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SOMISEN

Matam : plaidoyer pour l’arrimage des dépenses sociales des entreprises locales aux Plan locaux de développement

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Matam, 9 mars (APS) – L’adjoint au gouverneur de Matam en charge des affaires administratives, Modou Thiam, a plaidé mardi pour l’arrimage des dépenses sociales des entreprises minières installées dans la région aux Plans locaux de développement (PLD), pour mieux prendre en compte les préoccupations des populations surtout pour ce qui concerne l’autonomisation des femmes et l’entreprenariat des jeunes’’.

‘’Sur les dépenses sociales, les entreprises font beaucoup d’efforts. Mais, il ne serait pas mal de les arrimer aux Plans locaux de développement (PLD). Cela pourrait permettre de mieux prendre en charge les préoccupations des populations surtout en ce qui concerne l’autonomisation des femmes et l’entreprenariat des jeunes’’, a-t-il dit.

Thiam prenait part à un atelier de partage des rapports de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) de 2021 et du semestre 2022.

Sur la transformation du phosphate en engrais, il a soutenu que Matam est une région à forte potentialité agricole, ajoutant que ‘’la transformation pourrait booster l’agriculture, créer une industrie locale et de participer à la création d’emplois’’.

‘’C’est une question d’intérêt national, car tous les agriculteurs du pays en ont besoin, mais c’est un sujet purement technique. En tant qu’entreprise évoluant dans la région, nous avons évoqué les conditions qui devraient permettre une transformation du phosphate en engrais’’, a déclaré de son côté Ibrahima Sarr, directeur général de la Société minière de la Vallée (SOMIVA).

Sarr souligne que pour la réalisation de ce type de projet, il faudra que toutes les parties apportent leur contribution, à savoir l’Etat et les collectivités, précisant qu’une ‘’entreprise ne peut prendre toute seule une décision sur un sujet qui concerne la politique industrielle’’.

Il a rappelé qu’au lancement de la SOMIVA, il y avait une étude qui avait mis l’accent sur les conditions de faisabilité de ce projet.

‘’Cette étude s’était intéressée sur la taille du dépôt, le type de phosphate qui existe dans la zone, la taille du marché, l’énergie disponible et la variabilité des prix. Ce qui faisait qu’en terme de choix d’investissement, il fallait des solutions adaptées’’, a dit Ibrahima Sarr.

A noter que la région de Matam abrite des sites d’exploitation du phosphate comme à Ndendory, dans le département de Kanel.

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Côte d’Ivoire : accord avec Masdar pour explorer le développement d’une centrale solaire d’une capacité maximale de 70 MW

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Affichant l’un des taux d’électrification les plus élevés d’Afrique subsaharienne, le défi énergétique actuel de la Côte d’Ivoire, plus que l’accès à l’électricité, c’est d’augmenter la part du renouvelable dans son mix.  

L’émiratie Masdar, l’une des principales entreprises d’énergie propre au monde, a signé le vendredi 10 mars un accord avec le gouvernement ivoirien pour explorer le développement d’une centrale solaire d’une capacité maximale de 70 MW.

L’accord rentre dans le cadre de l’initiative Etihad 7 dirigée par les Émirats arabes unis, qui vise à mobiliser des fonds publics et privés pour investir dans le développement du secteur des énergies renouvelables en Afrique. Jusqu’à 20 GW de capacités devraient être installés pour fournir de l’électricité propre à 100 millions de personnes sur le continent d’ici 2035 dans le cadre de l’initiative.

« Dans le cadre de la nouvelle structure d’actionnariat de Masdar lancée en décembre, nous avons pour objectif de fournir 100 GW d’énergie propre dans le monde d’ici 2030. Compte tenu du développement et de la croissance prévus en Afrique et des faibles niveaux actuels de pénétration des énergies propres, nous voyons un énorme potentiel pour le secteur des énergies renouvelables sur le continent. », a déclaré Mohamed Jameel Al Ramahi, directeur général de Masdar.

En 2021, la Côte d’Ivoire disposait d’une capacité installée de 2 269 MW, dont environ 61 % générés par des centrales thermiques et les 39 % restants générés par des barrages hydroélectriques.

« La Côte d’Ivoire s’est engagée, dans le cadre des accords sur le changement climatique, à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 32 % et à porter la part des énergies renouvelables dans son bouquet énergétique à 45 % d’ici à 2030. L’accord-cadre que nous venons de signer avec Masdar, accompagné d’un premier projet de 50 à 70 MW, contribuera, en complément des autres initiatives que le gouvernement ivoirien entreprend, à la réalisation de cet objectif ambitieux. », a réagi Mamadou Sangafowa Coulibaly, ministre ivoirien des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

Niger : le Fonds OPEP débloque 25 millions $ pour soutenir le développement de l’énergie solaire

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En Afrique, le Fonds OPEP accompagne de plus en plus le développement des projets d’énergies renouvelables, malgré le fait qu’il maintient toujours ses financements en faveur des énergies fossiles.

Le Fonds OPEP pour le développement international a annoncé le mercredi 8 mars avoir accordé un prêt de 25 millions $ en appui au Projet de développement des centrales solaires et d’amélioration de l’accès à l’électricité au Niger (RANAA).

Le Fonds s’associe ainsi à la Banque africaine de développement, à Power Africa, au Fonds vert pour le climat et au gouvernement du Niger pour un financement total du projet qui s’élève à 167 millions $.

Le projet RANAA a été initié dans le cadre de l’exécution du Plan directeur d’Accès à l’Électricité (PDAE), par le gouvernement du Niger et la Banque Africaine de Développement.

Il vise à développer les infrastructures électriques nigériennes afin d’améliorer l’accès à l’électricité des populations. Le projet comprend plusieurs sous-projets, dont celui d’une centrale solaire de 10 MWc à Dosso. Le prêt du Fonds OPEP financera particulièrement la construction et l’intégration au réseau de cette centrale.

« Notre soutien aidera le Niger à accroître l’accès à une énergie abordable et propre et à améliorer la capacité globale du réseau électrique, ce qui fera une réelle différence dans la vie des gens. Le Fonds OPEP s’est engagé à relever le double défi de l’accès à l’énergie et de l’action climatique et à veiller à ce que personne ne soit laissé pour compte. », a déclaré le directeur général du Fond OPEP, Dr Abdulhamid Alkhalifa.

Au Niger, 20 % environ de la population a accès à l’électricité, ce qui représente l’un des taux les plus faibles en Afrique subsaharienne avec des disparités importantes entre les zones urbaines et rurales et entre les régions.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

Tanzanie : vers l’officialisation d’une entente entre Shell et Equinor pour l’exploitation du gaz de Lindi

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Fin novembre 2022, le ministre tanzanien de l’Énergie, January Makamba, avait annoncé, pour décembre, la finalisation des pourparlers relatifs à la monétisation des ressources gazières de Lindi.

Les compagnies pétrolières Shell et Equinor sont finalement tombées d’accord avec Dodoma concernant les conditions d’exploitation des ressources gazières de Lindi, dans le sud tanzanien. Dans un tweet posté mardi 7 mars, January Makamba, le ministre de l’Énergie de la Tanzanie, a annoncé la fin des négociations engagées à cet effet, depuis quelques mois.

L’entente entre les parties prenantes devrait être officialisée dans les prochains jours. Le ministre a indiqué que deux contrats sont en cours de rédaction. Le premier serait en lien avec l’accord de gouvernement hôte (HGA) avec Shell et Equinor signé en juin 2022.

On se souvient que certains des blocages des pourparlers concernaient notamment le partage des bénéfices et les conditions fiscales du projet basé sur le HGA. Un ensemble de mesures juridiques avaient été annoncées pour lever ces goulots d’étranglement.

Quant au second contrat, il devrait établir l’accord des partenaires pour l’exploitation des blocs gaziers 1, 2 et 4 à partir desquels du gaz naturel liquéfié (GNL) sera produit. Selon les prévisions, 30 à 40 milliards de dollars seront investis pour atteindre cet objectif, d’ici 2030.

Cet investissement sera pour l’essentiel consacré à la construction d’une installation de liquéfaction de gaz naturel. Des travaux qui à terme devraient favoriser une production d’environ 7,5 millions de tonnes métriques de GNL par an.

Abdel-Latif Boureima

Source : Agence Ecofin

L’Égypte discute d’énergie et d’investissement avec des partenaires asiatiques

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En Égypte, malgré l’inflation galopante et les difficultés économiques, les investissements dans les secteurs des hydrocarbures et de l’énergie restent très importants.

Le président égyptien Abdel Fattah El-Sisi, accompagné de son Premier ministre et d’autres membres du gouvernement, a rencontré le 11 mars le président du China International Energy Group et la délégation de cadres supérieurs du groupe qui l’accompagnait.

Selon le porte-parole de la présidence, le président El-Sisi a affirmé la volonté de l’Égypte de consolider la coopération en matière d’économie et d’investissement avec la Chine et les entreprises chinoises dans divers domaines d’intérêt commun.

Le patron du groupe chinois a affirmé de son côté que, dans le cadre de l’amitié entre les deux pays, le groupe augmentera ses investissements et continuera son expansion en Égypte dans la période à venir. Il a expliqué que le groupe avait l’intention de mettre en place un vaste projet de production d’hydrogène vert, avec des investissements allant de 5 à 8 milliards $, compte tenu du grand potentiel du pays à cet égard.

L’Égypte cherche en effet à devenir un centre régional pour les énergies renouvelables, dans le cadre de sa stratégie de développement durable à l’horizon 2030, en particulier dans le domaine de l’hydrogène vert. Pour se faire, le pays a besoin d’attirer des investissement privés et publics étrangers.

Abdoullah Diop

Source : Agence Ecofin

Nigeria : la production pétrolière continue sur sa lancée

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Depuis septembre 2022, la production de brut du Nigeria qui avait été régulièrement inconstante tout au long de l’année passée, n’a plus baissé.

La production d’or noir au Nigeria a enchainé un nouveau mois de hausse après janvier. C’est ce que révèlent les chiffres publiés, vendredi 10 mars, par la Nigerian Upstream Petroleum Regulatory Commission (NUPRC).

D’après son rapport mensuel sur les performances du secteur pétrolier, la production de brut du Nigeria a atteint un plateau de 1,3 million b/j au terme du mois de février, contre 1,25 million b/j en janvier. Un volume qui aurait rapporté à l’État environ 51,16 milliards de nairas (110 millions de dollars) en prenant en compte le prix de Brent en février qui oscillait autour de 82,3 $ le baril.

Depuis septembre 2022, la production pétrolière du Nigeria a continuellement augmenté. Une embellie régulière attribuée à différentes mesures prises par l’État pour réduire le vol de brut résultant du vandalisme des installations de production.

« On s’attend à ce que ce chiffre continue d’augmenter au fur et à mesure que de nouvelles mesures seront introduites et maintenues pour supprimer toutes les connexions illégales qui favorisent le vol de pétrole brut », a déclaré Gbenga Komolafe, le patron de la NUPRC.

Abdel-Latif Boureima

Source : mining.com

Trois ouvriers meurent dans l’effondrement d’une mine de potasse en Espagne

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Des secouristes du nord-est de l’Espagne ont sorti les corps de trois géologues morts d’un tunnel effondré à des centaines de mètres sous terre dans l’une des plus grandes mines de potasse d’Europe occidentale, a déclaré le chef régional catalan Pere Aragones.

Deux des victimes étaient des étudiants, l’un à l’Université polytechnique de Catalogne (UPC), où une minute de silence a été observée jeudi après-midi, et l’autre à l’Université de Barcelone, a indiqué l’UPC sur son site Internet.

« Nous pleurons profondément la mort de trois de nos camarades », a-t-il déclaré aux journalistes, ajoutant que des techniciens avaient examiné l’intégrité structurelle de 10 points de référence ce matin-là, comme ils le font tous les jours, et que l’entreprise enquêterait sur les causes de l’effondrement. .

L’incident à la mine de la ville de Suria, à environ 80 km (50 miles) au nord de Barcelone, s’est produit juste avant 09h00 (08h00 GMT). Les autres travailleurs de la mine ont été évacués, ont indiqué des responsables.

Les pompiers avaient érigé une grande tente à l’extérieur de la mine, tandis que le drapeau de l’entreprise flottait à mi-personnel avant même que les autorités ne confirment les décès, d’abord annoncés par le syndicat régional USOC.

« Malheureusement, nous pouvons confirmer la mort de trois personnes qui travaillaient dans la mine… leurs corps ont été retrouvés et identifiés », a déclaré Aragones aux journalistes à Suria.

Le haut responsable du département des affaires de Catalogne, Roger Torrent, a déclaré que la mine avait passé une inspection de sécurité en février.

En décembre 2013, Iberpotash a déclaré que deux de ses travailleurs étaient morts après l’effondrement d’une mine à Suria.

Les médias locaux ont rapporté qu’un travailleur avait été heurté par un rocher et est décédé en juin 2020 dans la mine Vilafruns de l’entreprise dans la province de Barcelone. Trois semaines plus tard, un mineur a été tué dans un accident similaire. La mine de Vilafruns a été fermée cette année-là.

La potasse est utilisée comme engrais dans l’agriculture et comme matière première dans des industries telles que la pharmacie, les explosifs, la verrerie et la chimie.

Les prix de la potasse ont grimpé en flèche l’année dernière après que l’Union européenne a sanctionné le principal fournisseur biélorusse pour son soutien à l’invasion russe de l’Ukraine.

(Par Horaci Garcia, Nacho Doce, Joan Faus, Steven Scheer, David Latona, Aislinn Laing et Charlie Devereux; Montage par Inti Landauro, Angus MacSwan et Tomasz Janowski)

Source : mining.com

Le Panama donne le feu vert à First Quantum pour exploiter un terminal portuaire

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L’Autorité maritime du Panama a levé la suspension des opérations de First Quantum Minerals au port de Punta Rincon, que la société canadienne utilise pour exporter du concentré de cuivre de sa principale mine Cobre Panama, ont indiqué vendredi des sources de la société.

Deux porte-parole de Minera Panama, l’unité panaméenne de First Quantum, ont déclaré à Reuters que la suspension du 26 janvier avait pris fin, ce qui a été confirmé par une source de l’Autorité maritime.

Le gouvernement panaméen et First Quantum ont déclaré mercredi qu’ils s’étaient mis d’accord sur le texte final d’un nouveau contrat sur les opérations de Cobre Panama, qui représente environ 3,5% du produit intérieur brut du pays.

Parce qu’elle ne pouvait pas fonctionner à Punta Rincon, First Quantum a interrompu les opérations de traitement du minerai le 23 février après avoir atteint le niveau de stockage maximal de concentré de cuivre – environ 10 000 tonnes – à la mine du district de Donoso au Panama.

Environ 60 % du concentré de cuivre exporté par Punta Rincon est destiné à des usines en Chine. Le reste est exporté vers d’autres marchés, dont l’Espagne et l’Allemagne.

(Par Milagro Vallecillos; Montage par Daniel Wallis)

Reuters

Source : mining.com

Les actions d’ArcWest bondissent sur l’accord d’acquisition de Freeport alors que les majors regardent le cuivre de la Colombie-Britannique

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Les actions de la jeune exploratrice ArcWest Exploration (TSXV : AWX) ont bondi de plus de 80 % dans les échanges du matin à Toronto après avoir annoncé un accord avec Freeport-McMoRan (NYSE : FCX) sur l’une de ses propriétés de cuivre-or dans le Triangle d’or de la Colombie-Britannique .

En vertu de l’accord, Freeport pourra gagner jusqu’à 80 % du projet Todd Creek d’ArcWest, qui se trouve à côté de la mine Brucejack de Newcrest Mining (TSX : NCM ; ASX : NCM). Pour gagner une participation initiale de 51 %, Freeport doit financer 20 millions de dollars canadiens de travaux à ArcWest sur cinq ans et effectuer des paiements échelonnés à l’entreprise pour un total de 900 000 dollars canadiens. ArcWest restera opérateur pendant cette étape.

Une fois que Freeport aura finalisé son niveau de propriété (que ce soit à 51 % ou à 80 %), chaque partie sera responsable du financement de sa part proportionnelle des travaux à Todd Creek.

ArcWest pense que le projet, qui, selon lui, couvre l’un des corridors structurels nord-sud fondamentaux du terrane de Stikine et se trouve à proximité de plusieurs grands projets et mines, pourrait être un analogue du projet d’or-cuivre Hod Maden en Turquie.

« ArcWest se réjouit de faire avancer notre projet Todd Creek en partenariat avec Freeport, l’une des plus grandes sociétés minières de cuivre au monde et une équipe avec un bilan de découvertes mondiales de cuivre-or qui ont procédé au développement de la mine », a déclaré Tyler Ruks, président et chef de la direction. d’ArcWest, dans un communiqué.

« Le projet Todd Creek d’ArcWest abrite l’un des plus grands systèmes de cuivre-or sous-explorés du Triangle d’or de la Colombie-Britannique, et l’approbation du projet par Freeport témoigne de son potentiel d’accueil d’un gisement de cuivre-or de classe mondiale.

Ruks a ajouté qu’ArcWest est en pourparlers avec d’autres sociétés minières sur d’éventuels accords de rémunération pour ses autres projets de porphyre cuivre-or. L’entreprise en compte sept en Colombie-Britannique.

ArcWest n’est pas la seule junior de la Colombie-Britannique à attirer l’attention des majors du cuivre récemment.

Amarc Resources (TSXV: AHR), qui avait déjà un partenariat d’exploration stratégique avec Freeport sur son projet JOY, a également signé en novembre un accord avec le suédois Boliden pour son district cuivre-or DUKE dans la région de Babine en Colombie-Britannique.

Les actions d’ArcWest ont atteint un nouveau sommet sur 52 semaines de 0,10 $ CA, en hausse de 82 % ou 0,045 $ CA, à midi HE. L’action s’est négociée entre 0,05 $ CA et 0,10 $ CA au cours de la dernière année et a une capitalisation boursière de 7,6 millions $ CA.

Source : mining.com

Fortescue Metals supprimera « quelques centaines » d’emplois

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Le groupe australien Fortescue Metals supprime « quelques centaines » d’emplois dans le cadre de ses efforts pour maintenir sa position sur les coûts, a déclaré vendredi à Reuters une personne proche du dossier .

Les médias locaux ont rapporté que Fortescue, le numéro 4 mondial des mineurs de minerai de fer, avait commencé à licencier plus de 100 travailleurs alors que son projet de magnétite « Iron Bridge » dans la région de Pilbara en Australie-Occidentale touchait à sa fin, le qualifiant de « business as usual ».

Les suppressions d’emplois sont nettement inférieures aux 1 000 numéros que les médias locaux avaient rapportés en février dans le cadre d’une pratique de réduction des coûts.

Fortescue, qui prévoit de développer une activité mondiale d’hydrogène vert, avait annoncé à la mi-février une baisse de ses bénéfices au premier semestre en raison de la hausse des coûts d’exploitation qui, selon elle, reflétait une demande importante de main-d’œuvre qualifiée dans le secteur.

Les licenciements surviennent à un moment où les principaux mineurs mondiaux ont déclaré des bénéfices plus faibles alors que les prix du minerai de fer ont chuté de niveaux élevés en raison de blocages sans précédent en Chine.

(Par Rishav Chatterjee; Montage par Rashmi Aich et Savio D’Souza)

Source : mining.com