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CEZ attire les producteurs de batteries de voiture à l’approche de la décision sur la mine de lithium

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Le fournisseur d’énergie CEZ AS a déclaré qu’il tentait d’attirer les producteurs de batteries de voiture en République tchèque, car cela augmenterait les avantages d’un éventuel projet local d’extraction de lithium.

Le plus grand producteur d’électricité d’Europe de l’Est est « totalement sérieux » quant à ses projets d’extraction de métal dans le nord du pays, a déclaré jeudi à la presse le directeur financier Martin Novak. Il a déclaré que CEZ prendrait une décision finale après avoir terminé les tests d’extraction et de traitement à la fin de l’année.

Novak a déclaré que même si les projets d’extraction du lithium – un élément clé des véhicules électriques rechargeables – et de fabrication de batteries étaient indépendants l’un de l’autre, avoir les deux dans le pays serait un avantage.

« Le lithium est un très gros projet, sur lequel des équipes travaillent », a déclaré Novak lors d’une conférence téléphonique après que CEZ a annoncé ses résultats du troisième trimestre. « Nous sommes en pourparlers avec plusieurs entreprises au sujet d’une éventuelle usine de batteries sur nos sites, principalement à Prunerov, qui présenterait une certaine synergie dans la mesure où elle serait relativement proche de la mine de lithium. »

Par ailleurs, Novak a déclaré que la société restait intéressée par l’achat potentiel du distributeur tchèque de gaz naturel GasNet, car cela pourrait créer des « synergies majeures » avec la distribution d’électricité de CEZ et d’autres opérations.

(Par Krystof Chamonikolas)

Source : mining.com

La société minière d’or russe Uzhuralzoloto annonce son introduction en bourse malgré les sanctions britanniques contre son propriétaire

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La société minière russe Uzhuralzoloto (UGC) proposera jusqu’à 5 % de son capital en nouvelles actions lors d’une introduction en bourse (IPO) à la Bourse de Moscou, a annoncé jeudi la société, un jour après que la Grande-Bretagne a ajouté son propriétaire Konstantin Strukov à une liste de sanctions. .

Les cotations d’actions russes sont rares depuis que la Russie a envoyé ses troupes en Ukraine en février 2022, et se caractérisent généralement par de petits volumes et dépendent des investisseurs russes après un exode des capitaux occidentaux.

Les analystes d’Alfa Bank ont ​​évalué le capital social d’UGC entre 140,5 et 170,8 milliards de roubles (1,53 à 1,86 milliard de dollars). Sur la base de cette estimation, UGC pourrait récolter entre 7 et 8,5 milliards de roubles.

Trois sources des marchés financiers ont déclaré le mois dernier à Reuters qu’UGC envisageait une introduction en bourse et lui ont donné une valorisation préliminaire de 120 milliards de roubles.

La Grande-Bretagne a imposé mercredi des sanctions à 29 personnes et entités des secteurs aurifère et pétrolier russes, dont Strukov et deux des plus grands producteurs d’or russes, Nord Gold et Highland Gold Mining, mais pas à UGC elle-même.

La National Crime Agency (NCA) britannique a également lancé une alerte aux institutions financières, les mettant en garde contre les tentatives russes d’utiliser l’or pour échapper aux sanctions.

L’UGC a déclaré que les sanctions individuelles n’affecteraient pas son travail, ses opérations ou ses exportations. La société a déclaré que ses opérations n’étaient pas exposées aux retombées géopolitiques car elle ne s’appuie pas sur des équipements fabriqués en Occident.

Strukov a déclaré que l’introduction en bourse permettrait à UGC d’atteindre davantage d’investisseurs, de diversifier la structure de son actionnariat et de réduire le fardeau de sa dette.

Une série de petites offres a insufflé un peu de vie aux marchés de capitaux russes ces derniers mois. La chaîne de vêtements pour hommes Henderson a levé 3,8 milliards de roubles la semaine dernière, à la suite d’une levée de fonds similaire réalisée par la société technologique Astra en octobre.

