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Namibie/Angola : alliance entre organisations faîtières du secteur pétrogazier pour promouvoir le Contenu local

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Depuis quelques mois, plusieurs pays africains renforcent leur partenariat énergétique, particulièrement en matière de mise en œuvre conjointe des normes et principes liés au Contenu local.

L’Association namibienne des fournisseurs de services pétroliers et gaziers offshore (NAOGSP) et L’Association angolaise des sociétés de services pétroliers et gaziers (AECIPA) ont paraphé, lundi 28 août, un accord de coopération essentiellement axé sur le Contenu local.

L’entente engage ces entités faîtières des secteurs pétrogaziers de l’Angola et de la Namibie, à intensifier leur collaboration dans la mise en œuvre des activités énergétiques impliquant leurs pays respectifs.

À cet effet, la NAOGSP et l’AECIPA coopéreront à la recherche et au développement de nouvelles opportunités d’affaires, à bénéfices mutuels. Pour y parvenir, les parties prenantes misent sur le partage d’informations, en lien avec les tendances du marché.

« La NAOGSP souhaite vivement collaborer avec l’AECIPA afin de cultiver une relation mutuellement avantageuse. En synchronisant nos efforts, nous pouvons révéler des opportunités et relever des défis communs dans le domaine des services pétroliers et gaziers », a déclaré Knowledge Ipinge, le responsable de la NAOGSP.

À terme, la matérialisation de cet accord devrait permettre de promouvoir, entre autres, l’échange de bonnes pratiques entre l’Angola et la Namibie en ce qui concerne les activités pétrogazières.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Maroc : Aya enregistre un nouveau succès dans le projet d’agrandissement de la mine d’argent Zgounder

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La production annuelle de la mine Zgounder devrait être quadruplée d’ici 2024, par un projet d’agrandissement en cours depuis quelques mois. Une facilité de crédit de 100 millions de dollars a été obtenue pour les travaux et le premier tirage vient d’être effectué.

Au Maroc, la compagnie minière Aya & Gold Silver a annoncé le 29 aout un prélèvement initial de 35 millions de dollars sur la facilité de financement de 100 millions de dollars obtenue pour agrandir sa mine d’argent Zgounder. Les fonds seront utilisés afin de poursuivre les travaux en cours depuis quelques mois.

« Cette étape représente un grand pas en avant sur la voie de la création de valeur pour les parties prenantes, du renforcement de notre engagement en faveur de pratiques minières durables et de la mise en œuvre de notre vision stratégique visant à favoriser la croissance économique, la responsabilité environnementale et l’engagement communautaire », a commenté Benoit La Salle, PDG de la compagnie.

Pour rappel, la facilité en question est fournie à 92 millions de dollars par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et à 8 millions de dollars par le Fonds d’investissement climatique. Une fois le projet achevé d’ici 2024, Zgounder pourra produire environ 8 millions d’onces par an, contre 1,88 million d’onces en 2022.

Source : Agence Ecofin

De Beers enregistre une quatrième baisse consécutive de revenus pour ses ventes de diamants

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Depuis plusieurs mois, le marché mondial des diamants est frappé par un ralentissement de la demande de diamants naturels et la baisse des prix. Cela intervient dans un contexte économique qui pousse les consommateurs à moins dépenser et à s’orienter davantage vers les diamants synthétiques.

Le groupe De Beers actif dans l’exploitation des diamants en Afrique australe et au Canada, a annoncé le 30 août un chiffre d’affaires de 370 millions de dollars pour sa dernière vente aux enchères. Cette septième session de l’année est marquée par une quatrième baisse consécutive par rapport à la précédente qui avait atteint 411 millions de dollars.

Il s’agit par ailleurs d’une baisse de 42 % par rapport à la même période en 2022. Selon Al Cook, PDG de la compagnie, l’environnement économique a entrainé une baisse de la demande de bijoux en diamants des clients finaux sur les principaux marchés de consommation. Cette situation s’ajoute à la demande faible déjà constatée pour les transactions intermédiaires pendant la période estivale.

Pour rappel, De Beers n’est pas le seul producteur de diamants touché par le ralentissement du marché. La situation concerne par exemple aussi Petra Diamonds et Gem Diamonds, deux compagnies actives également en Afrique australe. Le Botswana, la Namibie ou encore l’Afrique du Sud sont donc les pays qui devraient voir leurs revenus miniers diminuer dans ce contexte.

Source : Agence Ecofin

Guinée : Arrow Minerals va devenir le seul propriétaire d’un projet de fer au nord de Simandou

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En octobre 2022, la société australienne Arrow Minerals a conclu un accord pour obtenir jusqu’à 60,5 % d’intérêts dans Simandou North. Il s’agit d’un projet situé au nord des quatre blocs du célèbre gisement de minerai de fer Simandou appartenant à Rio Tinto et Winning Consortium Simandou.

En Guinée, la junior minière australienne Arrow Minerals va prendre le contrôle total d’un projet de fer situé au nord du géant gisement de fer Simandou. Elle a en effet conclu un accord pour acquérir une participation supplémentaire de 39,5 % dans l’actif, complétant ainsi les 60,5 % d’intérêts déjà négociés il y a quelques mois.

En octobre 2022, Arrow avait en effet acquis 33,3 % d’intérêts dans Simandou North auprès de la société singapourienne Amalgamated Minerals, avec la possibilité de porter cette participation à 60,5 % en finançant des travaux d’exploration sur le projet.

Alors que ces travaux sont en cours depuis quelques mois, le présent accord permet à la junior australienne de gagner jusqu’à 80 % après la réalisation d’une étude de préfaisabilité pour le projet, ou des dépenses équivalentes à 15 millions de dollars australiens. Pour obtenir les 20 % restants, Arrow doit dépenser 22,5 millions de dollars australiens en plus ou mener une étude de faisabilité, puis prendre la décision d’exploiter le gisement en échange d’une redevance de 1 dollar par tonne.

« L’établissement de ces conditions commerciales avec les actionnaires d’Amalgamated est un grand pas en avant pour Arrow. Il […] clarifie pour les actionnaires la future structure de propriété du projet et nous permet de faire avancer nos activités d’exploration et nos plans de développement en toute sécurité et confiance », a expliqué Hugh Bresser, DG de Arrow.

Source : Agence Ecofin

Namibie : une compagnie canadienne active sur l’or s’inscrit sur le marché boursier local

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Enregistrée au Canada, Osino Resources est une compagnie minière qui revendique aussi ses origines namibiennes. Dans ce pays d’Afrique australe, elle s’apprête à développer une mine d’or capable de livrer près de 2 millions d’onces en 13 ans.

En Namibie, le canadien Osino Resources a annoncé le 29 août son inscription sur le marché boursier local. Avec cette cotation sur le Namibian Stock Exchange (NSX), la compagnie propriétaire dans le pays du projet aurifère Twin Hills entend se rapprocher des investisseurs locaux.

« Le projet aurifère Twin Hills devrait apporter d’importants avantages économiques et sociaux aux Namibiens. L’inscription à la NSX est une nouvelle occasion pour Osino de s’engager auprès des parties prenantes namibiennes et lui donne accès aux marchés financiers namibiens pour le développement du projet Twin Hills », explique Heye Daun, l’ingénieur minier d’origine namibienne qui a cofondé et dirige l’entreprise.

Selon une étude de faisabilité publiée en juin 2023, le projet Osino peut livrer 1,97 million d’onces sur sa durée de vie de 13 ans. Un investissement de 365 millions de dollars est nécessaire pour construire la mine, somme récupérable environ 2 ans après son entrée en service.

Pour rappel, Osino Resources est déjà inscrite sur la bourse de croissance TSX au Canada qui demeurera sa cotation principale.

Source : Agence Ecofin

Résultats du groupe minier CMOC : une hausse de la production en RDC au premier semestre 2023

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( CMOC) – CMOC a annoncé, ce mercredi 30 août, ses résultats commerciaux pour le premier semestre 2023. Au premier semestre 2023, dû à l’impact de la perturbation des exportations des produits de cuivre et de cobalt TFM et de l’évolution négative du prix du marché des produits phosphatés, CMOC a enregistré un chiffre d’affaires de 12,22 milliards USD, en baisse de 5,49 % en glissement annuel.

Le groupe a réalisé un bénéfice net attribuable à la société mère de 99,08 millions USD, en baisse de 83,05 %, un flux de trésorerie opérationnel net de 1,23 milliards USD, en hausse de 3,06 %, et un bénéfice par action de 0,005 USD.

CMOC a enregistré une hausse de sa production dans ses différents secteurs d’activités. En République démocratique du Congo, TFM et KFM ont produit de 156 318 tonnes de cuivre, soit une hausse de 25 %. La production de cobalt a augmenté de 86%, atteignant 19 418 tonnes. En Chine, 3 813 tonnes de tungstène ont été produites, ainsi que 8 389 tonnes de molybdène, en hausse de 8 % par rapport à l’année précédente. Au Brésil, les volumes de production de niobium et d’engrais phosphatés ont été respectivement de 4 695 tonnes et 547 864 tonnes. En Australie, 12 564 tonnes de cuivre ont été produites, ainsi que et 9 550 onces d’or, en hausse de 12 % et 14% respectivement.

Le premier semestre 2023 a également été marqué par la résolution du désaccord sur les redevances TFM. La société a signé un accord de règlement avec la Gécamines, ce qui a permis de lever la plus grande incertitude qui pesait sur le développement de la société. Les exportations de produits de cuivre et de cobalt de TFM ont pu reprendre.

Les opérations ont également connu certains progrès significatifs. La zone médiane du projet de minerai mixte TFM a été mise en service avec succès et l’installation de l’usine d’acide dans l’installation de grillage a été achevée à 97 %. Le site de KFM a également été mis en service au deuxième trimestre et a déjà atteint la pleine production prévue.

Engagé à améliorer ses performances ESG, CMOC a créé un nouveau département chargé de mettre en œuvre la stratégie ambitieuse de développement durable du Groupe. L’entreprise s’est engagée à atteindre le pic de carbone d’ici 2030 et la neutralité carbone d’ici 2050, en contribuant comme il se doit aux objectifs mondiaux de pic de carbone et de neutralité carbone.

Comme l’explique M. Sun Ruiwen, CEO de CMOC : « Notre engagement en faveur d’une industrie minière plus durable se traduit par l’amélioration de notre notation ESG lors de ce premier semestre 2023. En passant de la note A à AA, notre performance se situe parmi les 16% les plus élevés de la notation MSCI de l’industrie mondiale des métaux non ferreux. Les sites miniers de CMOC ont maintenu de solides performances en matière de santé, de sécurité et d’environnement, où aucun accident mortel et aucun incident environnemental n’est à signaler. »

A propos de CMOC

CMOC Group Limited a été créée en 1969 et, est une société de gestion privée cotée à la bourse de Hong Kong et à la bourse de Shanghai, respectivement en 2007 et 2012. CMOC est une société internationale spécialisée dans engagée dans l’exploration, l’exploitation minière, le traitement, le raffinage, la commercialisation et le commerce de métaux rares. Les principaux actifs et opérations de la société sont situés en Asie, en Afrique, en Amérique du Sud, en Océanie et en Europe. L’entreprise est un des plus grands producteurs mondiaux de tungstène, molybdène et niobium, le deuxième producteur de cobalt et un producteur de cuivre de premier plan dans le monde. Elle est également le deuxième plus grand producteur d’engrais phosphatiques au Brésil. En termes d’activités commerciales, la société figure parmi les trois premiers négociants de métaux de base au monde. L’entreprise figure maintenant parmi les leaders de l’industrie minière internationale avec un investissement cumulé de plus de 7 milliards de dollars et emploie plus de 12 000 personnes.

