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SOMISEN

L’IRENA et Bloomberg Philanthropies annoncent un partenariat afin d’accélérer la transition énergétique mondiale

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Deuxième producteur africain de cuivre, la Zambie tire l’essentiel de ses revenus miniers de l’exploitation du métal rouge. Avec la transition énergétique, d’autres ressources minérales du pays suscitent de l’intérêt, notamment l’uranium, sur lequel GoviEx concentre actuellement ses efforts.

En Zambie, GoviEx Uranium a annoncé le 22 mai le lancement de deux projets de formation en faveur des membres des communautés à proximité de son projet d’uranium Muntanga. Tout en s’intégrant aux critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) de la compagnie, « Back to School » et « Youth Trainee » offriront à GoviEx une main-d’œuvre locale plus qualifiée pour poursuivre le développement de son projet phare dans le pays.

Le projet « Retour à l’école » permettra de former des adultes qui n’ont pas eu accès à l’éducation formelle, notamment en matière d’alphabétisation et de calcul, alors que le programme de formation des jeunes de GoviEx financera des stages pour des étudiants des communautés, en mécanique, électricité et plomberie, entre autres.

« Dans le cadre de notre engagement ESG et plus particulièrement pour l’emploi local, nous reconnaissons les faibles niveaux d’alphabétisation dans la zone du projet […]. Nous espérons que cette initiative débouchera sur des opportunités d’emploi au cours du développement de notre projet Muntanga », a commenté Daniel Major, PDG de GoviEx.

Pour rappel, une étude de faisabilité est attendue au projet Muntanga l’année prochaine, dans le but de lancer à moyen terme la production d’uranium sur le site. En Zambie où les revenus miniers dépendent essentiellement de l’exploitation du cuivre, l’exploitation de ce gisement devrait offrir une opportunité de diversification.

Source : Agence Ecofin

Le MOTA 2023 réunira à Paris les dirigeants et financiers du secteur minier africain

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(AME TRADE) –

La 6ème conférence Mining On Top Africa (MOTA), qui se déroulera du 12 et 13 juillet 2023, à l’hôtel Westin Paris – Vendôme, au sein de la capitale française, réunira de nombreux acteurs clefs du secteur minier en Afrique. Cet événement stratégique permettra aux dirigeants européens de rencontrer les sociétés d’exploration minière basées en Afrique, dans le but de favoriser les partenariats miniers sur le continent. La plupart des grands pays africains attractifs en matière d’investissements miniers ont confirmé leur présence, notamment la République démocratique du Congo, le Mali, le Niger, le Sénégal, la Zambie ainsi que la Côte d’Ivoire et la Guinée, deux pays qui verront une session consacrée à présenter les ressources minérales abondantes dont ils disposent ainsi que les dernières évolutions en matière de pratiques minières durables.

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Avec plus de 50 organisations représentées cette année, le MOTA est le lieu de rencontre idéal pour les responsables gouvernementaux qui cherchent à attirer des investissements dans leur pays, les grandes compagnies minières à la recherche de nouveaux projets et les sociétés d’exploration qui cherchent à lever des capitaux. Cet événement verra la participation de nombreux ministres, notamment Samou Seidou Adambi, ministre de l’Eau et des mines du Bénin, Ousseini Hadizatou Yacouba, ministre des Mines de la République du Niger et Oumar Sarr, ministre des Mines et de la géologie du Sénégal.

Des participants de divers horizons (sociétés minières et d’exploration, investisseurs, etc.) se joindront aux dirigeants gouvernementaux pour réfléchir à « L’exploitation minière de demain » dans un contexte de hausse de la demande de minéraux essentiels à l’économie mondiale et de nécessité de stimuler les investissements miniers afin d’assurer un développement durable. Le MOTA est une occasion unique de découvrir la vision et les projets des acteurs clés, notamment les nouvelles politiques, les projets menés à bien avec succès et les initiatives visant à stimuler les investissements dans l’exploitation minière africaine.

Parmi les sessions prévues lors de la conférence, une table ronde portera sur les ambitions du continent africain dans le secteur minier et abordera les perspectives, les défis et les opportunités. Cette session bénéficiera de la participation de dirigeants du secteur qui aborderont la mise en place des chaînes d’approvisionnement en minéraux, la promotion de la valeur ajoutée locale, l’exploration de sources d’énergie alternatives et rentables et la manière d’attirer les investisseurs dans un contexte politique incertain. Les intervenants échangeront sur la demande croissante de capitaux pour le secteur minier en Afrique et les possibilités en matière d’investissement et de financement, ainsi que sur les réformes nécessaires afin d’attirer les financements nécessaires. L’avenir du partenariat minier entre l’Europe et l’Afrique sera également à l’ordre du jour lors d’une session au cours de laquelle les acteurs des deux continents définiront les priorités pour sécuriser l’approvisionnement en produits de base, attirer les investissements étrangers et favoriser les partenariats en lien avec la formation, la technologie et l’innovation. La conférence prévoit des tables rondes, des études de cas et des opportunités de rencontres et échanges informels.

Les autres conférenciers, dont la présence pour débattre de ces questions lors du MOTA est confirmée, sont :

  • Stephen G. ROMAN, fondateur et PDG, Global Atomic Corporation
  • Hilaire ELENGA, directeur général, Centre de recherches géologiques et minières, République du Congo
  • Anass JOUNDY, directeur pour les ressources naturelles de la région du Sud et de l’Est de la Méditerranée, BERD, Royaume-Uni
  • Susannah MCLAREN, directrice de l’approvisionnement responsable et durable, Cobalt Institute
  • Gerald MWILA, directeur de la Commission géologique du ministère des mines et du développement minier, Zambie
  • Marc-Antoine EYL-MAZZEGA, directeur, Centre Énergie & Climat, Institut Français des Relations Internationales
  • Nicolas LECONTE, Rédacteur minerais stratégiques et transition énergétique, Direction de la diplomatie économique, ministère de l’Europe et des affaires étrangères
  • Sodhie B. NAICKER, directeur général, DMT Kai Batla
  • Pierre-Samuel GUEDJ, PDG, Affectio Mutandi
  • Daniel STAPPER, directeur Mines to Market, Pact International, États-Unis
  • Salimatou DIALLO, directrice générale & fondatrice, ADNA
  • Rachel Brass, directrice des liens commerciaux, Projet Zahabu Safi (or propre) de l’USAID, Levin Sources

Les experts du secteur partageront leur point de vue avec les participants sur les nouvelles opportunités et les solutions permettant d’assurer le développement durable du secteur minier.

Cet événement bénéficie du soutien de nombreux sponsors : Global Atomic Corporation (société internationale de développement de l’uranium), DMT Kai Batla (groupe international d’ingénierie et de conseil) et ADNA Law (cabinet d’avocats africain indépendant).

Pour plus d’informations et pour vous inscrire, veuillez consulter www.miningontop-africa.com.

À propos d’AME Trade Ltd

Leaders dans notre métier, nous facilitons le développement du commerce et des investissements en organisant des conférences et des événements commerciaux ainsi que via des rapports de veille économique, des formations au renforcement des capacités et des services de marketing numérique. Notre savoir-faire et notre expérience dans l’organisation évènementielle dans les pays en développement est unique. Nous bénéficions de plus de 20 ans d’expérience dans 29 pays. Nous comprenons et respectons les besoins spécifiques de nos partenaires. Nos événements, rapports, formations et webinaires ont pour but d’informer, d’innover et de vous permettre de tisser des liens d’affaires sur les marchés africains qui connaissent une croissance rapide et dynamisme fort. www.ametrade.org

Source : Agence Ecofin

Ghana : l’Université des Mines de Tarkwa va former ses étudiants sur le traitement des eaux usées minières

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L’exploitation minière pollue les eaux. Au Ghana où le problème est encore plus préoccupant en raison des méthodes d’extraction et de traitement utilisées par les mineurs à petite échelle, rendre les eaux usées minières plus propres est un enjeu majeur.

Au Ghana, l’Université des Mines et de la Technologie (UMaT) de Tarkwa a conclu un protocole d’accord avec la société Miwatek, spécialisée dans le traitement des eaux usées provenant du secteur minier. Selon les détails rapportés lundi 22 mai par Ghanaian Times, les deux entités vont collaborer sur une période initiale de quatre ans en vue de former les étudiants au traitement des eaux polluées par l’exploitation minière à petite et grande échelle.

À cet effet, Miwatek aidera l’Université à se doter d’équipements de laboratoires pour enrichir l’offre de formation, et soutiendra l’octroi de bourses et de stages aux étudiants, afin d’obtenir des ressources humaines plus qualifiées. Les deux parties pourront également mener des activités de recherche et développement (R&D) en lien avec leurs objectifs et intérêts mutuels.

« Miwatek est une société d’ingénierie spécialisée. Nous employons certains des meilleurs ingénieurs chimistes du monde travaillant dans le domaine des mines. Nous avons beaucoup d’expérience et de méthodes que nous voulons partager avec les étudiants », assure Herman Grobler, DG de Miwatek Ghana.

Pour rappel, les collaborations entre l’industrie minière et l’enseignement supérieur sont fréquentes au Ghana, particulièrement à Tarkwa où la Chambre des Mines du pays a inauguré en février dernier un bloc de trois étages au sein de l’UMaT.

Les subventions de la Chambre qui regroupe les principaux acteurs de l’exploitation minière au Ghana, permettent de financer notamment la recherche sur des méthodes de production d’or à petite échelle plus respectueuses de l’environnement ou sur l’agriculture intelligente afin d’assurer des moyens de subsistance alternatifs aux membres des communautés proches des mines. Le Ghana est le premier producteur africain d’or.

Source : Agence Ecofin

ActuMines/ActuLex

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ActuMines

Sénégal – Le Président de la République, Macky Sall participera à l’inauguration de la raffinerie Dangote prévue le 22 mai 2023 à Lagos sur invitation de Aliko Dangote, Président de Dangote Industries. Cet important investissement contribuera à relever le défi de l’accès universel à l’électricité et de l’industrialisation du continent qui a été au cœur des priorités du Président de la République lors de son mandat à la tête de l’Union africaine. (Senego.com)

– Le projet de loi portant Code de l’Environnement a été présenté, lors d’un atelier de partage qui s’est tenu du 19 au 21 mai, aux parlementaires afin de permettre aux acteurs de s’en approprier avant son examen en commission technique et vote en plénière. Le nouveau code va prendre en charge les circonstances du moment et les questions émergentes telles que l’exploitation du pétrole et du gaz et l’exploitation minière notamment la réhabilitation des sites miniers. (Leral.net)

Togo – Le britannique Keras quitte le manganèse de Nayéga. Le gouvernement a conclu cette semaine avec la société britannique Keras Resources un accord selon lequel cette dernière renonce à l’obtention d’un permis d’exploitation pour le projet de manganèse Nayéga. Ledit permis sera attribué à la Société togolaise de manganèse, créée en avril dernier et détenue à 100 % par l’État. (Agenceecofin.com)

Australie – Newcrest Mining Ltd, en cours de rachat par Newmont Corp, fait l’objet d’une enquête des autorités environnementales australiennes suite à des plaintes de pollution par la poussière affectant des résidents à proximité de l’une de ses plus grandes mines d’or en Nouvelle-Galles du Sud. (Mining.com)

Chine – Le premier rassemblement de la communauté asiatique des métaux depuis la pandémie aurait dû être une célébration, alimentée par la relance de l’État et un rebond post-Covid tant attendu pour le premier consommateur mondial de matières premières. Mais la résurgence n’est jamais venue. Les marchands, banquiers, courtiers et gestionnaires de fonds réunis à Hong Kong pour l’événement asiatique annuel phare du London Metal Exchange n’ont montré que peu de traces de l’effervescence de la fin 2022, ni même de l’optimisme du début 2023. (Mining.com)

USA – Les prix du pétrole ont légèrement augmenté lundi grâce à un dollar plus faible et aux réductions de l’offre du Canada et des producteurs de l’OPEP+, tandis que les investisseurs attendaient de voir si la promesse du Groupe des Sept (G7) d’appliquer strictement les plafonds de prix sur l’énergie russe aurait un impact sur les exportations. (Zonebourse.com)

Belgique – Après son succès au Botswana, le négociant belge HB Antwerp est en quête d’opportunités commerciales auprès d’autres producteurs de diamants en Afrique comme la Namibie, l’Afrique du Sud, le Lesotho et la RDC, selon des propos de son cofondateur Rafael Papismedov. (Agenceecofin.com)

Suisse – Glencore a publié son rapport de développement durable 2022, qui intègre le recueil de données environnementales, sociales et de gouvernance, s’alignant sur les exigences de reporting du Global Reporting Index. (Glencore)

Guyane – Exxon Mobil mécontent d’une décision de justice exigeant une assurance « illimitée » pour le nettoyage en cas de marée noire ou de fuites. Le géant pétrolier américain estime qu’il devra faire face à d’énormes « pertes de revenus » si la justice du Guyana ne suspend pas une décision l’obligeant à fournir des assurances « illimitées » pour le nettoyage en cas de marée noire ou de fuites. (Connaissancedesenergies.org)

Marché du cobalt La demande annuelle mondiale de cobalt devrait plus que doubler d’ici 2030, atteignant 388 000 tonnes. Avec la hausse de sa production, l’Indonésie devrait en profiter, aux côtés du leader du marché, la RDC. Mais certains pays africains peuvent aussi se positionner comme le Madagascar, le Maroc, la Zambie et l’Afrique du Sud. (Agenceecofin.com)

ActuLex

    

        Règlement des différends CIRDI : affaires en cours

Parties Objet du litige Règles applicables Date de constitution du tribunal    Dernier développement 
Winshear Gold Corp. c/ United Republic of Tanzania

(Source)

 

Concession minière

Convention CIRDI – Règlement d’arbitrage  

2 février 2021

17 mai 2023 – Le Demandeur dépose un état des frais
Zaur Leshkasheli and Rosserlane Consultants Limited c/ Republic of Azerbaijan

(Source)

 

Joint-venture d’exploration et de production d’hydrocarbures

 

Convention CIRDI – Règlement d’arbitrage

 

16 octobre 2020

 

 

31 mars 2023 – Chaque partie dépose un mémoire après audience

Nouvelle avancée dans le dossier Tanzania LNG

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En pause depuis 2017 sous l’administration John Magufuli, les négociations pour le projet de liquéfaction de gaz naturel de Lindi en Tanzanie ont repris depuis quelques jours. La nouvelle Présidente Samia Suluhu Hassan, en a fait une priorité.

Le 19 mai, Equinor, Shell et Exxon Mobil ont conclu un accord avec le gouvernement tanzanien dans le cadre du développement du projet de liquéfaction de gaz naturel Tanzania LNG. L’entente comprend les différents éléments d’un accord avec le gouvernement hôte (Host Government Agreement/HGA).

Il permettra de fournir un cadre réglementaire à travers un contrat de partage de production. Il est d’ailleurs soumis à des examens juridiques avant la signature proprement dite du HGA, prévue dans les prochaines semaines. L’accord porte également sur la gestion de la procédure d’expropriation des riverains de Lindi et les questions de sécurité, a rapporté Charles Sangweni, le principal négociateur pour le compte du gouvernement de la Tanzanie.

La signature du HGA devrait arriver au même moment qu’un autre accord sur le regroupement des blocs 1, 2 et 4, censés fournir le gaz en amont pour la liquéfaction. Rappelons qu’Equinor et Shell sont les deux partenaires de Tanzania LNG, tandis qu’Exxon, Pavilion Energy, Medco Energi et la compagnie publique du pétrole (TPDC) sont les partenaires en amont.

Cette nouvelle avancée dans le dossier Tanzania LNG survient quelques jours après la mise à jour de l’évaluation du coût du projet qui passe de 30 milliards à 42 milliards de dollars. « Cela ouvre la voie aux nombreuses étapes à suivre pour concrétiser cette fantastique opportunité de GNL pour le pays et le monde », a déclaré Unni Fjaer, directeur pays d’Equinor en Tanzanie.

Shell est présent sur les blocs 1 et 4 en offshore qui contiennent 16 Tcf de gaz récupérable. Equinor, quant à elle, exploite le bloc 2, sur lequel ExxonMobil est partenaire. On estime que ce périmètre abrite plus de 20 Tcf de gaz.

Source : Agence Ecofin

Galan espère lever 36,5 millions de dollars australiens pour des projets de lithium

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Galan Lithium, cotée à l’ASX, lèvera 31,5 millions de dollars australiens par le biais d’un placement d’actions institutionnel pour accélérer les travaux sur ses projets de lithium en Argentine et en Australie occidentale.

La société a déclaré lundi qu’elle avait reçu des engagements fermes pour le placement de 30 millions de nouvelles actions, au prix de 1,05 dollar australien chacune, de la part d’investisseurs institutionnels, sophistiqués et professionnels.

Le prix du placement représente une décote de 12,5 % par rapport au dernier cours de clôture de Galan le 17 mai et une décote de 9,8 % par rapport au cours moyen pondéré par le volume sur dix jours de l’action de la société. Les actions seront émises dans le cadre de la capacité de placement existante de la société et ne nécessiteront pas l’approbation des actionnaires.

En plus du placement d’actions, la société prévoit également d’entreprendre un plan d’achat d’actions (SPP), ciblant 5 millions de dollars australiens supplémentaires, les actionnaires éligibles pouvant souscrire jusqu’à 30 000 dollars australiens de nouvelles actions supplémentaires de la société, également au prix de 1,05 dollar australien chacun.

Galan a déclaré aux actionnaires que le placement offrirait à la société une flexibilité importante pour ses besoins en dépenses d’investissement en cours dans les projets Hombre Muerto West, Candelas et Greenbushes South.

Les fonds seraient utilisés pour acheter des articles à long délai de livraison en préparation de l’opération d’équivalent de carbonate de lithium de l’étape 1 de 4 000 t/an à Hombre Muerto West, du prépaiement des entrepreneurs de terrassement, de l’étude de faisabilité définitive de l’étape 2 et de la poursuite du forage de puits d’exploration et de production .

Le financement irait également vers des travaux supplémentaires à l’exploitation de Greenbushes et pour le fonds de roulement général. 

Edité par Creamer Media Reporter

Source : mining weekly

MRC conclut un accord de financement de 10 millions de dollars avec GMA

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Mineral Commodities (MRC), cotée à l’ASX, a dévoilé lundi un accord de financement et de prélèvement de 10 millions de dollars avec Garnet International Resources , membre du groupe GMA.

MRC et son partenaire d’autonomisation Blue Bantry Investments 255 ont signé des accords formels avec Garnet en vertu desquels Mineral Sands Resources , qui détient l’exploitation de sables minéraux de Tormin en Afrique du Sud , fournira 80 000 t/a de produit fini de grenat en 2024/25.

105 000 t/a supplémentaires de produit fini de grenat seraient fournies entre 2026 et 2028, et 125 000 t/a de produit fini de grenat seraient fournies entre 2029 et 2033, sous réserve d’un renouvellement de l’accord de prélèvement au choix de Garnet.

En retour, Garnet fournirait à Mineral Sands Resources un prêt de 10 millions de dollars, remboursable sur cinq ans à compter de janvier 2024, pour financer la conception et la construction d’une usine de séparation des minéraux (MSP) en Afrique du Sud .

La taille et la portée du MSP seront à la discrétion de Mineral Sands, avec une charge minimale de concentré de 200 000 t/a comme seule exigence spécifiée.

« Nous sommes très heureux de finaliser les accords GMA, cristallisant notre partenariat à long terme avec le groupe GMA et la transition de Tormin des ventes de concentrés vers des ventes de produits finis à marge plus élevée », a déclaré Adam Bick, PDG de MRC .

« Cet accord d’enlèvement constitue la base de l’expansion de notre base de revenus, de notre rentabilité et de nos flux de trésorerie chez Tormin. Pour situer le contexte, l’exploitation de Tormin a produit 179 000 t de concentré de grenat en 2022, soulignant que cet accord de prélèvement minimum couvrira une partie importante du grenat fini disponible produit à partir des opérations actuelles .

« L’accord de financement GMA permet également la construction d’un MSP d’ilménite, avec un produit fini d’ilménite à vendre sur le marché lucratif et bien établi de l’ilménite finie. Nous nous félicitons de l’opportunité de renouveler et d’étendre officiellement notre relation de longue date avec GMA et d’explorer de nouvelles opportunités pour développer nos intérêts commerciaux mutuellement bénéfiques. » 

Edité par Creamer Media Reporter

Source : mining weekly

Vladimir Poutine explique que la réduction de la production de pétrole russe vise à soutenir les prix mondiaux

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La nouvelle réduction de la production de l’OPEP et de ses alliés, avec à leur tête la Russie fait couler beaucoup d’encre. Elle a été récemment critiquée par l’Agence internationale de l’Energie (AIE). Pour sa part, le Président russe a réitéré son soutien à cette réduction de l’offre.

Le président russe Vladimir Poutine (photo) a déclaré que l’engagement du pays à réduire sa production de brut vise à soutenir les prix du marché mondial du pétrole. Lors d’une vidéoconférence avec son gouvernement, Poutine a souligné que toutes les actions, y compris les réductions volontaires de la production, « sont motivées par l’objectif de maintenir un environnement de prix favorable sur les marchés mondiaux en coordination avec les partenaires de l’OPEP+ ».

L’objectif premier de ces réductions de production, est, comme l’a déclaré le mois dernier, le vice-premier ministre russe Alexander Novak, de rétablir la stabilité sur le marché global du pétrole. En mars, la Russie s’est engagée à réduire sa production de brut de 500 000 barils par jour par rapport aux niveaux de février. Ceci, avec l’intention de maintenir ces réductions jusqu’à la fin de l’année.

À la suite de la Russie, d’autres pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), dont l’Arabie saoudite, ont mis en œuvre leurs propres réductions volontaires de production. Les réductions combinées des pays de l’OPEP+ devraient retirer 1,66 million de barils par jour du marché à partir du mois de mai.

La manœuvre a été critiquée, notamment chez les pays importateurs comme les Etats-Unis. Rappelons que l’année dernière, les Etats-Unis ont demandé au chef de peloton de l’OPEP+, l’Arabie Saoudite d’augmenter la production du cartel, afin de favoriser une certaine baisse des prix du pétrole. Ce à quoi les dirigeants du royaume wahhabite ont répondu par la négative.

Par ailleurs, le chef du Kremlin a attribué son soutien à cette politique de réduction de l’offre aux sanctions occidentales, qui prévoyaient un plafonnement des prix de son pétrole. D’ailleurs, lors de la réunion d’avril de l’OPEP et de ses alliés, des inquiétudes ont été exprimées quant à un excédent de l’offre, ce qui a conduit à la mise en œuvre de ces mesures.

Olivier de Souza

Source : Agence Ecofin

Afrique du Sud : le gaz de schiste pour pallier le délestage électrique que connait actuellement le pays ?

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Face à la pire crise électrique de l’histoire de l’Afrique du Sud, le gouvernement compte remettre au goût du jour, la question de l’exploitation du gaz de schiste. En cas de succès, le Président Ramaphosa aura tenu l’une de ses plus importantes promesses de campagne.

En Afrique du Sud, le gouvernement a fait part, la semaine dernière, de son intention de mettre aux enchères une série de nouveaux blocs onshore pour l’exploration du gaz de schiste dans la région écologiquement sensible du Karoo. À peine, cette annonce faite, elle suscite déjà beaucoup de débats au sein de l’opinion publique.

Rappelons que face à la pression des environnementalistes, des agriculteurs et autres activistes, la Haute Cour de justice du pays a annulé en 2017, la législation relative à l’exploration et à l’exploitation du gaz de schiste dans le pays. Un groupe d’agriculteurs de la région de Karoo, appuyé par des ONG avait, en effet, attaqué le texte devant les tribunaux, arguant de ce qu’il fera le lit à la fracturation hydraulique, une technique qui « appauvrira les sols » dans cette région.

D’ailleurs, étant donné qu’elle est utilisée dans la monétisation du gaz de schiste, elle exige l’utilisation de grands volumes d’eau et de produits chimiques. Des spécialistes avaient alors relevé que la nappe phréatique du Karoo ne pourrait pas supporter des exploitations de schiste. Un argument qui a fait pencher la décision de justice en faveur de la partie accusatrice.

La vente aux enchères des blocs est prévue pour 2024 ou 2025, dans l’attente de l’adoption d’une nouvelle législation soutenant l’appel d’offres. Elle représente par ailleurs, le premier processus d’appel d’offres concurrentiel de l’Afrique du Sud pour les ressources pétrolières et gazières.

Les terrains mis aux enchères comprennent des zones précédemment détenues par Shell. Le régulateur de l’amont pétrogazier, l’Agence sud-africaine du pétrole (PASA), a révélé qu’au moins dix blocs de gaz de schiste dans le Karoo seraient mis aux enchères. Il estime que le bassin du Karoo abrite potentiellement environ 209 tcf de ressources en gaz de schiste techniquement récupérables.

Toutefois, une étude menée par des géologues de l’Université de Johannesburg en 2017 a suggéré que les réserves réelles du bassin pourraient être plus proches de 13 tcf. Une étude distincte de l’Académie des sciences d’Afrique du Sud indique que même avec 5 tcf de gaz de schiste, l’Afrique du Sud pourrait alimenter une centrale à gaz de 1 000 à 2 000 MW pendant trois décennies.

Olivier de Souza 

Source : Agence Ecofin

Namibie : African Pioneer annonce une hausse des ressources du projet polymétallique Ongombo

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La Namibie est le premier producteur africain d’uranium et exploite également des diamants et de l’étain. Le pays héberge aussi du cuivre, de l’or et de l’argent, trois métaux que la société African Pioneer cherche à exploiter grâce à sa participation de 85 % dans le projet Ongombo.

En Namibie, 100 000 tonnes de cuivre contenu et 84 000 onces d’or s’ajoutent désormais aux ressources minérales du projet polymétallique (cuivre-or-argent) Ongombo. C’est ce que nous apprend un communiqué publié cette semaine par son propriétaire African Pioneer.

Cette nouvelle estimation est le fruit d’une campagne de forages menée par Addison Mining Services. Ongombo héberge désormais des ressources minérales indiquées de 5,7 millions de tonnes de minerai contenant 53 000 tonnes de cuivre, 42 000 onces d’or et 800 000 onces d’argent. Dans la catégorie inférée, il s’agit de 23 millions de tonnes de minerai contenant 220 000 tonnes de cuivre, 180 000 onces d’or et 4,3 millions d’onces d’argent.

Pour rappel, African Pioneer détient une participation de 85 % dans Ongombo, acquise en 2021 auprès du groupe Shali. La société possède en outre d’autres permis d’exploration en Afrique centrale et australe.

Source : Agence Ecofin