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Togo : la production de phosphate en hausse de 5,9% et les ventes de 14% en 2022

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L’industrie togolaise du phosphate a connu une croissance substantielle en 2022 avec une production et des ventes en hausse. Cet essor, stimulé par la flambée des prix mondiaux du phosphate brut et l’ambition du pays de renforcer sa chaîne de valeur locale, coïncide avec des initiatives majeures visant à stimuler l’agriculture.

Selon les statistiques de la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest, l’industrie togolaise du phosphate a connu une croissance significative en 2022. La production a augmenté de 5,9% pour atteindre 1 541 772 tonnes, tandis que les ventes ont progressé de 14%, passant de 1 386 811 t à 1 583 180 t.

Une progression soutenue par une augmentation exceptionnelle de 116% des prix mondiaux du phosphate brut, prolongement d’une tendance haussière observée depuis fin 2020, et la récente hausse du cours du dollar. Le cours du kilo est en effet passé de 48,9 FCFA au premier trimestre 2021 à 197 FCFA à la fin de l’année, soit une moyenne de 300 USD la tonne en moyenne tout au long de l’année écoulée.

Cette hausse des prix est attribuable à l’augmentation des coûts des intrants tels que l’ammoniac et le soufre, ainsi que de l’énergie et du transport des récoltes agricoles, en raison de la guerre en Ukraine et de la relance économique mondiale après la pandémie du Covid. Le Togo n’avait plus connu un volume de ventes aussi élevé depuis 1999, et pourrait enregistrer un record en termes de valeur des ventes.

Ce dynamisme est aussi le fruit des efforts du pays pour relancer son industrie extractive, le phosphate étant l’un de ses minerais stratégiques. Figurant parmi les 15 plus grands producteurs mondiaux, il ambitionne de renforcer la chaîne de valeur locale en le transformant sur place.

Dans cette optique, un ensemble d’accords a été signé fin mai 2023 avec l’Office chérifien des phosphates (OCP), le géant marocain des engrais phosphatés, pour l’implantation d’une usine d’engrais locale. Le projet avait initialement confié en 2019 au Nigerian Dangote Industries, sans se concrétiser. La société singapourienne d’intrants NutriSource Pte Ltd devrait aussi lancer bientôt la production dans sa nouvelle usine d’engrais NPK, d’une capacité de 200 000 tonnes par an, sur la plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA).

Par ailleurs, le gouvernement togolais a conclu un important accord sur la mécanisation avec le groupe Bonkoungou. Le 5 mai 2023 à Lomé, Bonkoungou Distribution (BKG) et Bank of Africa Togo ont signé une convention de partenariat pour permettre aux agriculteurs de disposer à moindre coût de matériel agricole de dernière génération auprès de BKG, via la solution BOA-leasing.

Ces développements peuvent être perçus comme un tournant pour l’agriculture togolaise, qui est au centre des projets du gouvernement, et qui pourra bénéficier des performances de la Société Nouvelle des Phosphates du Togo.

Source : Agence Ecofin

Didier Drogba, l’ancien international ivoirien veut investir dans le secteur aurifère gabonais

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L’arrivée de Didier Drogba, tout comme de nouveaux investisseurs dans ce secteur, permettrait d’exploiter davantage cette ressource au moment où le Gabon pense à interdire l’exportation de l’or brut pour le traiter sur place.

Didier Drogba, l’ancien capitaine de l’équipe de football de la Côte d’Ivoire est intéressé par le secteur aurifère gabonais et ambitionne d’y investir, nous apprend Le Nouveau Gabon. Il l’a fait savoir au cours d’un échange avec le ministre des Mines et de la Géologie, Chen Sylvestre Mezui M’Obiang, le 5 juin à Abidjan en Côte d’Ivoire, informe le membre du gouvernement. « Nos discussions ont porté sur l’intérêt de ce dernier à investir dans le secteur or au Gabon. Occasion pour moi de promouvoir les potentialités d’investissement de l’ensemble des ressources minières dont dispose notre pays », a indiqué Chen Sylvestre Mezui M’Obiang.