(1 $ = 92,0100 roubles)

(Par Anastasia Lyrchikova et Felix Light ; édité par Alexander Marrow et Mark Potter)

Source : mining.com

Guinée équatoriale : Trident Energy a démarré des activités de forage impliquant les blocs pétroliers en mer G et S

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En janvier, Trident Energy avait annoncé un plan consistant à lancer, au plus tard au quatrième trimestre 2023, une campagne de forage de plusieurs puits sur les blocs pétroliers G et S, situés au large de la Guinée équatoriale.

La société pétrolière Trident Energy a officialisé le démarrage d’opérations de forage de puits pétroliers en Guinée équatoriale. Il s’agit de la deuxième campagne de forage de puits exécutée dans le pays. Cette dernière, lancée vendredi 3 novembre, concerne principalement les blocs pétroliers G et S, situés dans les eaux territoriales équato-guinéennes.

Dans le cadre de ce programme, Trident Energy envisage la réalisation d’une série de trois puits sur les champs producteurs Ceiba et Okume du bloc G. Quant au bloc S qui n’est pas encore en production, il devrait faire l’objet d’un puits d’exploration. Par ailleurs, il est prévu dans le cadre de cette campagne, l’exécution d’opérations d’intervention sur deux puits pendant qu’en parallèle le raccordement de nouveaux puits aux installations de production existantes se finalise.

« Ce programme ambitieux représente un investissement significatif pour 2023 et 2024 et démontre notre engagement concernant la région, alors que nous cherchons à maximiser la production et à continuer de contribuer à la prospérité à long terme de la Guinée équatoriale », a déclaré Trident Energy, dans un communiqué.

Notons que le bloc G dispose d’un potentiel pétrolier évalué en 2021, à 92,5 millions de barils de ressources pétrolières 2 P. Le bloc S a, quant à lui, confirmé l’existence de ressources pétrolières de l’ordre de 180 millions de barils équivalents pétrole.

Abdel-Latif Boureima 

Source : Agence Ecofin

Namibie : Shell prévoit d’allouer un quart de son budget de prospection pour l’année 2024, au bassin d’Orange

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A travers la découverte pétrolière namibienne Graff réalisée en 2022 par Shell, le bassin d’Orange a confirmé sa viabilité économique. Ces derniers mois, cette zone d’intérêt en mer a aussi confirmé son potentiel en hydrocarbures via d’autres découvertes importantes.

Selon des informations rapportées mardi 7 novembre par la presse locale namibienne, la major pétrolière Shell prévoit de dédier 25 % de son budget d’exploration pour 2024, à la recherche d’hydrocarbures sur sa licence PEL 39 du bassin d’Orange.

De janvier 2022 à aujourd’hui, Shell et ses partenaires Qatar Energy et NAMCOR, ont mis en évidence quatre réserves de brut sur ce périmètre en mer à savoir le gisement Graff, suivi des réserves La Rona, Lesedi et Jonker.

Dans une webdiffusion autour du bilan opérationnel de Shell au terme du 3ème trimestre 2023, Wael Sawan, le patron de la compagnie anglo-néerlandaise a indiqué qu’il s’agissait pour la compagnie de tirer parti de ses expériences dans l’exploration en mer, pour rester compétitive.

« Ainsi, aussi important que soit le fait de faire une découverte, s’assurer que nous pouvons réellement être plus compétitifs lorsque nous forons ces puits est un domaine clé sur lequel nous nous concentrons […] en tirant parti des enseignements significatifs que nous avons dans l’ensemble de notre portefeuille mondial en eaux profondes », a déclaré le patron.

Le responsable a également annoncé l’ambition de la société, de réaliser, dans les six à neuf mois qui viennent, un puits d’exploration, un puits d’évaluation ainsi qu’au moins un test d’écoulement de puits qui devrait permettre de comprendre le potentiel effectif du site.

