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SOMISEN

L’UE signe des partenariats sur l’approvisionnement en minéraux critiques avec la RDC, l’Angola et la Zambie

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La RDC et la Zambie sont deux grands producteurs de cuivre. La RDC fournit également 70 % du cobalt mondial et s’annonce comme un futur producteur de lithium. L’Angola peut servir de relais pour les exportations de minéraux critiques provenant des deux pays suscités.

L’Union européenne a signé trois protocoles d’accord avec la RDC, l’Angola et la Zambie, en vue de s’approvisionner en minéraux critiques tels que le cuivre, le lithium et le cobalt. C’est l’annonce faite le 26 octobre par l’organisation, au cours du Global Gateway Forum qu’elle organise pendant deux jours à Bruxelles.

Les deux premiers protocoles d’accord ont été conclus d’une part avec le ministre congolais des Transports, Marc Ekila Likombo, et le ministre zambien des Finances, Situmbeko Musokotwane d’autre part. Ils permettront le développement de partenariats « sur les chaines de valeur critiques et stratégiques des matières premières » entre l’UE et les deux pays.

Le dernier protocole implique non seulement l’UE, la Zambie et la RDC, mais aussi les États-Unis, l’Angola, la Banque africaine de développement et l’Africa Finance Corporation. Il porte sur le développement du corridor de Lobito, composé d’infrastructures portuaires et ferroviaires reliant les mines de cuivre et de cobalt du sud de la RDC et du nord-ouest de la Zambie aux marchés régionaux et mondiaux via le port angolais de Lobito.

En septembre, dernier, les États-Unis et l’UE ont annoncé un partenariat visant à soutenir l’extension du corridor jusqu’en Zambie. Washington et Bruxelles comptent aider les pays concernés par ce projet à lancer des études préfaisabilité pour prolonger le tronçon ferroviaire jusqu’au nord de la Zambie.

« Les nouveaux partenariats avec la République démocratique du Congo et la Zambie soutiendront le développement de chaines de valeur durables et résistantes pour les matières premières essentielles, tout en créant des emplois locaux de qualité. Le corridor de transport de Lobito changera également la donne en stimulant le commerce régional et mondial », a commenté Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne.

Le regain d’intérêt des pays occidentaux pour les pays miniers africains s’inscrit dans une stratégie visant non seulement à sécuriser leur approvisionnement en minéraux critiques, mais aussi à réduire leur dépendance vis-à-vis de la Chine. L’empire du Milieu, fortement implanté sur le continent, contrôle déjà des dizaines de mines ou projets de cuivre, cobalt et lithium en RDC, au Mali, en Zambie et au Zimbabwe.

Pour rappel, la RDC est le premier producteur mondial de cobalt, avec 70 % de l’offre totale. Le pays est également troisième producteur mondial de cuivre et premier en Afrique, suivi sur le continent par la Zambie. Cette dernière envisage de produire jusqu’à 3 millions de tonnes de cuivre par an d’ici 2030, pour répondre à l’explosion de la demande du métal rouge.

Les deux pays évaluent aussi la possibilité d’accroitre leur présence sur la chaine de valeur des minéraux critiques en développant des installations locales de transformation afin de produire les matériaux pour batteries de véhicules électriques. Des investissements de 30 milliards de dollars seront nécessaires pour capter d’ici 2035-2040 près de 7 000 milliards de dollars, a indiqué en septembre le ministre congolais de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Mali : à fin septembre 2023, la production d’or de Yanfolila a augmenté de 33 % par rapport à 2022

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Dans le sud du Mali, le britannique Hummingbird exploite la mine d’or Yanfolila, où il vise une production maximale de 90 000 onces d’or cette année. L’État malien détient 10 % d’intérêts dans l’actif.

Au Mali, la mine d’or Yanfolila a livré 18 399 onces au troisième trimestre, soit une hausse de 9 % en glissement annuel. Cela porte la production des neuf premiers mois de l’année à 69 546 onces, soit environ 33 % de plus qu’à la même période en 2022.

