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SOMISEN

Israël approuve le plan d’extension du gazoduc qui relie le pays à l’Égypte

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La coopération gazière entre Israël et l’Égypte est au beau fixe. Les deux pays se penchent sur plusieurs options d’amélioration de cette relation bilatérale. La toute dernière devrait permettre l’augmentation des volumes exportés par Israël.   

Le gouvernement israélien a donné son feu vert à un plan ambitieux visant à étendre le gazoduc East Mediterranean Gas (EMG) qui relie les champs israéliens aux terminaux égyptiens. Le plan approuvé comprend un corridor d’infrastructures intégré entre Ashalim et Nitsana, qui augmentera le volume potentiel des exportations de gaz naturel vers l’Égypte.

Le projet d’extension sera mené par Israel Natural Gas Lines Co., avec le soutien du ministère des Infrastructures nationales, de l’Énergie et des Ressources en eau. Il aboutira à la mise en place d’une nouvelle ligne entre Ramat Hovav et Nitsana, sur une longueur de 65 kilomètres.

Rappelons que l’État hébreu exporte, chaque année, 5 milliards de mètres cubes de gaz naturel vers l’Égypte. Ce volume est transformé sur place, avant d’être réexporté vers des marchés comme l’Europe.

Ce nouveau gazoduc devrait permettre d’exporter chaque année six milliards de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel vers l’Égypte. Il augmentera ainsi les options pour les pays européens, qui sont à la recherche d’autres sources de gaz naturel, à la lumière des enjeux nés de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Le ministre israélien des Infrastructures nationales, de l’Énergie et des Ressources en eau, Israël Katz, a déclaré que l’approbation du plan renforcerait la coopération entre Israël et l’Égypte dans le domaine du gaz naturel. Le ministre s’est également engagé à « poursuivre le développement de la coopération dans les domaines du gaz naturel, des énergies renouvelables, de l’hydrogène et du stockage de l’énergie ».

Olivier de Souza

Source : Agence Ecofin

L’Afrique reste peu attractive pour l’investissement minier, malgré son potentiel minéral (Fraser Institute)

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Sur la base du potentiel minéral et de la politique minière, le think tank canadien Fraser Institute évalue chaque année des juridictions minières à travers le monde. À l’heure où les investisseurs affluent vers l’Afrique, le rapport 2022 offre un autre regard sur l’attractivité du continent.

Pour la deuxième année consécutive, le Zimbabwe est la juridiction minière la moins attractive au monde. C’est ce que révèle le Fraser Institute dans son rapport 2022, à l’issue de son enquête annuelle auprès des acteurs du secteur, précisant que 8 des 10 juridictions minières les moins attractives se trouvent sur le continent, soit le double du chiffre enregistré en 2021.

Après le Zimbabwe à la dernière place, on retrouve en effet le Mozambique, le Soudan du Sud, l’Angola, la Zambie, l’Afrique du Sud, la Chine, la RDC, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et la Tanzanie. Cela fait de l’Afrique la région la moins attractive avec également la moitié des 16 pays africains évalués en 2022 dans ce top 10. En 2021, seuls le Zimbabwe, la RDC, le Mali et l’Afrique du Sud se retrouvaient dans ces dix dernières places.

Alors que l’Afrique est au centre des intérêts de nombreux acteurs publics et privés venant de différentes régions du monde à cause de sa richesse en minéraux nécessaires à la transition énergétique, les conclusions de l’enquête du think tank canadien indiquent que cela n’est pas suffisant. Deuxième producteur mondial de bauxite, riche en fer et en or, la Guinée est l’un des symboles de ce contraste entre le potentiel minéral du continent et sa perception par les investisseurs miniers.

Classé avant-dernier mondial en matière de politique minière (l’un des deux principaux critères d’évaluation du Fraser), le pays se retrouve en revanche à la 6ème place mondiale sur 47 juridictions, si on tient uniquement compte du potentiel minéral. L’environnement réglementaire et le climat des affaires ne semblent donc pas à la hauteur des immenses ressources minérales du pays.

« Les investisseurs ont fait part de leurs préoccupations accrues concernant l’incertitude du pays en matière de réglementation environnementale et la disponibilité des compétences de la main-d’œuvre. En outre, tous les répondants ont indiqué que les infrastructures, le système juridique et la disponibilité de la main-d’œuvre sont des obstacles majeurs à l’investissement », précise le document, à propos du pays ouest-africain. 