Début septembre 2022, les autorités namibiennes ont indiqué que l’exploitation des ressources pétrolières du bassin d’Orange est attendue pour 2026, compte tenu de la complexité opérationnelle de la région.

Abdel-Latif Boureima 

Source : Agence Ecofin

Endeavour a produit 792 000 onces d’or en Afrique de l’Ouest entre janvier et septembre 2023

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Endeavour est le plus grand producteur d’or d’Afrique de l’Ouest. La compagnie basée à Londres exploite actuellement quatre mines d’or dans la région et veut produire entre 1,06 et 1,13 million d’onces en 2023.

La production d’or d’Endeavour Mining a baissé de 9 % en glissement annuel pour s’établir à 792 000 onces pour les neuf premiers mois de 2023. C’est l’annonce faite le 9 novembre par la compagnie active dans trois pays ouest-africains, précisant qu’elle reste en bonne voie pour produire au moins 1,06 million d’onces cette année.

Au troisième trimestre, la production d’or des mines encore détenues par la société est restée stable en glissement annuel. Quand on exclut les mines d’or burkinabé Boungou et Wahgnion vendues et sorties du portefeuille de la compagnie à la fin du deuxième trimestre 2023, Endeavour a en effet produit 281 000 onces, comme au troisième trimestre 2022. La baisse de la production sur les mines d’or Ity (-10 %), Mana (-28,6 %) et Sabodala-Massawa (-20 %) a été compensée par une hausse de 51 % de la production à la mine d’or Houndé.

« Notre troisième trimestre a enregistré les meilleures performances depuis le début de l’année, et nous nous attendons à ce que les performances du quatrième trimestre soient encore plus fortes, ce qui nous place en bonne position pour atteindre les objectifs de production pour l’année entière pour la onzième année consécutive », assure Sébastien de Montessus, PDG de la compagnie.

Pour rappel, les mines d’or Houndé et Mana sont situées au Burkina Faso. Elles ont respectivement livré 228 000 et 106 000 onces d’or pour les neuf premiers mois de l’année. En Côte d’Ivoire, Endeavour exploite Ity, la plus grande mine de son portefeuille avec 250 000 onces sur les neuf premiers mois. Quant au complexe aurifère Sabodala-Massawa au Sénégal, il a livré 209 000 onces d’or sur la même période.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Abidjan va accueillir la première édition du Salon international des mines, de l’énergie et des hydrocarbures de l’UEMOA

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Cette rencontre, soutenue par la Commission de l’UEMOA, promet de dynamiser le développement durable des secteurs miniers, alors que les pays de l’Union cherchent à tirer pleinement profit des ressources stratégiques du sous-sol.

Du 27 au 29 novembre 2023, la capitale économique de la Côte d’Ivoire, Abidjan, organisera le Salon International des Mines, de l’Énergie et des Hydrocarbures de l’UEMOA (SIMEH-UEMOA). Sous le thème « Les ressources minérales et énergétiques dans l’espace UEMOA : atouts, opportunités et défis pour un développement durable », l’événement vise à valoriser les potentiels miniers, énergétiques et d’hydrocarbures des pays membres.

La Commission de l’UEMOA, organisatrice du SIMEH-UEMOA, entend offrir un cadre propice à la préparation et à la résilience des États membres et acteurs du secteur face aux chocs internes et externes. L’événement sera l’occasion de présenter les ressources minérales et énergétiques des États membres et de stimuler le dialogue entre les parties prenantes publiques et privées.

Pour cette première édition, environ 500 entreprises et organismes sont attendus, ainsi que 2000 visiteurs. L’organisation prévoit en outre la mise en place d’une centaine de stands pour exposer innovations, services et projets.

Avec 235 partenaires institutionnels, plus de 1100 partenaires privés, une centaine de représentants gouvernementaux et de faîtières des acteurs privés des mines, de l’énergie et des hydrocarbures, le SIMEH-UEMOA 2023 s’annonce comme un carrefour d’échanges diversifié. Il regroupera des participants des huit États membres de l’UEMOA, mais aussi d’autres continents.