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Source : Agence Ecofin

Mozambique : l’australien Triton obtient une concession minière non loin de la plus grande mine africaine de graphite

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La mine Balama est la plus grande mine de graphite d’Afrique et l’atout majeur du Mozambique pour maintenir son statut de premier producteur du continent pour ce matériau essentiel aux batteries de véhicules électriques. Le succès de Syrah sur ce projet inspire d’autres sociétés dans la région.

Le gouvernement mozambicain a octroyé une concession minière de 25 ans à Triton Minerals pour son projet de graphite Cobra Plains. Le projet est situé à seulement 10 km de Balama (opérée par Syrah Resources), plus grande mine de graphite du continent africain.

Le projet héberge une ressource JORC de 103 millions de tonnes, titrant 5,2 % de carbone graphitique total (5,7 millions de tonnes). Si Triton possède le projet depuis plusieurs années, elle n’a pas beaucoup communiqué sur l’évolution des travaux d’exploration sur le site au cours de ces dernières années.

Le dernier article d’Agence Ecofin sur le projet remonte à 2014, et la compagnie croyait à l’époque détenir « le 4ème plus grand gisement de graphite au monde, en termes de tonnage ».

Pour Andrew Frazer, directeur exécutif de la compagnie, l’obtention de cette concession à Cobra Plains signifie que « Triton possède désormais deux ressources graphitiques d’importance mondiale avec un mélange diversifié de tailles de flocons », pouvant être utilisé pour des applications variées tant dans le secteur des batteries que dans celui de la construction.

La seconde ressource à laquelle il fait allusion est celle du projet Ancuabe où la société a concentré ses efforts au cours des dernières années. En juillet dernier, elle a publié une étude de faisabilité actualisée qui réduit le coût de construction de la mine à 90,3 millions de dollars, tablant sur une production annuelle d’environ 70 000 tonnes de concentré de graphite. La compagnie est actuellement en quête de financement pour concrétiser le potentiel du projet.

Louis-Nino Kansoun

Source : Agence Ecofin

Formation des ingénieurs : l’Algérie propose son expertise au Tchad

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L’Algérie et le Tchad entendent renforcer leur coopération dans divers secteurs, dont celui des mines. Dans ce secteur, le premier pays veut aider le second à constituer une main-d’œuvre qualifiée en vue de tirer profit de ses ressources pétrolière et minière.   

L’Algérie veut partager son expertise en matière de formation des ingénieurs avec le Tchad. Ce sujet est au centre d’une rencontre entre le nouvel ambassadeur de la République d’Algérie au Tchad, Bennaoum Djamel Eddine Omar (photo, à gauche), et le ministre tchadien des Mines et de la Géologie, Abdelkerim Mahamat (photo, à droite), le lundi 28 août.

« L’Algérie, à travers notamment son institut de pétrole et des mines peut contribuer énormément aux renforcements des capacités des ingénieurs tchadiens et contribuer à la mise en place d’une carte géologique stratégique », a déclaré Bennaoum Djamel Eddine Omar.

Le diplomate algérien n’a pas donné plus de détails sur la mise en œuvre de cette coopération. Cependant, le ministre tchadien a suggéré la formation des ingénieurs à différents niveaux, avec notamment le déplacement d’une délégation de haut niveau en Algérie pour partager les expériences.

Pour rappel, l’Ambassadeur algérien, qui vient de prendre fonction dans le pays d’Afrique centrale, a indiqué que son pays s’investirait dans le développement des secteurs clés de l’économie nationale dont le secteur minier, afin de renforcer la coopération entre l’Algérie et le Tchad.

Vanessa Ngono Atangana

Source : Agence Ecofin

Tentative de coup d’État : le groupe minier français Eramet suspend ses activités au Gabon

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A l’aube du 30 août, un groupe d’hommes se réclamant des forces de défense et sécurité du Gabon a annoncé l’annulation de l’élection présidentielle du 26 août donnant vainqueur le président en place Ali Bongo. Ils ont également dissous les institutions de la république et fermé les frontières.