Source : Agence Ecofin

Niger : les accords de vente de la future production d’uranium de Dasa dépassent 250 millions de dollars

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Le marché de l’uranium retrouve des couleurs depuis quelques années et les perspectives sont encore plus prometteuses, compte tenu des besoins mondiaux en énergie bas carbone comme le nucléaire. Le Niger qui a perdu son rang de leader continental depuis 2016, nourrit de grandes ambitions.

Au Niger, Global Atomic a annoncé le 8 mai la signature d’un accord définitif afin de vendre de l’uranium pour un montant évalué à plus de 110 millions de dollars. Combiné à un précédent accord dévoilé en janvier 2023, cela signifie que la compagnie minière canadienne a déjà vendu pour plus de 250 millions de dollars d’uranium provenant de sa future mine Dasa.

« Ces accords visant à approvisionner des compagnies d’électricité internationales sont des étapes importantes pour notre société, car ils confirment à nos banques, à nos actionnaires et au gouvernement nigérien que nous avons établi un flux de revenus garantis pour Dasa », a commenté Stephen G. Roman, PDG de Global Atomic.

Les deux acheteurs sont présentés comme d’importants services publics nord-américains. Les livraisons d’uranium sont prévues pour s’étaler sur plusieurs années et devraient commencer en 2025, avec 2,1 millions de livres au total pour l’accord annoncé ce lundi, soit 7 % de la production annuelle, et jusqu’à 2,4 millions de livres pour l’accord de janvier dernier.

Pour rappel, Dasa est capable de livrer 44 millions de livres d’uranium sur une période de 12 ans, d’après une évaluation économique préliminaire publiée en 2020. Les travaux de construction de la mine ont débuté depuis quelques mois et la société envisage de lancer l’extraction du minerai d’uranium d’ici fin 2023.

Le Niger veut retrouver le sommet

Selon des données de la World Nuclear Association citées dans un récent rapport d’Ecofin Pro, le Niger n’est plus le premier producteur africain d’uranium depuis 2016. Supplanté par la Namibie, le pays n’en a produit « que » 2 248 tonnes en 2021, contre plus du double pour le pays d’Afrique australe (5 753 tonnes). S’il est peu probable que cette hiérarchie change à moyen terme, plusieurs projets, dont Dasa, peuvent néanmoins permettre au Niger d’accroitre sa production dans les années à venir.

Le géant français Orano, partenaire historique de l’État nigérien dans l’exploitation de l’uranium, devrait également jouer sa partition, comme l’illustre un accord conclu début mai avec le gouvernement. Les deux parties ont en effet convenu de prolonger la présence d’Orano dans le nord du pays jusqu’en 2040. Dans la région, l’ex-Areva exploite actuellement une seule mine, sur le site de la Somaïr, mais dispose également d’une présence à Imouraren, un gisement hébergeant environ 200 000 tonnes d’uranium.

Emiliano Tossou

Source : Agence Ecofin

Remise de matériels de bureau par la Coopération allemande Giz à la SOMISEN SA

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🇸🇳Sénégal – Allemagne🇩🇪
Ce Mercredi 03 Mai 2023, le Directeur Général de la SOMISEN SA a réceptionné du matériel de bureau des mains Mme Maimouna Ba Seck, Coordonnatrice du programme <<Returning experts>> de la Coopération allemande GIZ.
Ce matériel est destiné à équiper le bureau du Dr. Aliou Djiba, Directeur des Services Géologiques la société qui est encadré par la GIZ dans le cadre dudit programme.
Lors de la cérémonie de réception de ce matériel, le Dr. Ousmane Cissé, Directeur Général de la SOMISEN SA a vivement remercié la GIZ pour son beau geste qui contribuera grandement la productivité et à l’efficacité de ses services.

ActuMines/ActuLex

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ActuMines

Sénégal – Adoption des textes suivants :

Décret n°2023-990 du 04 Mai 2023, portant organisation et fonctionnement du Comité national Suivi du Contenu local dans le secteur des hydrocarbures ;

Décret n° 2023-979 du 04 Mai 2023, fixant les modalités de la fourniture locale des biens et services dans le secteur minier.

Sénégal / Mauritanie – Dans l’océan Atlantique à la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie, le projet offshore dit « Grande Tortue Ahmeyim » (GTA) devrait commencer à exploiter principalement du gaz naturel liquéfié et un peu de pétrole à la fin 2023. Ce projet devrait produire deux millions et demi de tonnes de gaz naturel liquéfié par an à partir du dernier trimestre 2023 et 100 000 barils de pétrole par jour avec des recettes estimées à 1,350 milliard d’euros entre 2023 et 2025. (Francetvinfo.fr)

Kenya – La Banque mondiale serait sur le point d’accorder un prêt sans intérêt de 300 millions de dollars à la société publique Kenya Power and Lighting Company (KPLC) pour l’aider à rembourser ses dettes et à reconstruire son réseau de transmission vieillissant. Le prêt devrait être débloqué dans le cadre d’un programme de sept ans, intitulé « Green and Resilient Expansion of Energy », d’après le journal Business Daily. (Agenceecofin.com)

Nigéria – Plus de 3 000 communautés d’accueil des installations de production de pétrole et du gaz dans le delta du Niger ont menacé de porter plainte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral pour les dommages causés par les activités d’exploration pétrolière et gazière dans la région. Réunies au sein du « Host Communities Network of Nigeria », elles ont également fait savoir qu’elles demanderaient 1 000 milliards de dollars de dommage-intérêt. (Agenceecofin.com)

Rwanda – Plus 429 travailleurs morts et 272 blessés sont à déplorer en 5 ans, à cause des multiples accidents qui surviennent dans l’industrie minière. C’est le bilan que fait le Rwanda Mines, Petroleum and Gas Board (RMB) dans un rapport sur l’état de l’exploitation minière illégale et les accidents. (Newtimes.co.rw)

Zimbabwe – Classement mondial des enquêtes minières, le Zimbabwe se classe à nouveau dernier. En effet, le Nevada est la juridiction la plus attrayante au monde pour les investissements miniers , suivie de l’Australie-Occidentale et de la Saskatchewan, selon l’enquête annuelle sur les sociétés minières publiée jeudi par le Fraser Institute. (Miningweekly.com)

Australie – Red Rock Resources Plc a annoncé une mise à jour de l’exploration du projet de mine d’or Berringa de la société, qui fait partie de la coentreprise Victorian Goldfields avec Power Metals Resources Plc dans l’État de Victoria. Les résultats d’analyse du programme de forage sur le projet historique de la mine de Berringa ont confirmé l’extension des filons minéralisés en or à l’intérieur des principaux systèmes récifaux. (Zonebourse.com)

Royaume Uni – Les actions de Corcel PLC (LSE:CRCL) ont augmenté de 10 % vendredi matin après l’annonce que la société a vendu une participation de 20 % dans son projet Mt. Weld Rare Earth Element à Extraction Srl pour 1 million de dollars australiens. Extraction, société privée italienne, est actionnaire de Corcel à hauteur de 9,61% et est contrôlée par Antoine Karam, qui devrait rejoindre le conseil d’administration de Corcel après vérifications réglementaires. Riversgold Ltd, qui avait un droit de préemption sur la vente, a renoncé à ses droits. (Proactiveinvestors)

Malaisie – Les autorités malaisiennes ont accordé une prolongation de six mois à l’australien Lynas Rare Earths Ltd, pour mettre son usine de terres rares en conformité avec les exigences environnementales. Selon le ministre des Sciences, de la Technologie et de l’Innovation, Chang Lih Kang, la date limite pour que la centrale soit exempte de rayonnement a été prolongée jusqu’en janvier 2024. Il a confirmé un rapport antérieur du Straits Times sur la décision. (Mining.com)

Venezuela – Le gouvernement a déployé plus de 5 000 soldats dans les parcs nationaux du pays dans le but d’expulser les groupes criminels menant des opérations illégales d’extraction aurifère et de trafic de drogue. (Mining.com)

ActuLex 

Exploitation de substances minérales :

Périmètres Toglou et Bandia (Région de Thiès)

 

Parties

 

Objet

 

Droit applicable

Instruments conférant les droits Périmètre
Etat du Sénégal et Société ICON Africa SARL Ouverture et exploitation d’une carrière  

Code Minier 2003

 

Arrêté n°000718 du 19 juin 2014

Toglou (région de Thiès)
Etat du Sénégal et Société Djibril Diagne Monparent (SMDDM) SUARL Ouverture et exploitation d’une carrière privée de calcaire  

Code Minier 2014

 

Arrêté n°13678 du 03 septembre 2014

 

Bandia (région de Thiès)

 

TotalEnergies contre Greenpeace

TotalEnergies assigne Greenpeace en justice pour diffusion d’informations fausses et trompeuses suite à la publication de notre rapport « Bilan carbone de TotalEnergies : le compte n’y est pas ». Ce rapport dénonce l’absence de transparence de la multinationale sur son bilan carbone. (Greenpeace)

Le Maroc n’est plus la juridiction minière la plus attractive en Afrique (rapport)

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En 2021, le Maroc s’est hissé à la 2ème place mondiale des juridictions minières les plus attractives, si on tient compte de la politique minière. Cela a permis au pays d’Afrique du Nord de devenir la juridiction africaine la plus attractive, tous critères confondus, devant le Ghana et la Guinée. Le Botswana est redevenu la juridiction minière la plus attractive en Afrique en 2022, devant le Maroc (2ème), selon le classement annuel du Fraser Institute publié début mai. Le rapport, qui a évalué 62 juridictions à travers le monde l’année dernière, précise que le Botswana, seul pays africain du top 10 mondial, a aussi récupéré la deuxième place mondiale occupée en 2021 par le Maroc, quand on tient seulement compte de la politique minière.

Depuis plus de deux décennies, le think-tank canadien Fraser Institute classe chaque année un certain nombre de juridictions minières à travers le monde, en tenant aussi bien compte de leur politique minière (disponibilité de la main-d’œuvre, régime fiscal, système juridique, etc.) que de leur potentiel minéral. Sur ce dernier point, le Maroc dégringole à la 17ème place mondiale cette année, et passe derrière le Botswana à l’échelle du continent.

Selon les personnes interrogées, les préoccupations des investisseurs se sont accrues sur un certain nombre de questions, notamment l’application des réglementations existantes, la réglementation du travail et les accords sur l’emploi ou encore les litiges fonciers. Le Botswana a en revanche profité d’une diminution des inquiétudes liées à l’incertitude concernant les zones protégées, les infrastructures, la stabilité politique et les réglementations du travail ainsi que les accords d’emploi.

Les limites d’un classement apprécié

Si le classement du Fraser Institute est assez apprécié dans l’industrie minière mondiale, et abondamment relayé chaque année par la presse spécialisée, il faut souligner qu’il suscite aussi des interrogations. Les bonds au classement suivis l’année suivante de dégringolades, alors qu’aucun changement majeur n’est intervenu dans les pays concernés, illustrent les limites de la méthodologie utilisée, à savoir les réponses d’une poignée d’acteurs locaux. En 2022 par exemple, le think tank précise que son évaluation du Maroc s’est basée sur seulement cinq à neuf réponses obtenues à son questionnaire.

Classement 2022 des juridictions minières les plus attractives en Afrique (Fraser Institute)

  • Botswana (10e mondial)
  • Maroc (16e mondial)
  • Côte d’Ivoire (30e mondial)
  • Burkina Faso (31e mondial)
  • Ghana (33e mondial)
  • Namibie (38e mondial)
  • Mali (44e mondial)
  • Guinée (46e mondial)
  • Tanzanie (53e mondial)
  • RDC (55e mondial)
  • Afrique du Sud (57e mondial)
  • Zambie (58e mondial)
  • Angola (59e mondial)
  • Soudan du Sud (60e mondial)
  • Mozambique (61e mondial)
  • Zimbabwe (62e mondial)

       Source: Agence Ecofin

Anson Resources reçoit les approbations pour le programme de rentrée de forage au projet de lithium Paradox

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L’explorateur junior Anson Resources (ASX: ASN) a reçu l’approbation du gouvernement pour un programme de rentrée de forage à la suite d’une inspection des travaux sur site des emplacements de forage de son projet de lithium Paradox dans le sud-est de l’Utah.

Des représentants du département américain de l’Intérieur et du Bureau of Land Management ainsi que du personnel de la division du pétrole, du gaz et des mines de l’Utah ont visité les sites de puits Mineral Canyon et Sunburst qui seront forés dans le cadre du programme de rentrée de la stratégie occidentale d’Anson.

Sunburst est situé juste à côté de l’infrastructure routière et Mineral Canyon dispose également d’un accès facile à proximité d’une route de comté nivelée.

L’inspection du site a confirmé que les emplacements des puits sont clairement indiqués et que les plates-formes de forage requises pour le programme peuvent être facilement rétablies au lieu d’être excavées à partir de zéro.

Les facteurs évalués lors de la visite comprenaient les clôtures de sécurité, la protection du drainage, l’entretien des routes, le stockage de la terre arable pour la remise en état future et les permis.

Aucun problème n’a été identifié.

Augmenter la ressource minérale

Le programme de rentrée d’Anson est conçu pour échantillonner des unités épaisses du Mississippien et des horizons clastiques pennsylvaniens dans le bassin Paradox, afin d’augmenter encore les ressources minérales existantes du projet de 1,04 million de tonnes d’équivalent carbonate de lithium et de 5,27 Mt de brome.

Des échantillons de saumure sursaturée de Mineral Canyon et de Sunburst seront testés pour le lithium et d’autres minéraux, notamment le brome, l’iode et le bore.

Les puits sont situés à moins d’un kilomètre de saumures riches en lithium connues précédemment échantillonnées dans la région de Big Flat lors de programmes historiques d’exploration pétrolière et gazière.

Programme Stratégie de l’Est

Tous les horizons de la zone clastique et du Mississippien sont continus par rapport à ceux échantillonnés lors du programme initial de stratégie orientale d’Anson.

Des forages seront également effectués au projet de lithium de Green River à 50 kilomètres au nord-ouest.

La société a déclaré qu’elle visait à avoir un impact minimal sur l’environnement, avec un minimum de nouvelles perturbations du sol, car les plates-formes de forage sont déjà établies et ne nécessitent qu’une réinstallation.

Il est prévu que les analyses et les tests de débit des saumures permettront d’inclure les zones entourant les puits dans un rapport mis à jour sur les ressources minérales plus tard cette année.

Source : Small caps

Botala Energy signale une augmentation de la pression annulaire en fond de trou du puits de méthane de houille Serowe-3

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L’augmentation des volumes de gaz bouillonnant dans l’assèchement du puits Serowe-3 de Botala Energy (ASX : BTE) au Botswana s’est accompagnée d’une augmentation substantielle de la pression annulaire en fond de trou.

La société a déclaré que cela indique que les pressions à l’intérieur des charbons sont proches de leur point de pression de désorption, ce qui peut entraîner la libération d’un débit de gaz plus élevé.

Les niveaux d’eau continueront d’être abaissés pour mesurer de nouvelles augmentations de la pression du gaz au cours des prochaines semaines.

Les débits moyens d’eau se sont stabilisés à 85 barils par jour.

Décision d’investissement

Le directeur général de Botala, Kris Martinick, a déclaré que l’augmentation de la pression annulaire était « très encourageante ».

« Cela nous permettra de prendre une décision d’investissement pour procéder à quatre puits d’évaluation supplémentaires dans le cadre d’un programme pilote commercial », a-t-il déclaré.

« Nous avons encore une vaste zone sous-explorée [à Serowe-3] et nos programmes nous permettront de confirmer que nous ciblons les bons gisements de charbon dans la région et d’accroître notre confiance dans la réalisation de notre objectif de développement d’un gisement de gaz commercial. »

Botala détient une participation de 70% dans le projet Serowe qui est situé dans une région de méthane de houille à haute teneur du Botswana.

Les 30 % restants sont détenus par Pure Hydrogen Corporation (ASX : PH2) en vertu d’un accord de coentreprise avec Botala.

Programme pilote commercial

Botala a déclaré que le récent doublement de la pression annulaire était « suffisamment encourageant » pour progresser avec le programme pilote commercial Serowe-3.

Le programme verra la société forer quatre puits d’évaluation autour de Serowe-3 pour établir un flux de gaz durable en asséchant les puits périphériques pour permettre au puits central de produire du méthane de houille.

La conception des puits, les installations de surface et l’approvisionnement sont actuellement en cours.

Levés au sol

Avant de finaliser l’emplacement du puits, Botala effectuera des levés magnétiques au sol et audio dans la zone de Serowe-3 et à Serowe-7, situés à environ 26 kilomètres à l’ouest.

Les relevés comprendront deux lignes reliant le puits Serowe-5 à la zone du programme pilote commercial afin de fournir une meilleure compréhension de la présence de dolérites dans les sections de charbon.

Le puits Serowe-3 est ouvert sur les trois veines de charbon de la région.

Le programme pilote vise à tester la production de veines de charbon individuelles et à établir des techniques de forage et des méthodes de complétion optimales.

Puits Serowe-7

Botala a sélectionné le fournisseur d’équipements Akkurat pour procéder à la fabrication de l’unité de test d’écoulement pour le puits Serowe-7 dans son usine du Queensland.

Les travaux devraient être achevés dans un délai de deux mois, après quoi l’unité sera transférée au Botswana pour y être installée.

Source : Small caps

BBX Minerals conclut un accord pour la deuxième série d’essais en usine pilote à Três Estados

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BBX Minerals (ASX: BBX), basé à Perth , fait un autre pas en avant dans son projet d’éléments du groupe de l’or et du platine Tres Estados au Brésil en commandant une deuxième série d’essais en usine pilote.

Le matériel provenant de quatre trous de forage sera testé pour l’or, le platine, le palladium, l’iridium et le rhodium.

Cela fait suite à l’annonce de la semaine dernière selon laquelle la société avait commandé des études d’impact sur l’environnement pour son projet phare.

Les principaux actifs de BBX sont les projets aurifères Três Estados et Ema dans la région d’Apuí au Brésil, à 60 km au sud de la ville d’Apui (22 000 habitants).

Tres Estados est situé à 60 km au sud d’Apui, une ville de 22 000 habitants. Les zones de projet de l’entreprise couvrent 720 km².

Le nouveau cycle fait suite aux résultats positifs précédents

BBX a signé un accord de fourniture de produits et de licence IP avec EcoBiome Metals, spécialiste de la microbiologie basé au Texas, en vertu duquel 200 kg de matériel provenant de quatre trous de forage seront livrés à l’installation d’EcoBiome aux États-Unis.

Ce deuxième test est la continuation du test initial en usine pilote qui a été achevé et qui, malgré des problèmes opérationnels et des paramètres non optimisés, a donné des résultats positifs, a indiqué la société.

Le directeur général, Andre J. Douchane, a déclaré que si les premiers tests en usine étaient problématiques, les tests statiques ont montré d’excellents résultats.

« Nous nous attendons à ce que ces prochains tests en usine pilote montrent une amélioration considérable au fur et à mesure que le groupe les parcourt », a-t-il ajouté.

Prévoit de construire sa propre usine au Brésil

BBX indique qu’à la suite de la nouvelle série de tests, la société a l’intention de construire sa propre usine pilote à proximité de son laboratoire existant situé à Catalao, au Brésil.

La région d’Apui a acquis une brève renommée en 2006 lorsqu’un professeur de mathématiques brésilien a rapporté avoir vu des mineurs y ramasser des poignées d’or, ce qui a déclenché une ruée de milliers de personnes vers la ville amazonienne.

BBX a précédemment déclaré que la région d’Apui dispose de bonnes infrastructures – elle a un accès direct à la route transamazonienne et à un port sur le fleuve Amazone ainsi qu’un aéroport – mais reste « largement sous-explorée ».

La zone a fait l’objet d’une exploitation minière artisanale peu profonde.

Source : Small caps

Fer du Gabon : 7 permis de recherche ont été octroyés entre 2012 et 2021

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Néanmoins, ce métal demeure encore en attente d’exploitation au Gabon. Selon les informations recueillies par Le Nouveau Gabon, le gisement de Belinga d’un potentiel estimé à 1 milliard de tonnes de fer, devrait entrer en production cette année 2023.

7 permis de recherche pour le segment fer ont été octroyés par le ministère gabonais des Mines entre 2012 et 2021 à 5 opérateurs dans cinq provinces du pays, selon le dernier rapport ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives).

Le document indique que 3 permis ont été attribués à la société Reminac Gabon à Baniaka, et Baniaka Ouest dans la province du Haut Ogooué, et à Mafoungui dans l’Ogooué Lolo, respectivement en 2012, 2013 et 2020 sur un total de 1 670 km².

2 permis ont été octroyés en 2016 et 2021 à la société AKM Kango Minerals, respectivement dans la province de l’Estuaire sur une superficie de 407 km² et à Azingo Gabon à Bitam dans le Woleu Ntem sur 1 463 km². Enfin, 1 permis a été octroyé en 2017 à Havillah Mining à Milingui dans la Nyanga sur 996 km², et un à Kimin Gabon en 2012 à Bakoumba dans le Haut Ogooué sur 1 029 km².

Malgré tout, le fer ne fait toujours pas objet d’exploitation au Gabon d’après la direction générale du Trésor français. Il est prévu dès le second semestre 2023 le démarrage de la phase d’exploitation du gisement de Belinga dans la province de l’Ogooué Ivindo. La convention minière en vue de son exploitation a été signée entre le Gabon et la société australienne Fortescue Metals Group le 7 février.

Il s’agit du principal gisement de fer du pays et l’un des plus grands au monde, avec des réserves estimées à un milliard de tonnes.

Source : Agence Ecofin