Source : Agence Ecofin

Afrique du Sud : le président Ramaphosa a recours à l’armée pour réprimer l’exploitation minière illégale

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En Afrique du Sud, l’exploitation minière illégale coûte chaque année des milliards de rands aux compagnies minières et à l’État. Elle affecte aussi l’attractivité du secteur minier sud-africain, qui fait déjà face à d’autres défis liés aux problèmes de logistique et d’électricité.

En Afrique du Sud, le chef d’État Cyril Ramaphosa a autorisé le déploiement de 3 300 membres des forces de défense nationale sud-africaines dans le cadre d’une « opération anticriminalité intensifiée contre l’exploitation minière illégale dans toutes les provinces » du pays. C’est ce que rapporte un communiqué publié le 9 novembre par la présidence.

Cette opération a commencé depuis le 28 octobre dernier et durera jusqu’au 28 avril 2024, soit six mois au total. L’opération menée avec le concours des services de police sud-africains, devrait coûter 492 millions rands (26,43 millions $) et s’inscrit dans le cadre de l’opération « Prosper ». Cette dernière est conduite depuis 2019 par l’armée et la police pour lutter contre la criminalité, maintenir et préserver la loi et l’ordre.

Pour rappel, l’attractivité du secteur minier sud-africain a baissé au cours des dernières années et l’exploitation minière illégale n’est pas étrangère à cette situation. Surnommés les zamas zamas, les mineurs illégaux en Afrique du Sud sont souvent lourdement armés et sont actifs non seulement sur des sites miniers désaffectés, mais aussi dans des mines en exploitation. Sur ces dernières, ils tendent notamment des embuscades et des pièges aux employés, au personnel de sécurité et aux groupes rivaux de mineurs illégaux.

Selon une estimation publiée en août 2022 par le Minerals Council, la Chambre sud-africaine des Mines, « l’industrie dépense environ 2,5 milliards de rands [environ 134,3 millions $, Ndlr] supplémentaires chaque année pour la sécurité des mines de métaux précieux et une bonne partie de cette somme est liée à l’exploitation minière illégale ». Cette estimation ne tient pas compte des milliards perdus pour les caisses de l’État en raison du trafic illicite qui entoure les métaux précieux collectés par ces mineurs illégaux.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Namibie : l’explorateur de cuivre Deep-South abandonne son nom évoquant la ségrégation raciale

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Deep-South Resources est le propriétaire du projet de cuivre Haib en Namibie. Le pays cherche à diversifier son secteur minier avec l’exploitation de métaux essentiels à la transition énergétique, comme le cuivre, le lithium, le graphite et des terres rares.

Le canadien Deep-South Resources changera de nom pour devenir Koryx Copper dès le 10 novembre 2023. Selon un communiqué publié le 9 novembre par la société active sur le projet de cuivre Haib en Namibie, cette décision permet de dissocier l’entreprise de la ségrégation raciale.

Si Deep-South désigne la région de l’extrême sud de la Namibie, le nom correspond aussi à une région des États-unis symbole de la ségrégation raciale, explique Pierre Leveille, PDG de la compagnie. Le nouveau nom conserve le lien avec la Namibie, car il est la contraction de Karas, nom de la région namibienne dans laquelle est active la société, et « Oryx », nom d’une antilope qui est l’animal emblème national du pays.

« L’oryx est un symbole de courage, d’élégance, de fierté et de force. Il s’agit d’une meilleure représentation de nos valeurs fondamentales qui incluent également le fait de travailler avec et pour les habitants de la région du Karas, dans le sud de la Namibie, et de développer un projet dont le Karas et les Namibiens seront fiers pendant de nombreuses années », conclut M. Leveille.

Source : Agence Ecofin

Mauritanie : la mine Tasiast enregistre la production trimestrielle d’or la plus élevée de son histoire

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En Mauritanie, l’or est devenu le premier produit d’exportation en 2022, une première dans l’histoire du pays selon l’ITIE. Cette performance, réalisée en partie grâce à une production de plus de 500 000 onces à la mine d’or Tasiast, peut être rééditée en 2023.

Kinross Gold a enregistré une production record de 171 140 onces d’or au troisième trimestre 2023, à sa mine d’or Tasiast en Mauritanie. C’est l’annonce faite le 9 novembre par la compagnie minière canadienne qui précise que cette performance dépasse le précédent record établi au deuxième trimestre de cette année à 157 844 onces.

Il faut souligner que la hausse de la production d’or s’explique essentiellement par la réussite du projet Tasiast 24k, achevé en juin dernier. Lancé en 2019, ce dernier a permis d’augmenter de plus de 50 % la capacité de traitement initiale de la mine, jusqu’à 24 000 tonnes par jour. Pour les neuf premiers mois de l’année 2023, Tasiast affiche ainsi une production d’or de 460 029 onces, contre 395 589 onces pour la même période en 2022.

L’année dernière, l’or s’est imposé pour la première fois comme le premier produit d’exportation de la Mauritanie, grâce aux performances de la mine d’or Tasiast. Alors qu’un récent rapport de l’ITIE indique que la baisse des cours du minerai de fer en 2022 a bien aidé l’or à réaliser cette performance, le métal jaune pourrait bien conserver son nouveau statut en 2023, avec la hausse de la production à Tasiast.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Le projet de bauxite au Suriname pourrait susciter l’intérêt des entreprises indiennes et chinoises

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Des entreprises d’Inde, de Chine et du Moyen-Orient ont exprimé officieusement leur intérêt à participer à un projet de bauxite dans la jungle de l’ouest du Suriname , qui pourrait attirer des milliards d’investissements, a déclaré mardi un responsable surinamais.

Le pays sud-américain espère avoir obtenu une concession pour la bauxite – la principale source mondiale d’aluminium – d’ici l’année prochaine, après des décennies de tentatives pour développer le minerai.

Il citait des réserves prouvées, mais les gisements pourraient être plus importants.

Les investissements, potentiellement également de la part de soumissionnaires d’autres régions, seraient importants, a-t-il déclaré.

« On parle facilement de 10 à 12 milliards de dollars, mais sur une période d’environ 10 ans ou un peu plus. C’est mon estimation approximative », a déclaré Lachman.

« La bauxite que nous avons est une bauxite de niveau service. Vous n’êtes pas obligé de créer une mine. Il suffit de creuser par le haut », a-t-il ajouté.

Les entreprises pourront exprimer officiellement leur intérêt du jeudi au 29 janvier de l’année prochaine.

Ceux qui réussiront seront présélectionnés et invités à fournir des plans détaillés, y compris la manière dont ils alimenteraient un projet, avant l’attribution de la concession prévue d’ici novembre 2024.

Les rivières Suriname et Courantyne pourraient être draguées ou débarrassées des formations rocheuses pour accueillir de gros navires, a ajouté Lachman.

L’ouest du Suriname est constitué d’une jungle en grande partie vierge.

La commission travaille à évaluer les risques pour la biodiversité, a déclaré Lachman, et les propositions seront évaluées en fonction de leur respect des directives établies par les régulateurs environnementaux et l’agence de gestion forestière.

« Je pense que nous devons regarder au-delà des recettes publiques… et nous tourner vers d’autres choses qui sont bien plus importantes », a déclaré Lachman.

L’approbation des communautés, l’emploi local et le développement des infrastructures sont des facteurs importants pour la commission, qui n’approuvera aucun projet qui ne prend pas en compte les communautés, a-t-il déclaré.

(Par Ank Kuipers et Julia Symmes Cobb ; édité par Bill Berkrot)

Source : mining.com