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Vedanta enregistre une perte en raison de dépenses fiscales plus élevées et de la faiblesse des prix du zinc

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Vedanta Ltd. a enregistré une perte au deuxième trimestre, une charge fiscale plus élevée s’ajoutant à l’impact de la baisse des prix du zinc et de l’aluminium.

La filiale indienne du milliardaire Anil Agarwal a enregistré une perte de 17,8 milliards de roupies (214 millions de dollars) en trois mois jusqu’en septembre, contre un bénéfice de 18,1 milliards de roupies un an plus tôt. Le chiffre d’affaires a augmenté de 6,4% à 385,5 milliards de roupies, a annoncé samedi la société basée à Mumbai dans un communiqué.

Hindustan Zinc Ltd., sa filiale indienne de zinc qui réalise une grande partie des bénéfices, a annoncé une baisse de 35 % de son bénéfice net trimestriel et a manqué ses estimations, a-t-elle déclaré en octobre.

La perte de Vedanta intervient à un moment où Agarwal tente de restructurer son conglomérat et de diviser l’entreprise en six unités cotées. Les investisseurs surveillent attentivement la manière dont la société générera des liquidités pour aider sa société mère Vedanta Resources Ltd. à payer ses dettes. La récente réembauche d’un ancien directeur financier devrait bénéficier aux efforts de restructuration de la société minière.

Crisil Ltd. a placé les facilités de prêt à long terme de la société et environ 1,1 milliard de dollars d’obligations sous surveillance, avec des implications négatives à la suite du plan de restructuration. La clarté sur la répartition des actifs et des passifs entre les entités dans le cadre de la structure proposée, ainsi que le soutien du groupe ou de la société mère pour chaque entité, doivent encore émerger, a-t-il ajouté.

Les actions de Vedanta ont clôturé en hausse de 1,6% à Mumbai vendredi. Les analystes ont sept recommandations d’achat sur la société, quatre de conservation et trois de vente, selon les données compilées par Bloomberg .

(Par Swansy Afonso)

Les prix locaux élevés de l’or pèsent sur la demande de détail en Inde

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Les négociants en or physique en Inde ont offert des réductions pour une quatrième semaine consécutive, les consommateurs hésitant à faire des achats en raison de la hausse des prix intérieurs, tandis que la Chine, principal consommateur, a également connu une demande modérée.

En Inde, cette semaine, les concessionnaires ont offert une remise allant jusqu’à 9 dollars l’once par rapport aux prix intérieurs officiels, y compris les prélèvements de 15 % à l’importation et de 3 % sur les ventes, en hausse par rapport à la remise de 5 dollars de la semaine dernière.

Les prix locaux de l’or ont bondi cette semaine à 61 539 roupies (739,01 dollars) pour 10 grammes, non loin du sommet historique de 61 845 roupies (742,68 dollars) atteint en mai.

Les bijoutiers sont devenus pessimistes quant à la demande lors du prochain festival de Diwali en raison de la hausse des prix et hésitent à faire des achats, a déclaré un revendeur basé à Mumbai et travaillant pour une banque privée d’importation de lingots.

Les prix élevés pourraient freiner la demande en Inde pendant la haute saison des festivals et conduire aux volumes d’achat les plus bas depuis trois ans, a déclaré mardi le Conseil mondial de l’or (WGC).

En Chine, les primes par rapport aux prix au comptant mondiaux étaient cotées entre 25 et 40 dollars l’once, un chiffre qui a peu changé par rapport à la semaine dernière.

« Malgré diverses mesures d’assouplissement, telles que le contrôle de la location des quotas d’importation, les importations d’or restent atones. Le problème réside dans le fait que la demande n’est pas suffisamment importante pour générer une prime plus élevée », a déclaré Bernard Sin, directeur régional de la Grande Chine chez MKS PAMP.

Au Japon, l’or s’est vendu entre une décote de 0,25 $ et une prime de 1 $, contre une prime de 0,5 à 1 $ la semaine dernière.

À Hong Kong, les lingots étaient vendus à des primes de 1,5 à 2,5 dollars l’once et de 1,50 à 2,50 dollars à Singapour.

(1 $ = 83,2420 roupies indiennes)

(Par Rajendra Jadhav et Anjana Anil ; édité par Shweta Agarwal)

Source : mining.com

L’Inde déclare que la filiale de la NMDC va extraire de l’or en Australie

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Legacy Iron Ore Ltd, filiale de la société minière d’État indienne NMDC Ltd, s’apprête à exploiter de l’or en Australie occidentale, a annoncé dimanche le gouvernement indien dans un communiqué.

NMDC va commencer ses opérations minières sur le projet aurifère Mount Celia situé dans l’ouest de l’Australie, a annoncé le gouvernement, ajoutant qu’il s’agira de la première mine d’or de son vaste portefeuille.
“Le premier minerai à traiter à la mine d’or de Paddington est prévu pour le premier trimestre 2024 et il est sur le point de devenir un contributeur important au paysage de la production d’or en Inde”, ajoute le communiqué.