Ces différents résultats confortent le propriétaire de la mine, le britannique Hummingbird Resources, dans son ambition de produire 80 à 90 000 onces d’or à Yanfolila cette année. Dans un communiqué publié le 26 octobre, la compagnie minière indique par ailleurs que ses ventes d’or ont totalisé 69 700 onces d’or depuis le début de l’année, à un prix moyen de 1 925 dollars l’once.

En dehors de Yanfolila, notons que Hummingbird exploite depuis quelques mois la mine d’or Kouroussa en Guinée. Avec ses deux actifs, la compagnie vise une production annuelle de 200 000 onces à partir de l’exercice financier 2024.

Source : Agence Ecofin

Nigeria : des investisseurs actifs sur le lithium copient le nom de trois compagnies chinoises

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La Chine a investi massivement dans le secteur minier africain depuis deux décennies. Au Nigeria, l’annonce début octobre d’un investisseur chinois dans l’exploitation du lithium a donc été accueillie avec enthousiasme, à l’heure où le pays veut accroitre la contribution du secteur minier au PIB.

Le développement de la première usine de traitement de lithium, annoncé début octobre, n’est en réalité pas piloté par des investisseurs chinois. C’est pourtant ce qu’aurait pu laisser croire la dénomination des compagnies impliquées, en l’occurrence Ganfeng Lithium Industry Ltd., Tianqi Lithium Industrial Ltd. et Ningde Era Industrial Ltd.

Selon les informations publiées le 27 octobre par Bloomberg, il s’agirait plutôt de compagnies nigérianes imitant les  noms de trois géants chinois cotés sur les bourses de Shenzhen et de Hong Kong. Ganfeng Lithium et Tianqi Lithium se sont même signalés ces dernières années sur le continent africain, à travers des investissements dans le lithium en RDC et au Mali.

Le directeur général de la société nigériane Ganfeng, Kelvin Dai, invite donc à ne pas faire de « confusion », sans qu’on sache pour autant les raisons derrière des choix aussi équivoques. « Nous sommes des entreprises indépendantes », assure-t-il.

L’usine dont la première pierre a été posée le 12 octobre dernier dans l’État de Nasarawa au nord du Nigeria, devrait traiter quotidiennement 18 000 tonnes de minerai de lithium. Son développement intervient dans un contexte mondial marqué par une course aux minéraux essentiels à la transition énergétique. Pour le ministre nigérian des Minéraux solides, qui a participé à la cérémonie, l’installation s’inscrit dans la stratégie des autorités visant à transformer localement la production minière.

Pour rappel, le secteur minier du Nigeria contribue à moins de 1 % au produit intérieur brut. Décidées à augmenter cette part, les autorités multiplient les initiatives pour attirer des investisseurs afin d’exploiter les immenses ressources minérales du pays. En ce qui concerne le lithium, la compagnie canadienne Thor Explorations veut commencer à en produire en 2025.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Égypte : l’estonien Moonrider renforce sa présence au capital du futur producteur d’or Aton Resources

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Aton Resources est une société enregistrée au Canada et active dans l’exploration aurifère en Égypte. En cas de succès dans ses projets, Aton contribuerait à porter la contribution des Mines au PIB égyptien à 5 %, contre à peine 1 % actuellement.

Aton Resources a annoncé le 26 octobre la clôture d’un placement privé de 3 millions de dollars canadiens (2,16 millions $) au profit de ses concessions aurifères en Égypte. Cette levée de fonds a été soutenue par l’un des principaux actionnaires de l’entreprise, l’estonien Moonrider qui renforce ainsi sa présence au capital de la compagnie minière canadienne.

Avant le placement privé, Moonrider contrôlait 43,10 % des actions en circulation d’Aton sur une base non diluée. Ce contrôle passe désormais à 52,04 %, grâce à l’achat de 12 921 364 actions pour une contrepartie totale de 2 842 700 dollars canadiens.

Selon Aton, le financement ainsi obtenu sera affecté à la poursuite des activités d’exploration et de développement sur les concessions Rodruin et Hamama d’Aton. Les derniers résultats d’exploration obtenus sur ces gisements sont encourageants, dans la perspective du développement d’une mine d’or.

Alors que l’Égypte cherche à quintupler la part des Mines dans son PIB, le succès d’Aton pourrait jouer un rôle clé dans l’atteinte de cet objectif.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

RDC : en pleine pénurie de liquidités, le producteur de cuivre et cobalt Chemaf cherche un repreneur

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Les prix de plusieurs métaux essentiels à la transition énergétique comme le cobalt ont significativement baissé cette année. Cela a mis en difficulté certaines compagnies minières, dont Chemaf, une entreprise liée à Trafigura et présente en RDC depuis environ deux décennies.

La compagnie minière Chemaf, partenaire du géant des matières premières Trafigura en RDC, cherche un repreneur. Alors qu’elle a besoin de 300 millions de dollars pour achever l’agrandissement de deux mines de cuivre et de cobalt dans le pays, la société a lancé un appel d’offres début septembre en vue de recevoir des propositions de rachat.

Selon les détails relayés par plusieurs médias internationaux le 26 octobre, la décision de Chemaf survient alors que les projets sont déjà achevés à 85 %. Les offres des acheteurs intéressés devaient être transmises jusqu’au 17 octobre au plus tard, mais la date limite aurait cependant été repoussée afin d’accorder plus de temps aux investisseurs. En dehors de la cession complète, Chemaf est ouverte à une coentreprise et vise une évaluation à hauteur de 1 milliard de dollars.

Notons que la vente potentielle de Chemaf intervient dans un contexte d’inflation mondiale et de faiblesse des prix du cobalt. Si le métal reste indispensable à la transition énergétique et que la demande pourrait en conséquence augmenter dans les années à venir, le prix du cobalt pour livraison dans trois mois a chuté de 17 % à la bourse des métaux de Londres cette année, passant de près de 42 000 dollars la tonne début janvier 2023 à 34 500 dollars le 26 octobre.

L’agrandissement prévu par Chemafsur les mines Étoile et Mutoshi devrait leur permettre de produire environ 75 000 tonnes de cuivre et 25 000 tonnes de cobalt. Cela renforcerait la position de la RDC comme premier producteur mondial de cobalt et troisième producteur mondial du métal rouge.

Source : Agence Ecofin

Hydrocarbures : la crise énergétique marque la fin de « l’âge d’or » du gaz naturel (AIE)

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Que ce soit pour le gaz naturel, le pétrole ou le charbon, le scénario de l’AIE dans son nouveau rapport prévoit une baisse de la demande, en raison notamment des politiques actuelles et d’une légère révision à la baisse des perspectives économiques.

L’âge d’or du gaz touche à sa fin d’après l’Agence Internationale de l’Énergie (AIE). Dans son rapport annuel sur les perspectives énergétiques intitulé « World Energy Outlook 2023 » publié ce mois d’octobre, l’agence indique que la consommation de gaz naturel devrait ralentir d’ici 2030 pour atteindre moins de 0,4 % de croissance par an, contre une augmentation de près de 2 % par an en moyenne depuis 2011.

Les secteurs de l’électricité et des bâtiments qui sont les plus gros consommateurs actuels de gaz naturel, auraient déjà connu des pics d’ajout de capacité de gaz naturel pour les centrales électriques et les chaudières de chauffage.

Le rapport indique également que le rebond de la demande de gaz naturel observé en 2021 dans les économies avancées n’a pas duré longtemps, et que la demande en 2022 était inférieure aux niveaux d’avant la pandémie de Covid-19. Cela refléterait le passage aux énergies renouvelables dans la production d’électricité et l’abandon accéléré du gaz par l’Europe à la suite du conflit russo-ukrainien.

Ainsi, la demande du gaz naturel devrait continuer de diminuer dans les États d’Europe centrale et orientale d’ici à 2030, ce qui devrait plus que compenser la croissance continue de la demande sur les marchés émergents et les économies en développement.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

Wheaton investit 115 millions de dollars et un flux d’argent dans la mine Mineral Park en Arizona

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Wheaton Precious Metals (TSX : WPM ; NYSE : FWB) a accepté d’investir 115 millions de dollars lors de la construction du projet polymétallique Mineral Park en Arizona. L’argent sera versé en trois versements de 25 millions de dollars et un dernier versement de 40 millions de dollars à Waterton Copper.

Wheaton a également accepté d’acheter 100 % de l’argent produit par la mine pendant la durée de vie du projet. L’argent payable est calculé en utilisant un facteur payable fixe de 90 %.

Mineral Park a une durée de vie minière de 12 ans, avec le potentiel d’étendre la production à plus de 20 ans. La production attribuable devrait atteindre en moyenne au moins 690 000 onces. d’argent par an pendant les cinq premières années, s’élevant à une moyenne de 740 000 onces. sur la durée de vie du projet.

Le projet appartient et est exploité par Origin Mining, une filiale de Waterton Copper. Il est situé près de Kingsman, dans le coin nord-ouest de l’Arizona. Le projet est dans la deuxième phase de construction et son achèvement est prévu d’ici la fin du premier trimestre 2025.

L’exploitation minière à ciel ouvert à grande échelle du cuivre a commencé en 1963 et s’est poursuivie jusqu’en 2014. Origin a acheté la propriété en 2015.

Source : mining.com

Les expéditions trimestrielles de minerai de fer de Fortescue chutent de 3 % en raison de la maintenance

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La société minière australienne Fortescue a annoncé jeudi une baisse de 3 % de ses expéditions trimestrielles de minerai de fer en raison d’une maintenance accrue et d’une diminution des stocks portuaires, tandis que des problèmes opérationnels sur son projet Iron Bridge ont limité le traitement.

Fortescue, qui est sous le choc de l’exode de ses dirigeants, a expédié 45,9 millions de tonnes de produits sidérurgiques au cours du trimestre clos le 30 septembre, contre 47,5 millions de tonnes il y a un an, a-t-elle indiqué dans un communiqué.

Le 12 octobre, Fortescue a déclaré que la montée en puissance jusqu’à la pleine capacité de production de 22 millions de tonnes par an pour Iron Bridge restait inchangée et était attendue d’ici 24 mois.

Le projet Iron Bridge Magnetite est une coentreprise entre la société et Formosa Steel IB Pty Ltd.

Le monde n’est pas. Le mineur de minerai de fer n°4 sera en mesure de mélanger la production à haute teneur d’Iron Bridge avec son minerai généralement à faible teneur.

“Le défi pour Iron Bridge sera le rythme de la montée en puissance à partir d’ici”, ont déclaré les analystes de Citi dans une note de recherche.

La société minière basée à Perth a également réitéré ses prévisions d’expéditions de minerai de fer pour l’exercice en cours entre 192 millions de tonnes et 197 millions de tonnes, dont environ 5 millions de tonnes pour le projet Iron Bridge.

Les actions de Fortescue ont chuté d’environ 1,3% à 21,740 dollars australiens, avant de s’échanger en baisse de 0,7% à 00h42 GMT.

(1 $ = 1,5896 dollars australiens)

(Par Archishma Iyer ; édité par Shailesh Kuber, Anil D’Silva et Christian Schmollinger)

Source : mining.com

Zijin affirme qu’il fera avancer le projet controversé et géant du lithium au Congo

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La société chinoise Zijin Mining a déclaré qu’elle défendrait son droit d’exploiter la mine contestée de Manono Lithium en République démocratique du Congo (RDC), après avoir obtenu l’autorisation de développer le gisement.

Le permis d’exploitation de l’un des plus grands gisements de roche dure au monde appartenait initialement à l’australien AVZ Minerals, mais a été révoqué en février par le ministère des Mines de la RDC, affirmant que la société ne l’avait pas développé assez rapidement.

Manono Lithium SAS, une coentreprise à travers laquelle Jinxiang Lithium, filiale de Zijin, détient une participation de 61% et Cominiere, une entreprise publique de RDC, le reste des intérêts, a obtenu les droits sur la concession nord-est de la mine de Manono, a déclaré mardi la société à la Bourse de Hong Kong. .

AVZ, qui déclare détenir le projet Manono à travers sa filiale Dathcom Mining SA, a des poursuites judiciaires en cours contre Cominiere et une autre filiale de Zijin.

Zijin s’engage à développer le projet avec Cominiere, la RDC, les parties prenantes locales et la population de la RDC, a déclaré mercredi à Reuters Chen Chen, conseiller juridique de Zijin Mining.

“Nous ne pouvons pas spéculer sur les problèmes juridiques qui surgiront à l’avenir, mais nous défendrons la nouvelle coentreprise afin que les travaux sur la concession nord puissent se poursuivre pour le bénéfice de la RDC et de ses communautés locales”, a-t-elle déclaré.

AVZ, qui valait 2,8 milliards de dollars australiens (1,79 milliard de dollars) lors de sa radiation de la bourse australienne l’année dernière, a déclaré être propriétaire du projet.

“AVZ a mené des négociations constructives avec le gouvernement de la RDC pour établir une procédure d’octroi du permis minier et la résolution des arbitrages entre AVZ et les entités contrôlées par la RDC”, a-t-elle déclaré mercredi à Reuters .

Les entreprises chinoises et les fabricants de batteries augmentent leurs investissements dans toute l’Afrique pour accroître la production de cuivre, de cobalt et de lithium, des métaux nécessaires à la transition écologique mondiale et à la croissance des véhicules électriques à batterie.

Le gisement géant de Manono « a un fort potentiel pour devenir le premier projet de production de lithium pour Zijin en Afrique et en RDC », a déclaré à Reuters Jian Heyuan, directeur général de Manono Lithium .

Zijin, qui détient une participation de 39,6 % dans la mine de cuivre de Kamoa-Kakula, prendra la tête de la progression du projet de lithium, notamment en fournissant « des fonds suffisants » et un soutien technique, a-t-il indiqué.

Une mine pourrait être construite dans les deux ans suivant la fin des études et « il existe des conditions pour une exploitation minière à ciel ouvert à grande échelle ainsi que des perspectives de développement prometteuses », a déclaré Zijin.

(1 $ = 1,5667 dollars australiens)

(Par Siyi Liu, Felix Njini et Melanie Burton ; édité par Michael Perry, Christian Schmollinger et Barbara Lewis)

Source : mining.com

La Banque mondiale accorde à l’Afrique du Sud un prêt d’un milliard de dollars pour sa réforme énergétique

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La Banque mondiale a déclaré qu’elle soutiendrait la transition de l’Afrique du Sud vers l’utilisation de formes d’énergie plus propres avec un prêt d’un milliard de dollars.

Le financement contribuera à faciliter la « restructuration du secteur électrique » grâce au dégroupage du service public public Eskom Holdings SOC Ltd., a déclaré le prêteur dans un communiqué mercredi. “Il soutient l’ouverture du marché de l’électricité et vise à améliorer l’efficacité d’Eskom en réorientant ses ressources vers des investissements dans le transport et la maintenance des centrales électriques existantes.”

La Banque mondiale a déclaré qu’elle soutiendrait également « une transition vers une économie à faibles émissions de carbone en encourageant les investissements privés dans les énergies renouvelables, notamment par les ménages et les petites entreprises, et en renforçant les instruments de tarification du carbone ».

(Par Paul Burkhardt)

Source : mining.com