En effet, le Gabon dispose d’un sous-sol riche en ressources minières telles que le manganèse, uranium, fer, or… dont plusieurs sont encore sous-exploitées, voire inexploitées. Et selon des estimations citées par la direction générale du Trésor français, les ressources nationales d’or s’élèveraient à 40 tonnes pour une production de deux tonnes par an.

À noter que l’ancien international ivoirien manifeste son intérêt pour le secteur aurifère gabonais trois jours après l’inauguration de la première usine de transformation de l’or du Gabon d’une capacité de raffinage de 7 à 10 tonnes d’or par an. Une usine qui est le fruit d’un partenariat entre la Société équatoriale des mines (SEM) et la société à capitaux londoniens et émiratis, Alpha Centauri Mining (ACM).

SG

Source : Agence Ecofin

Le Parlement centrafricain a adopté une loi sur la « tokenisation » des ressources naturelles

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La nouvelle loi permet aux investisseurs d’acquérir des actifs tels que les terrains et les concessions minières en utilisant des cryptomonnaies. Elle représente la suite logique de l’adoption du bitcoin comme monnaie légale et du lancement d’une cryptomonnaie nationale baptisée Sango coin.

En Centrafrique, l’Assemblée nationale a adopté par acclamation, lundi 29 mai, un projet de loi sur la « tokenisation » des ressources naturelles, qui permet aux investisseurs d’acquérir des actifs tels que les terrains et les concessions minières en utilisant des cryptomonnaies.

Selon le site We Are Tech Africa, l’approbation de cette loi fait suite à l’adoption, en avril 2022, du bitcoin comme monnaie légale dans le pays, et au lancement d’une cryptomonnaie nationale baptisée Sango coin, quelques mois plus tard. La nouvelle loi régissant la tokenisation des ressources naturelles « fixe le cadre de l’utilisation des monnaies virtuelles bitcoin et Sango dans le processus d’investissement, y compris par les ressortissants étrangers désireux d’investir dans les titres miniers, agraires, forestiers », précise ce texte adopté par le Parlement.

Le texte souligne également que les investisseurs qui achètent ces titres « ont le droit de transférer à l’étranger l’intégralité des bénéfices annuels qui leur reviennent après paiement des impôts, droits et autres obligations ».

« La loi vient compléter celle relative aux cryptomonnaies et faciliter, en la rendant plus fluide, la mobilisation des ressources financières au profit […] de l’Etat […] et des communautés locales », a expliqué Guy Samuel Nganatoua, président de la Commission économie et finances de l’Assemblée nationale.

Le président centrafricain, Faustin-Archange Touadéra, avait annoncé, en juillet 2022, que le Sango coin deviendrait « le catalyseur de la tokenisation des vastes ressources naturelles » du pays.

Les députés d’opposition membres de la commission mixte ont cependant boycotté la plénière consacrée à l’examen de la loi sur la tokenisation des ressources naturelles. Ils ont accusé le gouvernement « d’organiser le bradage des ressources naturelles à toute la pègre de la planète », alors que la priorité devrait être « d’améliorer les moyens de contrôle pour permettre une meilleure captation des ressources tirées de ces secteurs économiques ».

Pour rappel, la Cour constitutionnelle de la Centrafrique avait déclaré, en août 2022, « inconstitutionnel » l’achat de la citoyenneté, de la « e-résidence », de terrains et des ressources naturelles du pays au moyen de la cryptomonnaie Sango.

La présidente de cette Cour, qui a également invalidé les décrets présidentiels mettant en place un comité chargé de rédiger une nouvelle Constitution, a été cependant mise à la retraite en octobre 2022 par un arrêté du ministre de la Fonction publique.