Reuters a rapporté en mai, citant des sources, que la NMDC était en pourparlers avec la société australienne Hancock Prospecting Pty Ltd pour l’exploration et l’exploitation minière du lithium.

(Par Nilutpal Timsina et Neha Arora ; édité par Hugh Lawson et Alexander Smith)

Source : mining.com

Niger : l’oléoduc avec le Bénin opérationnalisé, malgré les sanctions de la CEDEAO

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Le projet d’oléoduc Niger-Bénin est l’un des symboles de la coopération entre le Niger et son voisin le Bénin. Le coup d’État du 26 juillet dernier a semé le doute sur son aboutissement.

Depuis qu’il est dirigé par la junte qui a pris le pouvoir mercredi 26 juillet dernier, le Niger est sous sanctions. Des sanctions imposées par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui n’ont pas empêché le pays sahélien de procéder, mercredi 1er novembre, à la mise en service de l’oléoduc Niger-Bénin, en construction depuis 2019.

C’était lors d’une cérémonie à Koulélé, sur le site pétrolier d’Agadem, situé dans la région de Diffa, au sud-est du Niger. Celle-ci a vu la participation du Premier ministre Ali Mahaman Lamine Zeine, nommé par la junte au pouvoir, ainsi que celle de Simon Pierre Bossi et Bintou Camara, tous deux ministres de l’Énergie du Burkina Faso et du Mali seuls soutien du Niger.

La mise en service de cette infrastructure pétrolière, stratégique autant pour le Niger que pour le Bénin, marque un tournant dans le bras de fer qui oppose la junte nigérienne à la CEDEAO. Pour nombre d’analystes, elle est l’espoir d’une restauration de la collaboration avec le Bénin, brouillée par la fermeture de la frontière terrestre avec le Niger.

D’aucuns estiment par ailleurs que le spectre de l’intervention militaire brandie par l’organisation communautaire ouest-africaine en réponse au renversement du président Mohamed Bazoum s’éloigne quelque peu avec ce nouveau développement. Et pour cause, les intérêts en jeu sont encore plus grands.

Côté béninois, ce sont quelque 490 millions $ de recettes fiscales qui sont attendues de ce projet sur 20 ans. Ceci, sans compter les retombées techniques en termes de transfert de compétences et de formation des cadres dans le secteur.

Du côté nigérien, on s’attend à ce que l’oléoduc construit sur environ 2 000 km, soutienne de manière substantielle, la croissance économique qui pourrait atteindre les 12 %, portée par une augmentation des recettes fiscales de 45 %.

« Les ressources issues de l’exploitation […] seront destinées exclusivement à assurer la souveraineté et le développement de notre pays sur la base d’un partage équitable aux populations », a déclaré Ali Mahaman Lamine Zeine lors de la cérémonie de mise en service.

Rappelons que la construction du pipeline Niger-Bénin, destiné à l’exploitation des ressources pétrolières d’Agadem, a coûté aux deux pays, un investissement d’environ 4,5 milliards de dollars. L’installation devrait permettre au pays d’exporter sa production d’or noir qui devrait atteindre à terme 110 000 b/j, contre 20 000 b/j actuellement.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Ouganda : sale temps pour les militants et organisations qui s’opposent au pipeline est-africain !

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A l’échelle internationale, les manifestations visant à décourager les bailleurs du projet de pipeline est-africain se multiplient et trouvent parfois un écho favorable. Mais en interne, les choses semblent plus compliquées pour les organisations qui s’opposent au projet.

En Ouganda, un rapport de Human Rights Watch (HRW), publié cette semaine, indique que l’État ougandais a mis en place un vaste mécanisme de répression contre les militants et les organisations de la société civile qui protestent contre la construction de l’oléoduc EACOP.

D’après le document, les membres des organisations environnementales qui s’opposent au projet font l’objet de menaces et de détentions, tandis que les organisations non gouvernementales dans le pays font l’objet d’une surveillance accrue.

« Les défenseurs des droits de l’homme, y compris les organisations de la société civile qui défendent les communautés affectées par les projets pétroliers, font l’objet d’un harcèlement permanent, d’arrestations et de menaces en Ouganda », a-t-on lu dans le rapport.

Depuis octobre 2021, au moins 30 personnes ayant protesté ou critiqué l’oléoduc ont été arrêtées. Au total, 54 ONG, dont certaines travaillent dans le secteur pétrolier, ont été suspendues pour non-respect des réglementations en vigueur, selon HRW. Parmi les personnes détenues, on retrouve quatre étudiants qui ont participé à une manifestation devant le parlement ougandais le 15 septembre et qui ont été accusés de nuisance publique.

Questionnés par HRW, les responsables de TotalEnergies, en charge du projet, ont déclaré qu’ils ont pris des mesures pour surveiller les manifestations et ont assuré qu’ils ne toléraient pas les attaques ou les menaces à l’encontre des personnes qui défendent légalement les droits de l’homme dans le cadre de ces activités.

Prévu pour s’étendre sur une longueur de 1445 km, le pipeline acheminera le pétrole brut qui sera extrait dans le bassin de l’Albertine, vers la façade maritime du port de Tanga, en Tanzanie.

Olivier de Souza 

Source : Agence Ecofin

Les importations par l’Égypte de gaz israélien reprennent, mais en petites quantités

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L’Égypte qui est devenue autosuffisante en gaz naturel depuis 2018, est devenue un important hub de réexportation du combustible, grâce au gaz israélien qui est transformé dans ses installations.

Suspendues le 29 octobre dernier pour des raisons non divulguées, les importations égyptiennes de gaz israélien ont repris, mais avec des volumes réduits. C’est ce qu’a rapporté à la presse, un fonctionnaire du ministère égyptien du Pétrole, qui n’a cependant pas mentionné les nouveaux débits.

Pour information, le niveau moyen de gaz israélien importé par l’Égypte est de 800 millions de pieds cubes par jour. Un volume qui est transformé puis réexporté sous forme de GNL. Il faut noter que parfois, en fonction de la demande croissante en Égypte, une partie du gaz israélien est utilisé directement pour la production d’électricité.

Certaines sources proches du dossier, avaient rapporté que l’interruption des exportations pouvait être attribuée à la suspension temporaire par Israël de la production du champ gazier Tamar de Chevron le 9 octobre, deux jours après la reprise des hostilités militaires entre Israël et le Hamas palestinien. L’approvisionnement aurait selon ces mêmes sources, été redirigé vers un gazoduc qui relie l’État hébreu à la Jordanie. Ceci, pour des raisons sécuritaires.

La production de gaz de l’Égypte est tombée cette année à son plus bas niveau depuis trois ans, face à la demande croissante de gaz de la population de 105 millions d’habitants. La situation était telle que le pays a été confronté à des pénuries d’électricité, en particulier pendant l’été, les vagues de chaleur ayant entraîné une augmentation de la demande de refroidissement.

Olivier de Souza 

Source : Agence Ecofin

L’Afrique du Sud accélère ses projets de production d’électricité à partir du gaz, selon le ministre de l’Électricité

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Un rapport de la société de conseil en énergie, Wood Mackenzie, publié le 19 octobre estime que les pays africains doivent pleinement développer et exploiter leur potentiel pétrolier et gazier.

L’Afrique du Sud qui devrait reprendre sa place de 1ère économie africaine en 2024, est en train d’accélérer des projets de production d’électricité au gaz d’une puissance de 3 GW pour aider à combler son déficit énergétique, a annoncé, le 5 novembre, le ministre de l’Électricité Kgosientsho Ramokgopa (photo).

Le pays d’Afrique australe est en effet confronté à des coupures de courant quotidiennes en raison des pannes régulières des centrales à charbon vieillissantes de la compagnie nationale d’électricité Eskom. Les autorités ont déclaré que jusqu’à 6 GW de nouvelles capacités de production étaient nécessaires pour mettre fin à ces coupures.

« L’une des priorités concerne les 3 000 mégawatts de gaz. Comme vous le savez, le gaz, du point de vue des émissions, est un pas en avant par rapport au charbon, il est donc important d’accélérer ce processus », a précisé M. Ramokgopa.

Parallèlement à ces projets gaziers, l’Afrique du Sud prévoit également la mise en service de plus de 5,5 GW de projets supplémentaires dans le domaine des énergies renouvelables d’ici à 2026. Le pays compte ainsi résoudre la crise électrique qui plombe son économie tout en abandonnant progressivement le charbon.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

« La RDC sera l’avenir de la production de cuivre à faible émission de carbone », Robert Friedland (Ivanhoe)

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En RDC, Ivanhoe Mines exploite Kamoa-Kakula, un complexe destiné à devenir la 2ème plus grande mine de cuivre mondiale dans quelques années. L’actif codétenu avec Zijin et l’État congolais tire profit de l’immense potentiel hydroélectrique du pays pour son alimentation en énergie.

Selon une récente évaluation indépendante, le complexe de Kamoa-Kakula en République démocratique du Congo est la mine de cuivre la moins émettrice de carbone au monde en matière d’émissions de Scope 1 et 2. L’annonce a été faite le 2 novembre par Ivanhoe Mines, compagnie copropriétaire de la mine, qui précise qu’elle est en bonne voie pour de meilleures performances d’ici quelques années.

Les émissions de Scope 1 et 2 correspondent respectivement au bilan carbone directement généré par Kamoa-Kakula et celui généré par l’énergie achetée et consommée. Sur ce second volet, Kamoa-Kakula tire profit du potentiel naturel de la RDC, car plus de 99,5% du réseau électrique national est alimenté par hydroélectricité selon Ivanhoe, qui cite l’Administration américaine d’information sur l’énergie.

« Kamoa-Kakula est la preuve que la République démocratique du Congo sera l’avenir de la production de cuivre à faible émission de carbone, grâce à son patrimoine minéral unique à haute teneur, à son potentiel hydroélectrique exceptionnel et à ses infrastructures qui s’améliorent rapidement » a commenté Robert Friedland, coprésident exécutif d’Ivanhoe.

La société canadienne travaille par ailleurs à remettre en service d’ici fin 2024 la turbine N°5 de la centrale hydroélectrique Inga II. Elle devrait produire 178 MW d’énergie hydroélectrique propre pour le réseau de la RDC.

Pour rappel, la RDC est le 1er producteur africain de cuivre et le 3ème à l’échelle mondiale. Kamoa-Kakula est appelée à jouer un grand rôle dans sa production sur les années à venir, car son propriétaire estime que le complexe devrait devenir la 2ème plus grande mine de cuivre au monde. Cette année, elle devrait produire au moins 390 000 tonnes de concentré de cuivre.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Libye : reprise imminente des activités pétrolières de Sonatrach dans le bassin de Ghadamès

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L’éventualité d’un retour opérationnel de Sonatrach en Libye a filtré depuis plusieurs mois. Le nouveau patron de la société publique algérienne du pétrole compte accélérer le processus.

Selon des informations communiquées dans les médias locaux, mardi 31 octobre, la compagnie publique chargée des hydrocarbures en Algérie (Sonatrach) devrait bientôt faire son retour en Libye après des années d’inactivité liées aux problèmes sécuritaires du pays. Rachid Hachichi, le PDG de Sonatrach, a récemment eu un contact téléphonique avec Farhat Bengdara, le président de la National Oil Corporation (NOC) pour discuter des modalités de ce retour.

La démarche intervient après que Sonatrach a officiellement levé l’état de force majeure décrété sur ses actifs dans le pays. Une réponse aux nombreux appels des autorités libyennes invitant les compagnies pétrolières et gazières internationales à relancer leurs activités en Libye.

Le mardi 7 novembre prochain, les dirigeants de Sonatrach et de la NOC devraient se rencontrer à Tripoli, la capitale libyenne, pour formaliser la relance des obligations contractuelles de Sonatrach dans les blocs d’exploration 065 et 96/95 situés dans le bassin de Ghadamès. Des discussions sur les possibilités pour les deux entreprises de renforcer leur collaboration à moyen et long terme sont également évoquées.

Acteur de l’industrie pétrolière libyenne pendant de nombreuses années, Sonatrach avait interrompu ses activités pétrolières une première fois en 2011. Elle les relancera un an plus tard en 2012 avant de les suspendre une seconde fois en 2015.

Abdel-Latif Boureima 

Source : Agence Ecofin

Afrique du Sud : Kinetiko Energy annonce une campagne de forage de 5 puits gaziers en 2024

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Récemment, Kinetiko Energy est entrée en négociation avec la société pétrochimique Sasol en vue de conclure un accord de livraison basé sur les ressources gazières découvertes dans le bloc 272 de la province du Mpumalanga.

La compagnie Kinetiko Energy active dans l’exploration gazière en Afrique du Sud, a annoncé, mardi 31 octobre, son intention d’exécuter une campagne de forage de 5 puits dans le pays, à partir de février 2024. Ce développement fait suite à l’autorisation qu’elle a obtenue des autorités locales pour entreprendre de tels travaux. Des opérations qui devraient essentiellement couvrir la région sud du périmètre d’exploration 271 (ER271) situé dans la province de Mpumalanga.

Il s’agit d’une étape clé du plan de prospection gazière mis en œuvre par Kinetiko Energy dans cette région et la compagnie souhaite confirmer la viabilité économique de plusieurs prospects identifiés.

« Il s’agira de puits d’évaluation par nature, mais complétés pour la production. L’objectif étant d’identifier les sites de développement optimaux pour les groupes de puits de la coentreprise Industrial Development Corporation (IDC) et d’effectuer des tests d’écoulement de puits prolongés. Ces données permettront d’étayer plus précisément nos modèles économiques régionaux, car elles nous donneront une idée plus précise des taux d’écoulement et de la longévité des plateaux », a déclaré Nick de Blocq, le PDG de Kinetiko Energy.

Notons qu’il y a quelques semaines, la compagnie a sollicité les services de Infill Drill pour réaliser le forage de cinq puits d’évaluation dans la région de Volksrust, au sud de l’ER271.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin