressources mondiales du projet, qui totalise actuellement 239 000 tonnes d’équivalent carbonate de lithium contenu titrant 313 milligrammes par litre de lithium.

Le forage à Rincon comprendra trois trous sur 500 m et testera des ressources potentiellement plus profondes dans la partie nord de la licence.

Rincon est le salar le plus avancé du projet Salta et héberge le lithium de la plus haute qualité et une ressource existante.

M. Habib a déclaré que les résultats de ce dernier programme de forage à Rincon alimenteront une évaluation économique préliminaire, qui devrait être achevée à la fin du mois prochain.

Plus récemment, des forages ont été achevés au salar d’Incahuasi dans le cadre du projet, et une ressource inaugurale est actuellement en cours de calcul sur la base des résultats.

Une fois le forage terminé à Rincon, la plate-forme se déplacera vers le salar de Pocitos, qui est la cible finale de la campagne en cours.

Source : Small Caps

Kingston Resources commence le forage sur la cible Pearse North dans le cadre du projet cuivre-or Mineral Hill

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Kingston Resources (ASX : KSN) a commencé le forage en surface sur le projet de cuivre-or Mineral Hill en Nouvelle-Galles du Sud.

Une plate-forme est sur place depuis le début avril, concentrée sur la zone à ciel ouvert de Pearse North.

La première phase de forage vise à collecter des données géotechniques pour améliorer le modèle structurel et affiner les paramètres de pente de la fosse ; et les zones intercalaires de la ressource minérale présumée en vue d’augmenter l’inventaire minier à ciel ouvert.

Kingston a confirmé que la plate-forme avait produit le premier lot de carottes de diamant.

Forage de la phase deux

Dans la phase deux du programme, la plate-forme de Kingston se déplacera pour cibler les parties supérieures de la zone minéralisée sud (SOZ) en forant jusqu’à six trous au diamant à partir de la surface.

Les travaux viseront à définir les structures géologiques clés et à recueillir des connaissances géotechniques et minéralisées supplémentaires afin d’optimiser la conception des chantiers et la stratégie d’exploitation minière souterraine de la zone.

Cette partie du programme est financée conjointement par le fonds d’activation des minéraux critiques et des métaux de haute technologie du gouvernement de l’État, à partir duquel Kingston a reçu une subvention de 500 000 $ en novembre .

Le forage fait partie d’un programme plus large d’environ 4 000 m pour tester les modèles géologiques existants et explorer de nouveaux systèmes.

Avancer

Le géologue en chef Stuart Hayward a déclaré que la société était désireuse d’aller de l’avant avec le programme de forage.

« Ce programme nous aidera à renforcer notre planification de mine à ciel ouvert et à identifier les opportunités d’expansion de nos ressources minérales souterraines », a-t-il déclaré.

« Nous recherchons d’autres perspectives proches de la mine et régionales prometteuses qui offrent un énorme potentiel… l’intersection des principaux linéaments régionaux au sein de la tenure de Mineral Hill en fait l’un des sites les plus prometteurs de l’État. »

Ventes d’or record

Le mois dernier, Kingston a annoncé un nouveau record mensuel pour les ventes d’or de son exploitation de résidus à Mineral Hill, totalisant 1 776 onces pour mars.

Cette réalisation a porté les ventes d’or pour le trimestre de mars à un record de 4 431 onces.

Kingston traite actuellement les résidus à Mineral Hill alors qu’elle accumule des ressources et des réserves dans l’ensemble du projet pour passer à l’exploitation minière traditionnelle.

Source : Small Caps

IGO va exploiter le projet de nickel et de lithium Henderson de Venus Metals

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Le grand mineur IGO (ASX : IGO) a accepté d’exploiter le projet de nickel-lithium Henderson de Venus Metals (ASX : VMC) en Australie-Occidentale, l’accord comprenant un « remboursement » de 1 million de dollars à la junior.

Dans le cadre de l’accord annoncé ce matin, IGO peut acquérir progressivement jusqu’à 70% du projet en dépensant 4 millions de dollars en exploration et en fournissant un « remboursement » de 1 million de dollars à Venus.

Dans le cadre de l’accord, IGO financera toute l’exploration jusqu’à l’achèvement d’une étude de préfaisabilité.

Si une étude de préfaisabilité est achevée, IGO a le droit d’acquérir la participation restante de 30 % de Venus dans le projet pour un prix basé sur la « juste valeur marchande ».

Le prix d’achat sera réduit des dépenses globales de toute OIG pour le projet.

Si IGO choisit de ne pas acheter les 30 % restants, le projet appartiendra à une coentreprise non constituée en société.

Le directeur général de Venus, Matthew Hogan, a déclaré que la société était « ravie » de conclure un accord avec IGO concernant le projet Henderson.

Il a noté que le projet était situé dans une province émergente de nickel et de lithium où «une quantité importante de spodumène» avait été découverte directement au nord.

Projet Henderson

Henderson est situé dans le craton Yilgarn de WA et comprend quatre immeubles concédés couvrant 800 kilomètres carrés.

Le projet accueille environ 25 km de grève à partir de la ceinture de roches vertes du mont Ida/Ularring.

Selon Venus, la ceinture de roches vertes du Mt Ida/Ularring a été historiquement connue pour sa prospectivité d’or et de nickel, mais les découvertes récentes de gisements de spodumène ont mis en évidence son potentiel en lithium.

Le projet Mt Ida de Delta Lithium (ASX : DLI) borde Henderson et dispose d’une ressource actuelle de 12,7 millions de tonnes titrant 1,2 % de lithium.

Anciennement connu sous le nom de Red Dirt jusqu’à la semaine dernière, Delta développe une mine de minerai de lithium à expédition directe à Mt Ida, suivie d’une opération de concentré à plus long terme.

En plus du potentiel lithium, Venus a identifié plusieurs anomalies qui pourraient représenter des cibles de nickel à Henderson.

À ce jour, l’exploration à Henderson a impliqué la cartographie de surface et l’échantillonnage de roche ainsi que des forages à air peu profond et à circulation inverse.

Cela a identifié plusieurs amas de pegmatite affleurant s’étendant sur 20 km de direction.

Source : Small Caps

Hummingbird réalisera sa première coulée d’or ce trimestre à la mine de Guinée

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Hummingbird Resources , cotée en bourse, affirme que l’ usine de traitement de la mine d’or de Kouroussa a atteint le stade d’achèvement pratique et est entrée dans la phase de mise en service en vue de la réalisation de la première coulée d’or plus tard ce trimestre.

La mine d’or de Kouroussa, en Guinée, est une exploitation à ciel ouvert à haute teneur de plus de 4 g/t, et est le deuxième actif aurifère en exploitation de la société en Afrique de l’Ouest.

L’achèvement pratique des systèmes prioritaires de l’usine de traitement de Kouroussa est désormais achevé, permettant le démarrage de la phase de mise en service.

La mise en service pré-opérationnelle et à froid est actuellement en cours et, une fois terminée, passera à la phase de mise en service à chaud, suivie de la première coulée d’or.

Soutex, l’entrepreneur en ingénierie de Kouroussa , ainsi que le personnel de mise en service spécialisé de Hummingbird, travaillent ensemble sur le site pour coordonner la phase de mise en service.

Suffisamment de tonnes de minerai d’alimentation sont sur la plate-forme tout-venant (RoM) pour la mise en service, les activités minières s’accélérant pour fournir une augmentation des tonnes de minerai d’alimentation sur la plate-forme RoM pour la première coulée d’or , suivie de la production de la plaque signalétique.

Les essais hydrauliques ont été achevés sur les réservoirs de pré-lixiviation, de carbone dans la lixiviation, d’eau brute et de réactifs, et des essais pré-opérationnels de l’équipement mécanique sont également en cours.

La mise en service à froid a débuté sur les réseaux prioritaires d’adduction d’eau et d’air .

Les fournisseurs du fabricant d’équipement d’origine sont sur place pour la mise en service de l’équipement de l’usine sèche et humide .

« Kouroussa est sur la bonne voie pour couler le premier or au cours du trimestre en cours, et le début de la mise en service de l’usine de traitement est une étape importante dans la réalisation de cet objectif. Alors que nous entamons la phase de mise en service pour mettre Kouroussa en ligne, nous restons fortement concentrés sur la sécurité en cette période chargée.

« De plus, la préparation opérationnelle et la transition vers les opérations quotidiennes sont un élément clé de cette phase, car nous ne nous concentrons pas seulement sur le premier or , mais sur l’augmentation de la production jusqu’à la capacité nominale, faisant de l’entreprise une entreprise multi-plateforme de plus de 200 000 oz -actif, producteur d’or multi-juridictionnel », déclare le PDG Dan Betts .

ÉDITÉ PAR : CHANEL DE BRUYN

Source : mining weekly

Revolver lève des fonds d’exploration

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Junior Revolver Resources lèvera 5 millions de dollars australiens pour financer un programme d’exploration accéléré dans ses projets de cuivre Osprey et Dianne dans le Queensland.

L’augmentation de capital comprendra l’émission de plus de 15,6 millions d’actions, au prix de 13c chacune, pour lever un montant initial de 2,04 millions de dollars australiens. Pour deux actions émises, les souscripteurs recevront également une option non cotée avec une durée de 36 mois et un prix d’exercice de 20c par action.

Le placement d’actions sera réalisé en deux tranches, la première tranche de plus de 10,6 millions d’actions devant être émises dans le cadre de la capacité de placement existante de la société. La deuxième tranche de 5 millions d’actions sera émise sous réserve de l’approbation des actionnaires.

Revolver a également signé une feuille de conditions contraignantes pour une facilité de prêt convertible de 3 millions de dollars australiens avec l’actionnaire existant Kamjoh. La facilité de prêt convertible est non garantie, d’une durée de 36 mois, remboursable en tranches de 500 000 dollars australiens et porte intérêt à 7,5 % par an sur tout solde prélevé. Il offre également un droit de conversion, uniquement à Revolver, pour convertir le solde tiré à tout moment en actions Revolver à un prix de conversion de 20c par action.

« Ce package de financement convaincant fournit des liquidités immédiates à l’ entreprise , mais gère également judicieusement la dilution au prix actuel de l’augmentation des actions. Les fonds levés grâce à ce processus nous permettent d’accélérer nos plans de forage à Osprey et à Dianne, en poursuivant plus rapidement le potentiel latent offert sur les deux actifs », a déclaré Revolver MD Pat Williams.

« L’équipe Revolver est ravie de faire tourner les foreuses et de se concentrer sur des cibles hautement prioritaires et à fort potentiel sur les deux projets au cours des prochains mois. »

ÉDITÉ PAR : CREAMER MEDIA REPORTER

Source : mining weekly

Fission Uranium demande une licence pour construire une mine et un broyeur

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Le développeur d’uranium Fission Uranium a demandé à la Commission canadienne de sûreté nucléaire une licence pour construire une mine et une usine de concentration d’uranium au projet PLS dans le bassin d’Athabasca en Saskatchewan.

La société a également commencé la conception technique frontale tout en continuant à faire avancer le projet PLS.

« Notre voie de développement vers la production progresse comme prévu et, dans le même temps, les fondamentaux de l’uranium continuent de se renforcer conformément au boom mondial de la construction de réacteurs «  , a déclaré le président et chef de la direction Ross McElroy .

L’étude de faisabilité a conclu un calendrier de construction de trois ans avec une durée de vie projetée de la mine de dix ans et une production sur la durée de vie de la mine de 90,9 millions de livres d’U 3 O 8 .

L’étude de faisabilité a déterminé un coût d’exploitation unitaire moyen inférieur à 10 $/lb.

Le projet PLS de 31 039 ha est détenu et exploité à 100 % par Fission Uranium. PLS est accessible par la route avec un accès principal à partir de la route toutes saisons 955, qui s’étend vers le nord jusqu’à l’ancienne mine de Cluff Lake.

ÉDITÉ PAR : CREAMER MEDIA REPORTER

Source : mining weekly

Kibo trouve que les biocarburants solides sont plus performants que le charbon

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Kibo Energy, société de développement d’énergies renouvelables cotée à Aim et AltX, a réalisé des « progrès significatifs » dans son objectif précédemment déclaré de fournir des biocarburants solides en remplacement du charbon conventionnel à diverses entreprises internationales de l’industrie manufacturière.

Le 2 mai, Kibo a déclaré avoir récemment effectué des tests de vérification supplémentaires sur certains types de biomasse par le biais de laboratoires accrédités afin de déterminer leurs spécifications de performance par rapport aux besoins énergétiques spécifiques des clients potentiels dans le cadre d’une étude de faisabilité technique en cours.

La société a déclaré que ces tests en laboratoire avaient donné des résultats meilleurs que prévu, démontrant que les types de biomasse sélectionnés surpassaient le charbon conventionnel dans de nombreuses catégories de spécifications utilisées dans les chaudières industrielles.

De plus, les derniers résultats de vérification montrent des résultats plus favorables en termes de spécifications par rapport aux tests précédents.

Selon les derniers résultats, le pouvoir calorifique du biocharbon testé variait de 28 MJ/kg à 32 MJ/kg, par rapport au charbon conventionnel, qui variait de 20 MJ/kg à 29 MJ/kg. Les résultats ont également indiqué une teneur en cendres significativement inférieure, comprise entre 2,5 % et 6 % dans le biocharbon, contre 15 % à 21 % dans le charbon ordinaire.

La teneur en soufre était également plus faible dans le biocharbon, de 0,04 % à 0,1 %, contre 1 % à 1,5 % dans le charbon.

Le résultat des travaux d’essais pilotes précédents a indiqué que le biocharbon a dépassé les attentes sur une période mesurée de trois jours, en termes de propriétés de combustion, ainsi que de ses caractéristiques physiques dans le processus de manipulation des matériaux – qui impliquait le processus d’alimentation et la cendre retrait dans et hors de la chaudière.

Le rapport de résultats fourni par le fabricant de la chaudière a indiqué que le biocharbon fonctionnait en ligne ou mieux que ce qui est attendu du charbon conventionnel, avec l’avantage stratégique qu’il s’agit d’une solution neutre en carbone.

Kibo a déclaré que les tests positifs en laboratoire et en pilote ont clairement démontré la viabilité potentielle du remplacement du charbon conventionnel par des biocarburants solides d’un point de vue technique et opérationnel.

Les derniers résultats seront désormais intégrés aux études de faisabilité détaillées actuellement en cours, qui visent à établir la viabilité technique et commerciale du remplacement du charbon par des biocombustibles solides dans les petites et moyennes chaudières et les applications similaires.

« Nous sommes extrêmement satisfaits des résultats des travaux de test les plus récents et sommes convaincus que les études de faisabilité en cours apporteront de nouveaux résultats positifs, validant la stratégie de Kibo et sa capacité à fournir des solutions neutres en carbone dans le paysage énergétique très difficile de l’Afrique australe.

« Nous restons sur la bonne voie pour poursuivre activement l’exécution réussie de nos projets de biocarburants en Afrique australe et nous sommes impatients de fournir de nouvelles mises à jour au marché sur l’avancement de ces initiatives », a déclaré le PDG Louis Coetzee .

CHANGEMENTS AU CONSEIL

En plus de la publication des résultats de la spécification du biocharbon, Kibo a simultanément annoncé que son directeur exécutif des projets d’immobilisations, Chris Schutte, avait pris sa retraite du conseil d’administration de Kibo avec effet immédiat.

L’entreprise envisage des candidats pour succéder à Schutte.

« Les connaissances techniques et la perspicacité de l’industrie [de Schutte] ont été inestimables et ont apporté une contribution significative au développement de l’entreprise », a déclaré Coetzee.

ÉDITÉ PAR : CHANEL DE BRUYN

Source : mining weekly