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SOMISEN

Mali : revenus et production en hausse au premier semestre 2023 pour le propriétaire de la mine d’or Syama

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L’australien Resolute Mining est propriétaire des mines d’or Syama au Mali et Mako au Sénégal. Elle a produit 170 903 onces sur les deux actifs au premier semestre 2022 et généré 317,7 millions de dollars.

La compagnie minière australienne Resolute Mining a enregistré des revenus de 329,5 millions de dollars au premier semestre 2023, en hausse de 3,7 % en glissement annuel. Cette performance s’accompagne d’une production d’or qui a également augmenté de 3 % pour atteindre 176 629 onces, précise un communiqué publié le 23 août par le propriétaire des mines d’or Syama au Mali et Mako au Sénégal.

Au Mali, la production d’or au premier semestre 2023 a atteint 112 787 onces à Syama, contre 103 679 onces pour la même période l’année dernière. Dans le même temps, la mine d’or sénégalaise Mako a enregistré une baisse de 5 % en glissement annuel de la production, qui a atteint 63 843 onces. Cette baisse au Sénégal n’a cependant pas remis en cause les objectifs de Resolute qui vise toujours une production d’or de 350 000 onces en 2023.

Source : Agence Ecofin

Zambie : Vedanta prêt à régler 250 millions de dollars dus par Konkola pour récupérer ses actifs de cuivre

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La Zambie a saisi les actifs de Vedanta en 2019, accusant la compagnie de ne pas tenir ses promesses. Alors que la production nationale de cuivre baissera pour la troisième année consécutive en 2023, des investissements sont plus que jamais nécessaires dans le pays, notamment à Konkola.

Le géant minier anglo-indien Vedanta Resources est prêt à régler une dette de 250 millions de dollars due par son ancienne filiale Konkola Copper Mines à des fournisseurs en Zambie. C’est ce qu’a indiqué le milliardaire indien Anil Agarwal, dans une interview à Bloomberg.

Il s’agit d’un énième appel du pied de l’homme d’affaires, à qui appartient Vedanta, au gouvernement zambien. Lusaka a en effet repris à Vedanta les actifs de cuivre de Konkola Copper Mines en 2019, accusant la compagnie de ne pas tenir ses promesses d’investissements et de payer peu d’impôts. Depuis, Vedanta tente de négocier un retour dans le pays et a notamment promis investir 1 milliard de dollars pour doubler la production à Konkola.

Actuellement, les actifs de Konkola, puits miniers, fonderie et raffinerie, permettent de produire seulement 50 000 tonnes de cuivre. Le gouvernement dirigé par le président Hakainde Hichilema élu en 2021, s’est engagé à porter la production de cuivre jusqu’à 3 millions de tonnes d’ici la fin de la décennie. Pour cela, il doit notamment trouver le moyen d’augmenter les investissements miniers, à Konkola, mais aussi au niveau des actifs de Mopani rachetés à Glencore.

En attendant, la production de cuivre devrait enregistrer cette année une troisième baisse consécutive et atteindre, à 682 431 tonnes, son plus bas niveau depuis 14 ans.

Source : Agence Ecofin

Mali : le nouveau code minier n’affectera pas les mines d’or déjà existantes (compagnies)

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Le Parlement du Mali a adopté le 8 août dernier un nouveau code minier. Il permet notamment à l’État d’augmenter sa participation dans les mines d’or du pays, et de générer des revenus annuels supplémentaires de 500 milliards de francs CFA pour les caisses publiques.

L’optimisme est de mise chez les compagnies minières exploitant l’or au Mali, après l’adoption d’un code minier début août. Alors que la nouvelle réglementation introduit une part plus importante pour l’État dans les projets miniers, les canadiens B2Gold et Barrick estiment que le statu quo devrait être maintenu pour leurs mines d’or dans le pays

« Un projet minier existant comme la mine Fekola, dont la convention est conforme aux règles minières en vigueur au moment où la convention a été conclue, ne devrait pas être affecté par le nouveau code minier », a estimé B2Gold auprès de Reuters.

Un porte-parole du deuxième producteur mondial d’or, Barrick Gold, a par ailleurs affirmé à l’agence de presse britannique que les discussions avec les gouvernements successifs au Mali sont « constructives » et qu’un moyen mutuellement acceptable pour les deux parties sera trouvé afin de permettre à la compagnie de poursuivre ses activités. Pour rappel, Barrick exploite le complexe Loulo-Gounkoto qui constitue, avec 684 000 onces livrées en 2022, la plus grande mine d’or du Mali.

Parmi les compagnies étrangères présentes dans le pays, on retrouve l’australien Resolute Mining, Allied Gold Corp ou encore le britannique Hummingbird Resources. Pour le moment, les implications effectives du nouveau code minier pour ces différentes entreprises ne sont pas vraiment connues. Il faudra au moins attendre la promulgation de la loi, une fois signée par le président Assimi Goita, et l’adoption de ses décrets d’application pour mieux cerner l’étendue des nouvelles règles.

Un impact sur les nouveaux projets ?

Avec plus de 72 tonnes d’or produites en 2022, le Mali est le deuxième producteur ouest-africain d’or et le troisième à l’échelle continentale. Avec d’importantes réserves inexploitées et de multiples projets plus ou moins avancés, les récentes prévisions tablent sur une hausse de la production d’or dans les années à venir. Le changement de code minier, qui fait potentiellement passer la part des nationaux et des investisseurs locaux à 35 %, contre 20 % actuellement, pourrait néanmoins contrarier les ambitions du pays.

La nouvelle législation devrait en effet rendre les compagnies minières plus prudentes à propos de nouveaux investissements dans le pays. Un porte-parole de Hummingbird a notamment indiqué qu’il faudra « en tenir compte dans toute décision d’investissement future pour des projets potentiels relevant de la compétence de cette nouvelle loi minière ».

« Il y a un risque que la nouvelle loi minière ne soit que la pointe de l’iceberg […]. Elle découragera probablement les opérateurs existants de développer de nouveaux projets et les mineurs étrangers d’investir au Mali », estime Mucahid Durmaz, analyste principal pour l’Afrique chez Verisk Maplecroft.

En Zambie par exemple, l’adoption d’un nouveau régime fiscal en 2018 a sérieusement affecté le climat des affaires, motivant notamment le premier producteur de cuivre du pays (First Quantum Minerals) à bloquer pendant plusieurs années un investissement de plus d’un milliard de dollars.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Sénégal : le FPSO du projet pétrolier de Sangomar achevé à 90 %

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Récemment, Africa Finance Corporation a indiqué qu’elle injectera 54,4 millions $ dans le projet pétrolier de Sangomar dont les travaux de développement semblent évoluer à grands pas vers la finalisation.

La construction de l’unité flottante de production, de stockage et de déchargement (FPSO) relative au projet pétrolier sénégalais de Sangomar est presque achevée. D’après des informations communiquées mardi 22 août par le ministère sénégalais du Pétrole et de l’Énergie, les activités de construction de l’infrastructure sont exécutées à 90 %.

D’ici février 2024, l’ouvrage, dont la réalisation est assurée à Singapour par le constructeur naval japonais MODEC, devrait atteindre les côtes maritimes du Sénégal. Une étape clé pour la mise en production du gisement pétrolier annoncée pour juin 2024.

En juillet dernier, l’opérateur du projet Woodside Energy a signalé des travaux supplémentaires à effectuer sur l’installation. La situation a accru de 7 à 13 %, le budget initialement prévu pour le projet qui est ainsi passé à une fourchette entre 4,9 et 5,2 milliards $.

D’après Meg O’Neill, PDG de Woodside Energy, l’exécution de ces opérations devrait limiter l’impact sur le calendrier de livraison de l’installation. Un choix opérationnel qui garantit « le démarrage de la production conformément au calendrier ajusté et à la montée en puissance des opérations comme prévue ».

À terme, les parties prenantes ciblent une production de 100 000 barils par jour, une fois le FPSO bouclé et mis en service. De façon globale, le projet Sangomar affiche un taux d’exécution de 88 %.

Abdel-Latif Boureima 

Source : Agence Ecofin

Égypte : IPR Energy découvre du brut dans la zone d’intérêt d’Alamein/Yidma

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En mai dernier, IPR Energy Group avait déjà réalisé un succès opérationnel dans le désert occidental, grâce à la découverte d’une réserve pétrolière dans la concession North Beni Suef.

La compagnie pétrolière IPR Energy Group a annoncé, lundi 21 août, la découverte d’un gisement de pétrole brut dans la zone d’intérêt d’Alamein/Yidma. Il s’agit d’un périmètre de production, situé en Égypte, dans le désert occidental.

Cette réalisation est consécutive à une campagne de forage menée via le puits de développement Alamein 48-K qui a permis d’entrecouper une poche de 27 pieds, dans la formation géologique inférieure de Kharita, à 8 960 pieds de profondeur.

D’après les résultats des tests de débit, le puits affiche un taux de production journalier moyen de 3 300 barils de pétrole. Le plan d’IPR, c’est de mettre Alamein 48-K immédiatement en service en se basant les installations de production déjà opérationnelles sur le périmètre. Selon Mahmoud K. Dabbous, PDG d’IPR, cette découverte « a révélé un potentiel substantiel dans la formation géologique inférieure de Kharita ».

IPR détient 100 % des droits d’exploitation de la zone d’intérêt d’Alamein/Yidma qui, selon les données de l’entreprise, livre actuellement une production de plus de 6 500 b/j répartie sur huit concessions.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

Ouganda : Africa Finance Corporation compte investir 95,25 millions $ pour améliorer la logistique pétrolière

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Africa Finance Corporation (AFC) soutient activement le développement des activités énergétiques en Afrique en matière d’infrastructures. Récemment, l’institution financière a annoncé son intention d’injecter des fonds dans le projet pétrolier sénégalais Sangomar.

Africa Finance Corporation a annoncé mercredi 23 août qu’elle fournira à l’Ouganda 95,25 millions $ pour aider le pays, à renforcer son dispositif logistique dans le secteur pétrolier. Concrètement, cet investissement devrait directement bénéficier à Mahathi Infra Uganda, une société locale dont le champ d’expertise couvre l’ingénierie en matière d’infrastructures pétrolières et maritimes.

Selon les précisions de l’AFC, l’investissement octroyé à cette entreprise servirait essentiellement à l’installation de deux barges autopropulsées. Des ouvrages typiquement conçus pour l’exécution d’opérations sur le lac Victoria.

Le financement va également être utilisé pour mettre en place 14 réservoirs de stockage de pétrole et 20 quais de chargement de camions. Il intègre par ailleurs l’aménagement d’une jetée et la construction d’un parking pouvant accueillir 50 camions.

« Grâce à cet investissement, nous modifions le paysage du transport pétrolier en Ouganda. En adoptant une solution à faible taux d’émission, nous réduisons les coûts de manière significative, atténuons l’encombrement des routes et améliorons la mobilité et l’accessibilité. Ces facteurs conduisent collectivement à une croissance économique durable et à une productivité accrue », a déclaré Samaila Zubairu (photo), le PDG de l’AFC.

Il y a quelques jours, l’institution financière a indiqué qu’elle fournirait 54,4 millions $ pour soutenir les travaux de développement de champ pétrolier sénégalais Sangomar qui affiche actuellement un taux d’exécution global de 88 %.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

L’engouement pour le lithium entraîne des gains boursiers de 1 100 % ainsi que de lourdes pertes

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Les investisseurs qui ont acheté des actions australiennes de lithium au début de l’année auraient pu doubler leur argent ou en perdre plus de la moitié, reflétant l’extrême volatilité des sociétés qui exploitent l’une des matières premières les plus prisées au monde.

L’extraction du lithium est dominée par des petites et moyennes entreprises en Australie, premier producteur mondial de l’ingrédient essentiel des batteries de véhicules électriques. Des sociétés jusqu’alors inconnues ont grimpé en valeur après avoir découvert d’importants gisements de spodumène contenant du lithium, principalement en Australie occidentale, tandis que d’autres ont bafouillé en raison de l’incertitude. Les actions du secteur offrent certains des rendements les plus volatils de l’indice de référence S&P/ASX 200, selon les données compilées par Bloomberg .

Les actions de lithium sont « le côté du jeu, elles ont tendance à attirer l’argent chaud et les paris de détail », a déclaré Matthew Haupt, gestionnaire de portefeuille chez Wilson Asset Management à Sydney. Il possède des actions dans Pilbara Minerals Ltd., qui est passée il y a trois ans d’une petite société minière de 500 millions de dollars australiens (321 millions de dollars) à un géant de 15 milliards de dollars australiens produisant 8 % du lithium mondial. Le titre a augmenté de 32 % en 2023. Il possède également Allkem Ltd., en hausse de 25 %.