L’action du groupe français Eramet a plongé de plus de 20 % pour se négocier à 60,90 euros vers 9h GMT, le 30 août à la bourse de Paris. Cette baisse intervient dans la foulée de l’annonce de la suspension de ses activités au Gabon, alors qu’une tentative de coup d’État est en cours dans le pays d’Afrique centrale où la compagnie minière exploite du manganèse.

Dans un communiqué repris par la presse de l’Hexagone, Eramet a indiqué avoir « mis à l’arrêt » ses opérations en vue de « protéger la sécurité de [son] personnel et l’intégrité de [ses] installations […] suite aux derniers évènements en cours ». Le trafic ferroviaire destiné notamment au transport du minerai, a été suspendu, précise un porte-parole à Reuters.

Eramet détient en majorité la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog) qui exploite notamment dans le pays la plus grande mine de manganèse au monde. La compagnie française emploie quelque 8 000 personnes au Gabon et y a produit 2,6 millions de tonnes de manganèse au premier semestre 2023, en baisse de 27 % en glissement annuel.

Notons que la tentative de coup d’État en cours au Gabon est l’œuvre d’un groupe d’hommes se réclamant des forces de défense et sécurité du Gabon. Ils ont annoncé à la télévision nationale l’annulation de l’élection présidentielle du samedi 26 août dernier, donnant le président Ali Bongo vainqueur. En France, le gouvernement suit la situation avec « la plus grande attention », a déclaré la Première ministre Elisabeth Borne, alors que Pékin a appelé à « garantir la sécurité » du chef d’État Ali Bongo.

Source : Agence Ecofin

Afrique du Sud : les ressources minérales du projet de cuivre Okiep revues à la hausse

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Alors qu’elle s’active pour concrétiser le potentiel de son projet de cuivre et zinc Prieska, Orion Minerals avance parallèlement dans l’exploration d’un deuxième projet en Afrique du Sud. Il s’agit du projet Okiep qui a déjà produit par le passé plus de 2 millions de tonnes de cuivre.

En Afrique du Sud, le projet Okiep héberge potentiellement plus de cuivre qu’initialement prévu par son propriétaire Orion Minerals. Dans une mise à jour opérationnelle publiée lundi 28 août, la compagnie cotée à Johannesburg a revu à la hausse l’estimation de ressources d’une partie du projet, en l’occurrence les gisements « Flat Mines ».

La société a identifié sur trois prospects une ressource totale de 9,3 millions de tonnes titrant 1,3 % de cuivre (130 000 tonnes de cuivre contenu), dont 7,4 millions de tonnes à une teneur de cuivre de 1,4 % classées dans les catégories « mesurée et indiquée ». Additionnée aux 2,5 millions de tonnes précédemment déclarées sur trois autres prospects, cela porte la ressource minérale de ces gisements à 12 millions de tonnes, à une teneur de 1,4 % de cuivre.

« Suite à un examen géologique détaillé, nous avons été en mesure d’augmenter les ressources minérales totales de la zone Flat Mines et plus important encore d’accroître la confiance dans le modèle de ressources. Il s’agit d’un résultat très positif qui a maintenant été intégré à l’étude de faisabilité bancable du projet OCP », a commenté le DG Errol Smart.

Il faut noter que la nouvelle estimation à Okiep intervient un mois seulement après la mise à jour des ressources minérales d’un autre projet de la compagnie en Afrique du Sud. Selon l’évaluation de fin juillet dernier, le projet Prieska héberge des ressources minérales totales de 31 millions de tonnes titrant 1,2 % de cuivre et 3,6 % de zinc, soit 370 000 tonnes de cuivre et 1,1 million de tonnes de zinc. Orion Minerals y exécute une stratégie d’exploitation minière précoce afin de lancer rapidement la production sur le site.

Source : Agence Ecofin