Le Sango coin, dont le lancement a coïncidé avec l’effondrement du marché mondial des cryptomonnaies, n’a pas jusqu’ici suscité un grand engouement auprès des investisseurs. De plus, l’adoption de la finance numérique par ce pays déchiré depuis 2013 par une guerre civile a suscité de fortes appréhensions de la part de plusieurs institutions financières internationales et régionales, dont le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale et la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC).

Par ailleurs, les détracteurs du projet le jugent « irréaliste » dans un pays où le taux de pénétration d’Internet est d’environ 11 %, et le taux d’électrification se limite à 14,3 %.

Source : Agence Ecofin

Guinée : Hummingbird coule le premier lingot à la mine d’or Kouroussa

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La mine d’or Kouroussa peut livrer en moyenne 100 000 onces d’or par an sur sa durée de vie initiale de sept ans. Les travaux de construction de cet actif qui viendra accroitre la production guinéenne d’or, ont commencé en janvier 2022 et viennent de s’achever conformément au calendrier.

La Guinée dispose officiellement d’une nouvelle mine d’or. C’est l’annonce faite le 9 juin par Hummingbird Resources, après la première coulée d’or à Kouroussa. La compagnie minière britannique précise que la production commerciale sera atteinte à la mine au second semestre 2023.

« L’obtention de la première coulée d’or dans notre deuxième mine en exploitation est une étape stratégique majeure pour la société, transformant Hummingbird en un producteur d’or multiactif et multijuridictions, qui fait plus que doubler notre profil de production à plus de 200 000 onces par an », a commenté le PDG Dan Betts.

La compagnie exploite en effet une autre mine d’or en Afrique de l’Ouest, en l’occurrence Yanfolila au Mali. Si les prévisions de production d’or de Kouroussa cette année ne sont pas encore disponibles, Hummingbird s’attend à y produire en moyenne entre 120 000 et 140 000 onces d’or au cours des trois premières années d’exploitation, et une moyenne annuelle de 100 000 onces sur la durée de vie actuelle (sept ans) de la mine.

Source : Agence Ecofin

La Namibie interdit les exportations à l’état brut de minéraux critiques tels le lithium et les terres rares

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Depuis quelques années, les investissements miniers sont en hausse en Namibie, en raison des minéraux critiques que son sous-sol héberge. Comme d’autres pays africains, la Namibie veut profiter de la transition énergétique et ne se contentera pas des revenus liés à la simple extraction de minerais.

En Namibie, le gouvernement a décidé d’interdire les exportations de minerai de lithium et d’autres métaux critiques comme le graphite, le cobalt, le manganèse, n’ayant pas été transformé localement. C’est ce qui ressort du compte rendu du Conseil des ministres lu cette semaine à la télévision nationale par Emma Theofilus (photo), ministre adjointe à l’Information.

Cette décision qui n’empêchera pas l’exportation de « petites quantités » des minéraux concernés, survient alors que le pays attire de plus en plus d’investissements dans son secteur minier, à cause de ses importantes réserves de métaux stratégiques. Outre les compagnies minières comme Andrada Mining ou Namibia Critical Metals qui s’activent pour exploiter respectivement du lithium et des terres rares, le gouvernement a signé en 2022 un accord en vue d’approvisionner l’Union européenne en minéraux critiques, assurant que leur traitement se ferait au niveau local.

Si le but de cette mesure n’a pas été rendu public, il ne fait donc aucun doute qu’elle vise le développement d’une industrie locale de transformation, ce qui devrait positionner la Namibie sur d’autres points de la chaine de valeur des métaux critiques, outre la simple extraction. Soulignons enfin que l’annonce intervient dans un contexte où le gouvernement veut accroitre ses revenus miniers.

Dans une sortie fin mai, le ministre des Mines Tom Alweendo a évoqué la volonté de l’État de prendre des participations minoritaires dans les compagnies minières en Namibie. Clarifiant ces propos, le gouvernement a rappelé que « les ressources naturelles sous et au-dessus de la surface de la terre […] de la Namibie appartiennent à l’État si elles ne sont pas détenues légalement par ailleurs », et qu’il peut donc exiger des intérêts dans les licences qui seront délivrées à l’avenir, rassurant les compagnies déjà propriétaires de projets miniers dans le pays.

Notons que l’ambition du gouvernement de transformer localement les métaux critiques de son sous-sol devrait recevoir un écho favorable auprès d’au moins trois compagnies minières, en l’occurrence Namibia Critical Metals, E-Tech Resources et Ondoto Rare Earth. Toutes présentes sur des projets de terres rares dans le pays, ces trois entreprises ont annoncé le 17 mai la création d’une coentreprise destinée à évaluer la faisabilité d’une usine locale de séparation des terres rares pour fournir le marché des véhicules électriques et des turbines éoliennes en aimants permanents.

Outre cette initiative, d’autres options s’offrent à la Namibie pour accéder à la valeur ajoutée provenant de la transformation de ses minéraux. Il s’agit notamment de la coopération sous-régionale avec d’autres pays producteurs comme le Zimbabwe ou l’Afrique du Sud, à l’instar du projet initié par la RDC et la Zambie.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

La Namibie interdit l’exportation de minéraux critiques non transformés

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La Namibie a interdit l’exportation de lithium non transformé et d’autres minéraux critiques, a annoncé jeudi le gouvernement, alors qu’elle cherche à profiter de la demande mondiale croissante de métaux utilisés dans les technologies énergétiques propres.

Le pays d’Afrique australe possède d’importants gisements de lithium, vital pour le stockage des énergies renouvelables, ainsi que des minéraux de terres rares tels que le dysprosium et le terbium nécessaires aux aimants permanents des batteries des voitures électriques et des éoliennes.

Seules de petites quantités des minerais spécifiés seraient autorisées, après approbation du ministre des Mines, a-t-il précisé.

La Namibie est l’un des principaux producteurs mondiaux d’uranium et de diamants de qualité gemme, mais ses métaux de batterie suscitent un intérêt croissant alors que le monde passe des carburants polluants aux énergies renouvelables.

L’année dernière, la Namibie a signé un accord pour fournir des minéraux de terres rares à l’Union européenne dans le cadre du plan du bloc visant à réduire sa dépendance à l’égard de la Chine pour les minéraux critiques.

Parmi les entreprises ayant des projets miniers critiques en Namibie figurent Prospect Resources, Arcadia Minerals et Askari Metals, cotées en bourse en Australie. Celsius Resources et Namibia Critical Metals développent respectivement des projets de cobalt et de terres rares.

Un autre producteur africain de lithium, le Zimbabwe, a interdit les exportations de minerai de lithium en décembre dernier, n’autorisant que l’expédition de concentrés. Le Zimbabwe a déclaré qu’il souhaitait que les mineurs de lithium opérant dans le pays travaillent à la production locale de lithium de qualité batterie et pourrait imposer une taxe sur les exportations de concentré de lithium à l’avenir.

(Par Nyasha Nyaungwa; Montage par Nelson Banya et David Evans)

Source : mining.com

La réglementation américaine anti-mercure porte ses fruits – sauf au Texas et dans le Dakota du Nord

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Une nouvelle étude de la Harvard John A. Paulson School of Engineering and Applied Sciences montre que dans la décennie qui a suivi la promulgation des normes Mercury and Air Toxics Standards (MATS), la quantité de mercure rejetée dans l’atmosphère par les centrales électriques américaines – et finalement dans le sol, l’eau et le réseau trophique – ont diminué de 90 %.

L’ article , publié dans la revue Environmental Science & Technology Letters , analyse les disparités sociodémographiques dans les expositions au mercure des centrales électriques américaines et les risques résiduels subsistant pour les populations les plus exposées.
Avant la promulgation du MATS en 2011, les centrales électriques au charbon étaient la plus grande source nationale d’émissions dangereuses de mercure. En 2005, les centrales électriques au charbon représentaient 50 % de toutes les principales sources d’émissions de mercure aux États-Unis. Le règlement MATS a obligé tous les exploitants de centrales électriques à respecter le niveau supérieur des normes de performance en matière de contrôle des émissions à travers le pays. De nombreux opérateurs ont choisi d’arrêter les centrales électriques au charbon lorsque le prix du gaz naturel a chuté. Certains ont complètement changé de type de carburant pour brûler du gaz naturel, une source de carburant qui produit des émissions de mercure négligeables.

Sur les 507 centrales électriques au charbon qui fonctionnaient en 2010 avant l’entrée en vigueur des règles du MATS, 230 ont été entièrement retirées et 62 ont été partiellement retirées d’ici 2020.

“Le règlement MATS est une autre belle réussite liée aux modifications de la Clean Air Act de 1990”, a déclaré Elsie Sunderland, co-auteur de l’article, dans un communiqué de presse. “Ce règlement a effectivement éliminé la plupart des dernières sources ponctuelles d’émissions de mercure aux États-Unis, avec des avantages pour des millions de pêcheurs en eau douce et récréatifs à travers le pays.”

La réglementation américaine anti-mercure fait ses preuves - sauf au Texas et dans le Dakota du Nord
Le mercure provenant des centrales électriques au charbon a diminué de 90 % depuis l’entrée en vigueur des règles MATS de 2011. (Image par Harvard SEAS) .

Les exceptions

Malgré les progrès nationaux historiques, deux régions se distinguent comme des sources persistantes d’émissions de mercure : le Texas et le Dakota du Nord.

Les deux États abritent des centrales électriques qui brûlent du charbon de lignite extrait localement, qui est une source d’énergie de moindre qualité et moins dense que le charbon bitumineux qui alimente les centrales dans la plupart des autres régions du pays. Cela signifie que les normes de contrôle de la combustion du lignite pour le mercure en 2012 étaient moins strictes que celles élaborées pour la plupart des centrales électriques américaines et que les émissions de mercure sont restées plus élevées que dans d’autres domaines après la mise en œuvre de la règle MATS.

L’EPA est tenue d’évaluer périodiquement si les progrès de la technologie disponible justifient des mises à jour de ses normes. L’agence a maintenant proposé des changements au MATS qui obligeraient les exploitants de centrales électriques au lignite à adopter des technologies qui réduiraient considérablement leurs émissions toxiques. Ces normes plus strictes proposées sont ouvertes aux commentaires du public jusqu’au 23 juin 2023.

«Nos travaux récents suggèrent que le renforcement de la règle MATS, tel que proposé par l’administration Biden, éliminerait les deux derniers points chauds de dépôt de mercure aux États-Unis attribuables aux centrales électriques au charbon. Il s’agit d’un changement important qui profitera aux communautés vulnérables et aux groupes autochtones », a déclaré Sunderland.

L’équipe de Harvard a également cherché à savoir si les caractéristiques sociodémographiques des personnes vivant à proximité des centrales électriques qui ont continué à fonctionner en 2020 différaient de celles vivant à proximité des installations qui avaient pris leur retraite depuis 2010. Ils ont constaté que ceux qui continuent d’être exposés à des niveaux dangereux de mercure provenant de l’électricité les émissions des usines ont tendance à être pauvres, moins éduquées et provenant de ménages peu anglophones.

“Ce travail renforce le manque de justice distributive dans l’emplacement des sources de pollution et des expositions aux États-Unis, avec des effets sur la santé des individus et des communautés les plus vulnérables”, a déclaré Mona Dai, premier auteur de l’article.

Source : mining.com

Hummingbird Resources déverse son premier or à la mine de Kouroussa en Guinée

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Hummingbird Resources (AIM : HUM)  a annoncé vendredi avoir coulé le premier or à la mine de Kouroussa en Guinée le 8 juin, en avance sur le calendrier et dans les limites du budget.

La mise en service de la mine a commencé début mai 2023. À l’époque, la société avait déclaré qu’elle s’attendait à la première production d’or d’ici la fin juin. 

“[This] est une étape stratégique majeure pour la société, transformant Hummingbird en un producteur d’or multi-actifs et multi-juridictions, qui fait plus que doubler notre profil de production à 200 000 onces par an”, a déclaré le directeur général Dan Betts dans le communiqué. .

Kouroussa devrait produire en moyenne entre 120 000 et 140 000 onces d’or par an pendant les trois premières années de production commerciale. Après cela, la mine produira en moyenne 100 000 onces d’or par an sur une durée de vie initiale de sept ans. 

La première mine en production de Hummingbird était Yanfolila, au Mali, qui a coulé son premier or en 2017. 

La société a acquis le projet Kouroussa, qui comprend deux gisements clés ainsi que plusieurs cibles d’exploration. de Cassidy Gold en septembre 2020. 

Source : mining.com

Les États-Unis et le Royaume-Uni discutent de la nécessité de renforcer les chaînes d’approvisionnement essentielles en minerais

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Le président américain Joe Biden a rencontré jeudi le Premier ministre britannique Rishi Sunak à la Maison Blanche et a déclaré que les deux dirigeants avaient discuté de la nécessité de renforcer les chaînes d’approvisionnement essentielles en minerais.

Biden a déclaré qu’un “élément clé” de la protection des technologies qui sont essentielles aux intérêts de sécurité nationale des deux pays consiste à renforcer ces chaînes d’approvisionnement.

(Par Trevor Hunnicutt et Nandita Bose; Montage par Chris Reese)

Source : mining.com

Lykos Metals découvre de nouveaux gisements d’or sur un projet en Bosnie

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Lykos Balkan Metals, qui fait partie de l’explorateur australien de métaux de batterie Lykos Metals Ltd, a déclaré jeudi avoir découvert de nouveaux gisements d’or importants sur son projet Sinjakovo dans le nord-ouest de la Bosnie, où des quantités d’or ont déjà été découvertes.

“La poursuite de l’exploration géologique … a confirmé l’existence de nouvelles formations géologiques aurifères, cette fois à l’emplacement de Zekilova Kosa”, a déclaré la société dans un communiqué.

L’exploration a été effectuée dans une zone de 1,2 kilomètre carré, mais elle s’étendrait plus au nord-ouest, où des résultats encore meilleurs sont attendus, selon le communiqué.

En février, Lykos Metals a déclaré avoir trouvé d’importantes quantités d’or sur le site d’Otomalj de son projet Sinjakovo, avec une concentration d’or à certains endroits atteignant même 27,5 grammes/tonne sur une ligne continue de 60 mètres.

Il avait annoncé qu’il allouerait une grande partie de son investissement de 60 millions de marks bosniaques (32,8 millions de dollars) en Bosnie cette année à de nouvelles explorations.

Lykos Balkan Metals a obtenu un permis d’exploration géologique sur le site de la municipalité de Jezero par le ministère de l’Industrie de la République serbe, l’une des deux régions autonomes de Bosnie, mais l’assemblée et les citoyens de Jezero s’étaient opposés à la recherche, craignant des dommages environnementaux.

“Notre société a mené une exploration géologique en consultant toutes les parties prenantes clés, à savoir les représentants des communautés locales et les experts en géologie, en se concentrant sur des pratiques extrêmement importantes de protection de l’environnement”, a déclaré Mladen Lujić, directeur exécutif de la société, dans le communiqué.

(1 $ = 1,825 mark bosniaque)

(Par Daria Sito-Sucic; Montage par David Evans)

Source : mining.com