Des gains dépassant 1 100 %

La demande de lithium a augmenté ces dernières années alors que les constructeurs automobiles, motivés par les politiques climatiques, tentent de se réinventer en tant que fabricants de véhicules électriques. Cela a mis en lumière des actions telles que les sociétés minières de lithium qui font partie de la chaîne d’approvisionnement.

Azure Minerals Ltd. fait partie des étoiles émergentes du lithium en Australie, avec une hausse de plus de 1 100 % cette année. Plus tôt ce mois-ci, il a rejeté une offre publique d’achat du producteur chilien de lithium SQM et a dépassé son prix d’offre de 2,31 dollars australiens. Patriot Battery Metals Inc., qui développe un important gisement de lithium au Canada, a bondi de 81 %.

En Corée du Sud, il existe une frénésie similaire pour les actions perçues comme liées au métal. Hydro Lithium Inc. a grimpé de plus de 1 500 % en 2022 après que la société de génie civil peu connue a changé son nom de Korea SE Corp. et a créé des plans pour les activités liées aux batteries de véhicules électriques. L’entreprise chimique Kum Yang Co. a bondi de plus de 400 % cette année sur sa liaison avec une mine de lithium mongole.

Les actions australiennes de lithium ont tendance à monter en flèche lorsque les entreprises annoncent une découverte, souvent sans se soucier de sa taille, de son accessibilité ou de sa qualité, a déclaré Carrick Ryan, gestionnaire de portefeuille chez Westbeck Capital Management, l’un des premiers investisseurs dans Pilbara Minerals et Patriot Battery Metals.

“Dans un marché comme celui que nous connaissons aujourd’hui, où il fait chaud pour les explorateurs du lithium, si le titre augmente beaucoup suite à une découverte minime, vous devez être prudent”, a-t-il déclaré.

Mais les investisseurs deviennent plus sélectifs. En ce qui concerne les producteurs, les négociants veulent avoir la preuve qu’un gisement peut être transformé en une mine productive, a déclaré Ryan.

“Même si la confiance dans l’avenir du lithium reste solide, une stratégie de filtrage judicieuse entre en jeu”, a déclaré Hebe Chen, analyste chez IG Markets Ltd. “Les défis posés par les prix du lithium incitent les investisseurs à chercher refuge auprès de noms bien établis. avec des flux de trésorerie et des perspectives solides.

Les prix au comptant du carbonate de lithium – une forme raffinée du métal – ont connu une croissance folle. Ils ont atteint un record en novembre alors que la poussée mondiale vers une flotte de transport électrifiée a stimulé la consommation, avant de plonger cette année à mesure que les pressions sur l’offre se sont atténuées.

Certains cherchent ailleurs pour profiter du boom des véhicules électriques. Parmi tous les métaux essentiels à la transition énergétique propre, le cuivre offre le plus grand potentiel dans un contexte de pénurie imminente, a déclaré Ryan de Westbeck Capital Management.

« Si vous pouviez faire une excellente découverte de cuivre dans une bonne juridiction, ce serait la situation idéale », a-t-il ajouté.

(Par Georgina McKay et James Fernyhough, avec l’aide de Youkyung Lee)

Source : mining.com

Les exportations d’or suisses en baisse en juillet en raison de la baisse des expéditions vers la Chine et l’Inde

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Les exportations suisses d’or ont chuté de 2% en juillet par rapport à juin, la baisse des livraisons vers la Chine et l’Inde n’ayant pas réussi à compenser la forte croissance des approvisionnements vers la Turquie, selon les données des douanes suisses publiées mardi.

La Suisse est la plus grande plaque tournante mondiale de raffinage et de transit de lingots, tandis que la Chine et l’Inde sont les plus grands marchés de consommation, avec une demande locale sensible aux prix élevés et aux périodes de la saison.

Les prix de l’or ont baissé de 3 % jusqu’à présent en août, et les bijoutiers locaux ont commencé à faire des achats pour la prochaine saison des festivals, selon les négociants en lingots locaux.

