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Récemment, la société publique chargée de l’électricité en Libye avait exprimé ses craintes concernant une baisse significative des volumes de gaz disponibles pour alimenter les centrales électriques du pays.

En Libye, la compagnie publique du pétrole (NOC) a réagi, dimanche 26 février, à des informations diffusées par la société publique chargée de l’électricité (GECOL) et faisant état d’une potentielle rupture de l’approvisionnement en gaz destiné à plusieurs centrales électriques du pays.

La société d’État a démenti ces allégations dans une déclaration soulignant par ailleurs que l’approvisionnement des centrales électriques est « en tête de nos priorités » et que c’est pour cette raison qu’elle a réduit ses exportations gazières.

En outre, la NOC a fustigé la démarche de GECOL lui reprochant de « fuir ses responsabilités et de blâmer les autres », au lieu de suivre la procédure d’alerte exigée dans les cas où elle soupçonne de possibles risques de blocage de la fourniture d’électricité dans le pays.

Un énième incident qui témoigne de la fragilité des relations entre les institutions malgré une accalmie depuis quelques mois.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

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