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SOMISEN

Ghana : le propriétaire de la première mine de lithium autorisé à être coté sur la bourse locale

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Le Ghana prépare le développement de sa première mine de lithium, en partenariat avec la compagnie australienne Atlantic Lithium. Les autorités locales s’activent ainsi pour maximiser les profits que le pays tirera de l’exploitation des ressources d’Ewoyaa.

Les investisseurs ghanéens pourront acheter sur la bourse locale les actions d’Atlantic Lithium, compagnie détentrice du premier projet de lithium du pays. La société a en effet obtenu l’approbation du comité de cotation de la Bourse du Ghana (GSE) et de la Securities and Exchange Commission pour coter ses actions ordinaires sur le marché principal.

Il s’agira de la troisième cotation boursière de la société qui est déjà listée sur les bourses ASX et AIM. La compagnie n’a pas encore communiqué la date officielle de cette troisième introduction en bourse, mais a indiqué qu’elle n’aura aucun impact sur ses deux premières cotations.

« En tant que première société de lithium à démarrer la négociation sur la GSE, l’admission d’Atlantic représente un nouveau chapitre dans l’histoire minière du pays. En offrant des actions d’Atlantic sur la GSE, nous visons à maximiser la participation locale au projet et à aligner plus étroitement nos parties prenantes ghanéennes sur le succès à long terme de la société », a commenté le président Neil Herbert.

Cette information intervient seulement quelques mois après l’annonce fin janvier de l’entrée du Fonds souverain ghanéen au capital d’Atlantic Lithium. Le Ghana qui détient une participation gratuite dans la filiale locale de la société, continue ainsi de se donner les moyens de tirer des profits substantiels de l’exploitation de sa future première mine de lithium (Ewoyaa).

Pour rappel, cette dernière pourrait générer plus de 6 milliards de dollars de revenus en 12 ans, grâce à la production de 3,6 millions de tonnes de concentré de spodumène sur la période, selon les résultats d’une étude de faisabilité publiée en juin 2023. Un projet de transformation locale du concentré est également à l’étude.

Source : Agence Ecofin

Le Marocain Cimaf évalue à plus de 147,1 millions $ la construction de sa 3ᵉ usine de clinker au Gabon

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Ce projet permettrait à Cimaf de réduire ses dépenses d’importation en clinker, d’atteindre une production annuelle d’un million de tonnes de ciment et générer environ 2000 emplois directs et indirects.

Pour la construction d’une nouvelle unité de broyage de clinker au Gabon, la société Ciments de l’Afrique (Cimaf Gabon), filiale locale du groupe marocain Ciments de l’Atlas (Cimat), évalue le coût du projet à 89 milliards de FCFA (147,1 millions $ à la valeur actuelle du dollar). Ce chiffre a été communiqué par Janah Idrissi El Mehdi, directeur général de Cimaf Gabon, au cours d’une récente visite du ministre de l’Industrie, François Mbongo Rafemo Bourdette, au siège de cimentier.

« Aujourd’hui on importe à peu près 30 millions d’euros de clinker. L’idée derrière cet investissement, c’est de pouvoir valoriser le tissu industriel local et permettre en parallèle une création d’emplois à la clé, de l’ordre de 1 500 emplois sur la phase projet, et puis après l’équivalent de 500 emplois en phase d’exploitation. Et aussi en parallèle une stabilisation du prix du ciment », a déclaré le patron de Cimaf Gabon.

Avec cette usine qui sera installée à Meba, dans la province de l’Estuaire au Gabon, Cimaf ambitionne d’atteindre un niveau de production équivalent à un million de tonnes de ciment par an. La société marocaine produit actuellement 850 000 tonnes de ciment au Gabon, pour une demande locale annuelle estimée à 600 000 tonnes.

« La Cimaf a fait un investissement qui assure initialement la production de 500 000 tonnes, s’est ensuivi une extension de 350 000 tonnes qui portent notre production annuelle à 850 000 tonnes et qui permet de répondre aux besoins du marché et de s’inscrire aussi dans l’engagement que nous avons eu avec les autorités», détaiah Idrissi El Mehdi.

Cependant, selon la dernière note de conjoncture du ministère de l’Économie, l’indice de production du ciment a reculé de 14% au cours du troisième trimestre 2023, par rapport au second trimestre. Une contreperformance qui s’explique par le ralentissement de l’activité des BTP. Car, malgré la période favorable (saison sèche), l’organisation des élections générales a entraîné un report des investissements des ménages.

Sandrine Gaingne, Le Nouveau Gabon

Source : Agence Ecofin

Le britannique URA met en service sa première mine africaine d’émeraudes

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La Zambie est le deuxième producteur mondial d’émeraudes, notamment grâce à la mine Kagem du britannique Gemfields. Avec son projet Gravelotte en Afrique du Sud, une autre compagnie britannique devrait contribuer à accroitre la part africaine dans l’offre mondiale.

En Afrique du Sud, URA Holdings a annoncé le 29 avril le début de la production à sa mine d’émeraudes Gravelotte. Basée au Royaume-Uni, cette compagnie minière a acquis en 2022 ce projet exploité entre 1929 et 2002 et qui a livré environ 113 millions de carats sur la période.

URA précise que les usines de traitement et de tri sont en service, avec la récupération des premières émeraudes, et une première session de vente sera organisée au début du deuxième trimestre 2024. Si aucun détail n’a été donné sur la capacité de production de Gravelotte, son propriétaire a évalué les ressources minérales à 29 millions de carats, et note la présence de cibles d’exploration susceptibles d’héberger entre 168 et 344 millions de carats.

« Le lancement de la production par étapes à Gravelotte est une avancée transformatrice pour URA. Maintenant que la production a commencé, nous nous concentrons sur l’optimisation de nos équipements et de nos systèmes, et sur l’augmentation de la production au cours des prochains mois », a expliqué Bernard Olivier, PDG de la compagnie.

En dehors de l’Afrique du Sud, URA est aussi présente en Zambie où elle dispose de deux permis d’exploration pour des métaux comme le graphite, le lithium, le coltan et les terres rares. Alors que la Zambie est le deuxième producteur mondial d’émeraudes, la compagnie n’y possède pour le moment pas de projets liés à cette pierre précieuse. C’est un autre groupe britannique, en l’occurrence Gemfields qui exploite la plus grande mine d’émeraudes de la Zambie, Kagem.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Le Nigeria s’attaque à la présence de ressortissants chinois dans l’exploitation minière illégale

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Au Nigeria, l’exploitation minière illégale est l’une des causes de la faible contribution du secteur minier à l’économie. Pour concrétiser le potentiel de ses 700 milliards de dollars de ressources minérales, le pays a décidé d’intensifier la lutte contre le phénomène.

Au Nigeria, les forces armées ont annoncé samedi 27 avril l’arrestation de quatre ressortissants chinois suspectés d’exploitation minière illégale. Les suspects interceptés au cours d’une opération sur un site illégal ont admis y extraire et vendre du lithium, indique un communiqué du Nigerian Security and Civil Defence Corps (NSCDC) relayé par la presse locale.

Ces arrestations s’inscrivent dans la stratégie de lutte intensive contre l’exploitation minière illégale, promue depuis quelques mois par le gouvernement du président Tinubu. Il faut souligner que la présence d’acteurs chinois dans l’exploitation minière illégale au Nigeria a déjà été mise en lumière à de nombreuses reprises. Entre 2020 et 2023, une vingtaine de ressortissants de l’empire du Milieu ont ainsi été arrêtés par différents services de sécurité pour activités minières illégales dans les États de Zamfara, Kwara et Akwa.

Selon une note de l’ENACT, ces mineurs illégaux chinois sont intégrés dans des réseaux criminels et opèrent sur différentes ressources minières, mais avec une activité renforcée dans l’exploitation de l’or. Leur présence serait favorisée par une politique migratoire inadéquate, avec des octrois de visas de tourisme à des travailleurs chinois qui demeurent au Nigeria après l’expiration de leur visa. De plus, le peu d’attention accordé pendant des années à la lutte contre l’exploitation minière illégale aurait contribué à l’enracinement de ces acteurs étrangers qui viennent s’ajouter aux acteurs locaux, complexifiant davantage la répression.

Pour rappel, le Nigeria dispose de ressources minérales évaluées à 700 milliards de dollars, mais son secteur minier représente moins de 1 % du PIB. L’exploitation minière illégale fait partie des causes de ce problème que les autorités tentent désormais de régler. Outre davantage de moyens octroyés à la répression, le gouvernement devrait aussi mettre l’accent sur la sensibilisation des communautés locales sur les dangers pour l’environnement et la sécurité de ces activités, tout en modifiant la législation pour renforcer les sanctions, plaide l’ENACT.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Le Nigeria retire 924 permis miniers non utilisés et les propose à de nouveaux investisseurs

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Au Nigeria, le secteur minier représente moins de 1 % du PIB, alors que le pays dispose de ressources minérales évaluées à 700 milliards de dollars. La spéculation qui entoure les permis miniers est l’une des explications à ce paradoxe auquel le gouvernement veut mettre fin.

Au Nigeria, le ministre des Mines Dele Alake (photo) a annoncé mercredi 24 avril, le retrait de 924 licences minières dormantes aux compagnies qui ne les utilisent pas. Ces titres miniers seront désormais proposés à de nouveaux investisseurs intéressés, selon le principe du « premier arrivé, premier servi ».

Ce développement s’inscrit dans la stratégie des autorités visant à accroitre la contribution du secteur minier à l’économie. Malgré des ressources minérales évaluées à 700 milliards de dollars, la contribution des Mines au PIB est inférieure à 1 %, notamment parce que les titulaires des permis miniers ne mettent pas en valeur les projets qu’ils possèdent.

Selon les autorités, ce sont 273 licences d’exploitation minière à petite échelle, 528 licences d’exploration, 20 baux miniers et 101 licences d’exploitation de carrières qui ont été retirés. « Je pense que cette mesure contribuera à assainir le système d’octroi de licences et à dissuader ceux qui abusent des possibilités offertes par le secteur. À l’avenir, le gouvernement fédéral sévira contre le racket des licences et les pratiques spéculatives, tout en encourageant les investisseurs sérieux à créer des emplois dans le pays », a expliqué le ministre Alake.

Rappelons que le Nigeria a annoncé fin mars son intention d’octroyer de nouveaux permis d’exploitation minière seulement aux compagnies qui présenteront un plan de transformation locale des minerais. Cette mesure qui devrait favoriser le développement d’une industrie minière locale plus forte s’accompagne de la mise en place annoncée d’une nouvelle compagnie minière cogérée avec le secteur privé.

Source : Agence Ecofin

L’Afrique a besoin de 9 milliards $ pour développer ses infrastructures de transport de carburant, selon Puma Energy

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Alors que la demande d’hydrocarbures augmentera de 56 % en Afrique d’ici 2040, la filiale du groupe de négoce de matières premières Trafigura estime que des ruptures d’approvisionnement pourraient se produire en cas de manque d’investissements dans les infrastructures de transport de carburant.  

L’Afrique doit investir 9,3 milliards de dollars dans le développement de ses infrastructures de transport de carburant pour éviter les ruptures d’approvisionnement liées à la croissance de la demande future, a estimé Puma Energy, l’une des compagnies leaders dans les segments aval et midstream pétroliers (stockage et transport) sur le continent, le lundi 22 avril 2024.

« Vous pouvez avoir le bon prix, la bonne réglementation, mais si vos ports sont congestionnés, si les routes sont encombrées, si l’oléoduc fuit, s’il n’y a pas de stockage, vous n’aurez pas de sécurité énergétique », a déclaré le directeur Afrique de Puma Energy, Fadi Mitri, lors d’une conférence tenue au Cap (Afrique du Sud).

« La demande d’hydrocarbures augmentera de 56 % en Afrique d’ici 2040, alors que le manque d’installations de stockage et d’accès aux ports créera des goulets d’étranglement et ralentira le rythme de l’approvisionnement », a-t-il ajouté, citant les conclusions d’une récente étude menée par Puma Energy et le cabinet de conseil Citac.

M. Mitri a cependant souligné que tous les nouveaux projets devraient se compléter plutôt que de se concurrencer.

« Ces projets devront faire l’objet d’une planification d’ensemble. Ils devront être coordonnés », a-t-il dit.

Source : Agence Ecofin

Soudan : vers la reprise des exportations pétrolières du Soudan du Sud

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En raison de la guerre qui fait rage sur son territoire, le Soudan avait déclaré en mars, la force majeure sur les exportations de pétrole brut du Soudan du Sud aggravant la situation économique de son pays voisin.

Les exportations pétrolières du Soudan du Sud, via son voisin du Soudan, reprendront d’ici deux mois. C’est ce qu’a annoncé Malik Agar, vice-président du Conseil souverain transitoire du Soudan, selon des informations rapportées vendredi 26 avril par la presse locale.

« Le transport du pétrole brut du Soudan du Sud via l’oléoduc Jabalyn-Port-Soudan reprendra dans deux mois », a déclaré celui qu’on considère comme le numéro 2 du régime soudanais et qui aurait des liens avec Salva Kiir, le président du Soudan du Sud.

Selon les précisions du responsable, des démarches impliquant les deux États et leurs partenaires sont entreprises pour que la reprise des expéditions pétrolières du pays soit effective suivant cette échéance.

La relance de l’exportation des ressources pétrolières du Soudan du Sud est d’un enjeu de premier plan pour le pays qui, depuis le début de la guerre au Soudan, fait face à des difficultés économiques majeures aggravées par la crise sécuritaire en mer Rouge.

Début avril, Awow Daniel Chuang, le ministre sud-soudanais des Finances a annoncé des démarches en vue d’obtenir un financement qui permettrait à l’État d’honorer en partie ses engagements vis-à-vis de fonctionnaires notamment.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Côte d’Ivoire : le chinois Zhaojin devient le premier actionnaire de Tietto avec son offre à 475 millions de dollars

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Depuis plusieurs mois, une compétition oppose des investisseurs chinois pour le contrôle de la compagnie australienne Tietto et sa mine d’or Abujar en Côte d’Ivoire. En réévaluant son offre de rachat à la mi-avril, Zhaojin Mining semble sur le point de l’emporter.

Avec près du quart des droits de vote, le chinois Zhaojin Mining est désormais le premier actionnaire de Tietto Minerals. Selon plusieurs documents boursiers publiés cette semaine, la participation du groupe chinois dans le propriétaire de la mine d’or Abujar en Côte d’Ivoire a plus que triplé depuis la nouvelle offre de rachat du 15 avril, passant de 7,02 % à 23,22 %.

Il faut souligner que l’offre de 733 millions de dollars australiens (environ 475 millions $) annoncée il y a quelques jours est en hausse de 16 % par rapport à la proposition d’octobre 2023. Alors que le Conseil d’administration de Tietto ne s’est pas encore prononcé, la nouvelle proposition semble néanmoins convaincre au sein des actionnaires. Des données de marché consultées par l’Agence Ecofin semblent indiquer que le chinois Chifeng Jilong, ex-premier actionnaire du Tietto et d’abord opposé au rachat, a déjà vendu des actions à Zhaojin.

Rappelons que l’acquisition de Tietto Minerals donnerait à Zhaojin 88 % d’intérêts dans la mine d’or ivoirienne Abujar. Elle a livré 37 111 onces d’or pour les trois premiers mois de 2024, soit un nouveau record de production trimestrielle depuis la coulée du premier lingot en janvier 2023. L’opération renforcerait également le contrôle opérationnel des entreprises chinoises sur des mines d’or en Afrique de l’Ouest, après des acquisitions similaires au Ghana ces dernières années.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Gabon : en 2023, la production de manganèse a baissé de 2,5% contrairement aux prévisions de +9,5%

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Ressource phare du secteur minier au Gabon, le manganèse y est essentiellement produit par la Compagnie Minière de l’Ogooué, filiale du français Eramet, qui en assure près de 90% de la production.

La dernière note conjoncturelle du ministère gabonais de l’Economie révèle qu’en 2023, la production nationale de manganèse a baissé de 2,5% en glissement annuel, sans toutefois mentionner les chiffres. Une contre-performance pour le pays qui prévoyait plutôt une hausse de 9,5% de la production par rapport à 2022, soit 10,9 millions de tonnes contre 10 millions en 2022.

Cette baisse se justifie entre autres par les résultats négatifs de l’entreprise Nouvelle Gabon Mining, filiale du groupe indien Coalsale Group, du fait du déclenchement d’un mouvement de grève par les employés des entreprises sous-traitantes qui réclamaient de meilleures conditions de vie. Le Nouveau Gabon rappelle en effet qu’en octobre 2023, les employés NGM de Franceville et Okondja affectés à la sous-traitance avaient observé une grève réclamant le paiement de leurs primes et dénonçant de mauvais traitements.

Corrélativement à cette baisse, les exportations de manganèse ont fléchi au cours de la période sous-revue. Selon les données du ministère de l’Économie, le Gabon a exporté du manganèse d’une valeur de 1113,6 milliards FCFA en 2023, contre 1152,4 milliards FCFA en 2022, soit une baisse de 3,4% entre les deux périodes.

Source : Agence Ecofin

Sénégal : Endeavour annonce la réussite du projet d’augmentation de la capacité de production d’or à Sabodala-Massawa

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Sabodala-Massawa est la plus grande mine d’or du Sénégal. Avec la mise en service d’une nouvelle usine de traitement, son propriétaire prévoit y produire jusqu’à 11,33 tonnes en 2024, contre 8,33 tonnes d’or l’année dernière.

Endeavour Mining a annoncé le 29 avril la coulée du premier lingot d’or à partir de la nouvelle usine de traitement de son complexe aurifère Sabodala-Massawa. Cette annonce marque la réussite d’un projet lancé en 2022 afin d’augmenter de 1,2 million de tonnes par an la capacité de production de la plus grande mine d’or du Sénégal.

La nouvelle usine devrait entrer en production commerciale à la fin du deuxième trimestre 2024 et atteindre sa capacité nominale au troisième trimestre. Cela devrait permettre au complexe Sabodala-Massawa d’atteindre les objectifs d’Endeavour pour cette année, soit une production d’or de 360 à 400 000 onces.

« Nous avons mis en service le projet et livré la première coulée d’or en seulement deux ans, ce qui représente le quatrième projet d’investissement que nous avons mené à bien au cours des dix dernières années », a commenté Ian Cockerill, PDG d’Endeavour.

Pour rappel, Sabodala-Massawa a livré 294 000 onces d’or l’année dernière. Le complexe fait partie des quatre mines d’or exploitées par Endeavour Mining, premier producteur d’or en Afrique de l’Ouest.

Source : Agence Ecofin