Les expéditions vers la Turquie, où la demande a été forte dans un contexte d’inflation élevée, ont plus que doublé en juillet et ont atteint leur plus haut niveau depuis février 2023.

(Par Polina Devitt ; édité par David Evans)

Source : mining.com

Kinetiko et l’IDC s’associent pour développer le plus grand projet onshore de GNL en Afrique du Sud

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Dans le cadre de ses efforts visant à opérer une transition énergétique efficace, le gouvernement d’Afrique du Sud soutient toutes les initiatives visant à réduire la dépendance du pays au charbon. Le méthane de houille et le gaz naturel occupent une place de choix dans ce plan.

Afro Energy, une filiale de Kinetiko Energy a conclu un accord préliminaire avec l’Industrial Development Corporation of South Africa (IDC) pour établir une nouvelle coentreprise engagée dans le secteur de l’énergie en Afrique du Sud. Celle-ci vise à évaluer et à produire du GNL, fournissant de quoi produire 50 MW d’électricité.

Une capacité qui pourra être portée à 500 MW au cours des futurs développements du projet. S’il se concrétise, ce projet ambitieux sera le plus grand projet de GNL onshore d’Afrique du Sud.

La première phase devrait nécessiter un investissement d’environ 138 millions de dollars australiens. Conformément à l’accord signé entre les deux parties, la structure de financement comprendra 90 millions de dollars australiens de capitaux propres et 48 millions de dollars australiens de dettes.

Dans le cadre de cet accord, l’IDC contribuera à hauteur d’environ 52 millions de dollars australiens en fonds propres, s’assurant ainsi une participation de 30 % dans la coentreprise. Afro Energy, pour sa part, aura droit aux 70 % restants.

La filiale de Kinetiko Energy conserve également la possibilité d’introduire de nouveaux investisseurs dans la coentreprise, via des accords d’amodiation ou autres. Ceci, potentiellement pour une partie ou la totalité de sa participation de 70 %, avec la possibilité d’échelonner les paiements.

Ce contrat préliminaire survient dans le cadre de l’amélioration des ressources de gaz de Kinetiko. En effet, un rapport indépendant sur les réserves et les ressources de gaz a permis d’augmenter de 20 % les ressources contingentes 2C de Kinetiko, à 3Tcf sur les droits de prospection accordés à la société.

Rappelons que Kinetiko Energy et l’IDC sont également partenaires sur des projets de développement de méthane de houille en Afrique du Sud.

Olivier de Souza

Source : Agence Ecofin

Namibie : Global Petroleum obtient une rallonge de la licence couvrant le PEL 94 situé en mer

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La licence couvrant le périmètre offshore PEL 94 avait initialement été attribuée en septembre 2018, à Global Petroleum Namibia Limited, la filiale de Global Petroleum Limited.

La compagnie pétrogazière Global Petroleum a fourni, lundi 14 août, une mise à jour concernant la licence PEL 94 qu’elle détient en Namibie. Le pays a prolongé, pour deux ans supplémentaires, ses droits d’exploration sur ce périmètre localisé en mer, dans le bloc 2011A du bassin de Walvis.

Le feu vert des autorités namibiennes intervient dans un contexte d’expiration de la licence initialement attribuée pour une période de 5 ans. La présente rallonge du permis engage Global Petroleum à réaliser une campagne d’acquisition de données sismiques 3D.

Cette dernière qui avait été reportée lors de la période d’exploration initiale, devrait s’étendre sur 2 000 km et impliquer, outre les activités d’acquisition de données, des travaux de traitement et d’interprétation des informations obtenues.

La compagnie s’est également entendue avec le ministère namibien des Mines et de l’Énergie pour engager des travaux de forage d’un puits sur le périmètre. Ceci, conformément aux résultats des opérations sismiques. L’opération pourrait permettre de mettre la main sur des volumes d’hydrocarbures exploitables sur le site.

Récemment, la société révélait que Marula et Welwitschia Deep, deux des prospects du PEL 94, hébergeaient respectivement 411 millions de barils et 881 millions de barils de ressources pétrolières prospectives, selon ses estimations. Notons que Global Petroleum détient une participation de 78 % dans le PEL 94 aux côtés de la Namcor (17 %) et d’Aloe Investments Two Hundred and Two (5 %).

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin